Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le 8ème Rugiss' Hand
4 février 2014

Recrues: Florent Joli à Sélestat

florent-joli-ici-sous-le-maillot-de-villefranche-sur-saone-va-retrouver-la-d1-avec-selestat-photo-le-progres

Florent Joli (23 ans), formé et révélé à Montpellier, retrouvera la D1 la saison prochaine. L’ailier droit de Villefranche-sur-Saône (N1) s’est engagé avec Sélestat, où il voudra relancer sa carrière.

Sélestat tient sa première recrue. Il y avait déjà des départs actés (Pawel Podsiadlo à Nîmes, Guynel Pintor vers Créteil et désormais Obrad Ivezic), des prolongations de contrat (Olivier Jung et Frédéric Beauregard), mais pas encore de nouvelle tête.

« C’est un nouveau départ pour moi »

Le recrutement violet ne s’arrêtera bien sûr pas là, mais Sélestat a posé un premier jalon pour l’exercice 2014-2015. Florent Joli, jeune ailier droit de 23 ans, s’est engagé pour une saison (et une autre en option) avec le club alsacien.

S’il avait quelque peu disparu des radars depuis deux ans, Florent Joli n’est pas vraiment un inconnu dans le paysage du handball hexagonal. Et pas seulement parce qu’il est le petit frère de Guillaume (Dunkerque), ailier droit lui aussi, récent champion d’Europe avec l’équipe de France.

Certains se rappelleront peut-être de l’EuroTournoi 2009, où il avait impressionné par son audace et son culot sous le maillot de Montpellier. La suite s’est révélée (beaucoup) moins rose. « J’ai un parcours assez atypique », sourit Florent Joli.

Après ses premiers pas à Tassin-la-Demi-Lune, une saison en D2 à Villeurbanne à 17 ans, c’est l’envol pour Montpellier.

Les débuts sont prometteurs, mais son ascension sera stoppée par de multiples blessures (69 buts en 34 matches de D1). « J’ai joué un quart de finale de Ligue des champions. Trois ans après, je suis en N1 », souffle celui qui a côtoyé Quentin Eymann et Guynel Pintor dans les sélections de jeunes.

« J’ai réalisé de très bonnes choses sur le terrain, mais je n’ai pas été capable de le répéter sur de longues périodes. Je n’ai pas pu montrer que je pouvais enchaîner les bonnes performances, avoue-t-il avec lucidité. Soit parce qu’il y avait du monde devant moi à mon poste, soit en raison des blessures. »

Sans la moindre proposition en D1 à l’issue de la saison 2011-2012, il signe à Valence, en D2. Même cas de figure l’été dernier et Florent Joli est encore redescendu d’un étage, à Villefranche-sur-Saône (N1).

Sous le maillot caladois, l’ailier droit a retrouvé « le plaisir de jouer », et toute son efficacité (115 buts en 13 matches).

« J’arrive quand même sur la pointe des pieds »

Le Sélestat Alsace Handball s’est penché sur son cas et le joueur n’a pas hésité longtemps pour accepter la proposition alsacienne. « À 23 ans, je n’avais pas envie de m’arrêter là, même si en revenant jouer en N1, je ne pensais pas retrouver aussi vite un club de D1. C’est un peu inespéré », explique Florent Joli, désireux de relancer une carrière que tout le monde voyait brillante il n’y a pas si longtemps.

S’il n’a pas foulé les parquets de LNH depuis près de trois ans, le pari Florent Joli pourrait néanmoins s’avérer payant.

« C’est un jeune joueur qui a montré qu’il avait le potentiel pour évoluer en D1 », souligne ainsi Christian Omeyer, le directeur sportif sélestadien.

« Je connais ce niveau et je pense être capable de le retrouver, indique le Lyonnais. J’arrive quand même sur la pointe des pieds. J’ai certes réalisé de bonnes performances par le passé, mais je dois maintenant les rééditer. »

Florent Joli ne sera pas totalement dépaysé en Alsace. « Je connais déjà Quentin Eymann, Jordan François-Marie et Frédéric Beauregard. Ce sera un plus pour mon intégration. »

La première recrue sélestadienne entend bien saisir cette deuxième chance. « C’est un nouveau départ pour moi. C’est un challenge que j’ai envie de relever. Je veux donner satisfaction aux gens qui sont venus me chercher. »

Son arrivée à Sélestat va sans doute pousser l’un des deux ailiers droit de l’effectif vers la sortie (Arnaud Freppel et Xavier Rechal sont tous les deux en fin de contrat). La vie d’un club est ainsi faite…

Source Dna de Simon Giovannini

Publicité
15 janvier 2014

Pintor ne sera plus Sélestatdien la saison prochaine

Pintor

Après celui de Podsiadlo à Nîmes, Sélestat enregistre un deuxième départ pour la saison prochaine. Guynel Pintor (23 ans), le patron de la défense alsacienne, en fin de contrat avec son club formateur, a signifié à ses dirigeants qu’il ne prolongera pas.

Petrenko, Rechal, Salami, Freppel, Ivezic et Pesic, eux aussi libres en juin, n’ont pas encore prolongé. D’autres départs ne sont donc pas à exclure.

Source Dna

7 janvier 2014

Prolongations: Fred Beauregard et Olivier Jung restent violets

Jung-selestat3

   En fin de contrat avec le SAHB, Frédéric Beauregard et Olivier Jung ont prolongé leur bail en Alsace respectivement pour deux et trois saisons. Une bonne nouvelle pour le Sélestat alors qu’une grande partie de son effectif arrive en fin de contrat.

Si Pawel Podsiadlo a choisi de quitter l’Alsace à la fin de saison pour prendre la direction de Nîmes, l’arrière gauche Frédéric Beauregard et le pivot formé au club Olivier Jung porteront bien le maillot Violet l’année prochaine. Jean-Luc Le Gall pourra ainsi compter sur deux éléments importants dans son effectif. Une stabilité nécessaire à l’heure où les départs pourraient s’enchainer.

Sept joueurs restent en effet en fin de contrat : Salami, Pintor, Ivezic, Freppel, Rechal, Pesic et Petrenko qui possède une option pour prolonger son bail d’un an à Sélestat. Les prochaines semaines devraient permettre d’y voir plus clair sur les contours de l’effectif 2014-2015.

Source Handnews.

24 décembre 2013

Joyeux Noël à tous !

Le 8ème Rugiss'Hand vous souhaite

joyeux-noel-2013-1024x739

5 décembre 2013

20 ans: Ces déjantés qui ont placé Sélestat sur une carte

       Si Sélestat célèbre cette année sa 20e saison parmi l’élite du hand français, c’est grâce à une quinzaine de talentueux gais lurons qui ont propulsé le club au sommet.

    Ils ont tracé la voie pour les générations futures. Mais mieux vaut ne pas suivre entièrement leur exemple. Car si ces allumés ont vécu une aventure hors du commun et suscité des vocations, leur mode de vie est désormais à des années-lumière des exigences de celle d’un sportif de haut niveau de notre époque. « Aujourd’hui, avec l’évolution de notre sport, c’est différent , constate Vincent Momper, qui a endossé le costume de président après avoir œuvré sur le parquet une vingtaine d’années plus tôt. Mais croyez-moi, ils savent encore bringuer et monter sur la table. J’en ai vu certains qui y arrivent très bien. Simplement, c’est plus compliqué pour eux. Ils sont pros et ne peuvent plus faire les cons comme on le faisait. »

On vivait, on vibrait et on faisait vibrer

Ça rigole moins, malgré tout. Car qui dit salaire dit exigence de résultats. Avec toutes les contraintes que cela comprend. Des feuilles de paie, les précurseurs du hand de haut niveau à Sélestat n’en ont jamais vu, eux. Du moins pas pour jouer à la balle. Il y avait bien de temps en temps des enveloppes avec quelques billets, mais ils étaient dépensés le soir même dans des tournées générales. « Ce sont ces moments vécus en dehors des matches qui ont soudé l’équipe , estime le n°1 actuel du Sélestat Alsace HB. Notre moteur, c’était de partager de belles émotions ensemble. On vivait, on vibrait et on faisait vibrer. » Une vingtaine d’années plus tard, c’est encore ce que ce spécialiste de la communication tente de faire. « Notre slogan au club, c’est ‘‘Provocateur d’émotions’’. C’est vraiment ce qu’on cherche. Que les gens aient les poils hérissés en venant à une soirée de hand, que les animations leur plaisent, que l’entrée des joueurs sur le terrain les bluffe, que l’ambiance les transporte. »

apres-avoir-hisse-son-club-en-d1-en-tant-que-joueur-le-president-vincent-momper-tente-de-le-faire-prosperer-photo-denis-werwer

Le président, ses associés et son armée de bénévoles disposent pour cela d’un magnifique outil malheureusement à la jauge insuffisante pour les grandes affiches : le CSI (centre sportif intercommunal) qui a poussé juste à côté de l’historique Cosec. « Sans la nouvelle salle, je n’aurais pas accepté de prendre le club en main quand Germain Spatz m’a proposé de lui succéder. Je savais qu’il y avait un beau projet pour faire quelque chose de sympa à Sélestat. Et puis, je n’y suis pas allé seul. Je me suis bien entouré. »

Des profils recherchés par les entreprises

Il est pourtant l’unique ancien des années 80-90 à s’investir, ses ex-coéquipiers étant occupés par ailleurs. « Je ne désespère pas de voir certains nous rejoindre, mais ils sont pris par leur vie professionnelle. Ils sont cadres, dirigeants ou chefs d’entreprise. C’est une belle réussite. C’est là qu’on voit que notre expérience sportive a été utile. Apprendre à gérer une équipe et se battre pour atteindre des objectifs, ce sont des valeurs recherchées par le monde de l’entreprise. »

Car ces 15 copains n’étaient pas seulement ces fêtards dont les frasques masquaient l’énorme travail effectué en amont. Ils s’entraînaient une fois par jour, puis deux fois, pour vivre leur passion. « La meilleure façon de prendre du plaisir ensemble, c’était de mouiller le maillot. On s’arrachait pour atteindre des objectifs élevés. On était un groupe hyper soudé. »

La saison commençait souvent par un stage de préparation à Louvain-la-Neuve en Belgique « où il y avait 50000 bières qu’on prenait plaisir à goûter ». Entre Noël et Nouvel an, c’était plutôt la Réunion ou le Sénégal. « Pour la cohésion du groupe, ces moments étaient extraordinaires. D’ailleurs, après ces stages, on gagnait tout. »

Et le club y a conquis ses lettres de noblesse. Car depuis son arrivée dans l’élite, il n’a connu que deux relégations. En 1996 puis en 2009. « On fait partie des clubs historiques du hand français dans la mesure où, ces 24 dernières années, Sélestat en a passé 20 en D1 et le reste en D2, qui est aussi du haut niveau » , dit fièrement Vincent Momper. L’impulsion a été donnée par cette bande de gentils déjantés qui a fait que le rêve devienne réalité et qu’il perdure si longtemps.

Source journal L'Alsace

logo

Publicité
22 octobre 2013

Sélestat - Chambery sur France 3

    

france trois

      Le handball est, enfin, de retour sur France Télévisions. France 3 va diffuser, d’ici la fin de l’année, deux matchs de LNH, via ses antennes régionales. Il y en a un bien entendu qui nous interressera plus particulièrement: celui de Sélestat contre Chambery.

    Le premier match aura lieu le dimanche 24 novembre prochain à 15h05 et opposera Saint Raphael à Dijon, pour le compte de la 10ème journée. Le second match opposera, lors de la 12ème journée, Sélestat à Chambéry. Ce match aura lieu le dimanche 15 décembre à 15h00 dans la salle du Rhénus à Strasbourg, et sera diffusé sur France 3 Alsace et France 3 Alpes.

    Mais attention ! Pour ceux qui voudront rester devant leur télévision; rien ne vaut la saveur d'un match vécu au plus près des joueurs dans une ambiance survolté...
    D'autant que ce ne serait pas la première fois que la télévision annulerai un match à la dernière minute...

Alors méfiance...

19 octobre 2013

Avant Sélestat- Montpellier: Jean-Luc Le Gall suspendu

Le gall

Suspendu par la commission de discipline de la LNH, Jean-Luc Le Gall ne sera pas sur le banc de Sélestat dimanche après-midi pour la réception de Montpellier. L’entraîneur alsacien devra regarder le match depuis les tribunes.

Exclu lors de l’opposition face à Dunkerque le 25 septembre dernier pour avoir eu « des propos déplacés envers un des arbitres de la rencontre », Jean-Luc Le Gall sera suspendu dimanche pour la réception du MAHB. Jamais exclu d’un match depuis le début de sa carrière d’entraîneur, le technicien du SAHB ne pourra pas être au plus près de son groupe.

Après Patrice Canayer suspendu la semaine passée pour la réception de Cesson à Bougnol, Jean-Luc Le Gall expérimentera à son tour le coaching depuis les tribunes. Reste à savoir si les sélestadiens seront plus chanceux que les montpelliérains …

Source Handplanet

17 octobre 2013

Guynel Pintor: Un futur bleu dans la défense de Selestat ?

Guynel Pintor

A 22 ans seulement, Guynel PINTOR est la pierre angulaire de la défense de fer de SELESTAT.

Adoubé par ses partenaires et son coach, il n’est pas très loin de frôler l’excellence en défense. Il fait partie de cette génération 91 (Mahé, Grebille, Afgour…) qui pousse à la porte de l’équipe de France.
Aux vues de tes performances actuelles Guynel, est-ce que tu penses à l’équipe de France ?

Oui, j’y pense, et je suis candidat à une place de défenseur en équipe de France mais cela sera faisable que si je continue dans ce sens et bien sûr que le sélectionneur m’appelle.
Depuis 6 ans, je suis professionnel et je me bats chaque jour à l’entrainement et en match pour y arriver. Mon coach m’apporte beaucoup et c’est grâce à lui si je suis compétitif aujourd’hui. J’ai sa confiance et j’essaie d’être le plus performant possible. Alors oui, l’équipe de France me fait rêver et je veux passer le cap. Par ailleurs, je suis vraiment content pour Benjamin (AFGOUR) j’espère être le prochain, à moi de jouer.

nces-conduisent-guynel-pintor-a-tenter-sa-chance-en-attaque-mais-c-est-dans-la-defense-de-son-but-que-se-distingue-le-martiniquais-du-sahb-photo-denis-werwer

Qu’en pense son coéquipier de défense Beauregard ?

C’est tout simplement un monstre en défense. Il mesure 2m02 avec une envergure énorme, il est mobile comme un mec d’1m80, il ressemble un peu à ces mecs de la NBA. Il est capable de défendre autant en 3 bas qu’en 3 haut en restant tout aussi efficace. C’est très rassurant de travailler à côté de lui. Regarde encore le match à Tremblay, il est le grand artisan de cette victoire, notamment en défense !

Un futur bleu dans la défense de Selestat ?
L’équipe de hand-planet lui souhaite bonne chance pour ses projets !
 
16 octobre 2013

Jordan François-Marie dans le 7 de la semaine LNH j5.

       Hauteur de 8 réalisations contre la redoutable équipe de Saint Raphael, c'est au tour de Jordan François-Marie de figurer dans le 7 majeur. Une belle récompense qui laisse présager une belle saison... à suivre.

J5_LNHBravo Jordan

10 octobre 2013

Olivier Jung et Pawel Podsiadlo dans le 7 de la semaine LNH j4.

       Comme vous le savez, chaque semaine l'AJPH (l'association des Joueurs Pro) délivre son 7 Majeur. Le violet est à l'honneur puisque deux joueurs du Sélestat Alsace Handball en font partie à savoir Pawel Podsiadlo et Olivier Jung. 
       Profitons également des circonstance pour saluer un ancien de la maison Sélestadienne en la personne de Baptiste Butto qui figure également dans la liste des 7.

J4_lnh

       Nos deux joueurs ont marqué de leur empreinte la rencontre face à Tremblay. A eux deux, ils ont inscrit près de la moitié des buts de la rencontre. Notre arrière gauche Pawel Podsiadlo à fait parler son bras et sa détente en faisant trembler les filets à 8 reprises. Quant à notre pivot Olivier Jung, ''passe partout'' de génie, il aura trompé 6 fois la vigilence du portier Ivan Gajic.  

Bravo à vous tous

 

 

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Le 8ème Rugiss' Hand
Publicité
Archives
Publicité