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Le 8ème Rugiss' Hand
30 avril 2013

Stevan Vujovic bientôt Sélestadien

 

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Stevan Vujovic a effectué ses premiers pas à Sélestat hier. S’il satisfait aux tests médicaux aujourd’hui, le demi-centre monténégrin signera dans la foulée un contrat de deux ans avec le club violet.

Le Sélestat Alsace Handball tient sans doute sa première (et unique ?) recrue pour la saison prochaine. Stevan Vujovic (voir DNA du 23 avril) est arrivé en Alsace dimanche soir et a fait connaissance avec ses probables futurs coéquipiers hier.

Le demi-centre monténégrin a participé à la séance d’entraînement. Suffisant pour laisser entrevoir un talent certain.

« Mes premières impressions correspondent tout à fait à ce que j’avais pu voir sur les vidéos. C’est conforme à nos attentes », explique Christian Omeyer, le directeur sportif sélestadien.

Le jeune international de 23 ans (1,90 m, 90 kg) a déjà pu faire apprécier un bras puissant et toutes les qualités d’un très bon joueur. « Il lit bien le jeu, lâche les ballons dans le bon timing. Il est assez complet », poursuit Christian Omeyer à propos de Stevan Vujovic, également capable de se décaler au poste d’arrière gauche et de défendre avec efficacité.

Séduit par le projet sélestadien et le championnat de France, le Monténégrin doit encore satisfaire aux tests médicaux aujourd’hui avant de s’engager pour deux ans avec Sélestat.

Jeune mais expérimenté

« C’est un jeune joueur, mais qui a déjà une expérience internationale entre la Coupe d’Europe et le dernier Mondial (17 sur 26 au tir en sept matches avec le Monténégro, ndlr). C’est intéressant car on sait qu’il peut encore progresser », souffle le directeur sportif violet.

Passé par la Macédoine (Vardar Skopje), la Serbie (Étoile Rouge de Belgrade), l’Espagne (Antequera), le Monténégro (Lovcen) et le Qatar (un match cette saison avec El Jaish), Stevan Vujovic doit venir épauler, comme Vlado Ostarcevic avant lui, Yuriy Petrenko sur le poste de demi-centre, dans un registre différent de l’Ukrainien, davantage organisateur. « C’est un profil complémentaire », indique Christian Omeyer.

Tout le monde à Sélestat espère que Stevan Vujovic (30 sélections, 47 buts) sera l’une des révélations en LNH la saison prochaine. Une raison supplémentaire pour assurer le maintien au plus vite.

Source Dna

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10 avril 2013

ITW: Jean-Luc Le Gall: « Je recherche un état d’esprit avant tout »

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Au club depuis maintenant quatre saisons, Jean-Luc Le Gall conduit la barque sélestadienne de main de maître. Avec une remontée de LNH il y a deux ans, un maintien acquis haut la main l’an dernier et celui de cette année déjà en bonne voie, il revient pour Handnews sur la relative discrétion de son club, sur ses ambitions et sur son effectif.

Etes vous-content de la saison que réalise Sélestat?

Nous sommes proches des objectifs, même un peu au dessus. Il s’agit de notre deuxième saison depuis la remontée. Nous poursuivons nos objectifs de l’année précédente, en essayant de les améliorer un petit peu. On s’attache à battre les équipes qui sont derrière nous au classement, consolider ça, faire progresser l’ensemble tout en se rapprochant des équipes qui sont devant, et essayer de gratter quelques points contre les équipes au dessus de nous. On a fait un bon parcours contre les équipes de derrière, on a fait nul à Chambéry et à domicile contre Montpellier, donc on commence à devenir capable d’embêter un peu ceux d’au dessus. Si on prend l’exemple du match à Dunkerque de la semaine dernière, où on perd d’un but, l’an dernier on est à -5 au bout d’un quart d’heure et on sait que le match est plié. Il y a donc de la progression. On veut continuer à consolider nos acquis d’ici à la fin de la saison.

Quelles sont vos ambitions d’ici à la fin de l’année?

Depuis le début de l’année, on a toujours regardé derrière, parce que l’objectif numéro 1 du club c’est le maintien. Si on peut titiller les équipes de la première moitié, on le fait, mais pour l’instant le principal objectif, c’est le maintien, et pour se faire, il faut battre les équipes en dessous de nous. Pour l’instant on n’est pas mal, mais il ne faut pas s’endormir parce que derrière tout le monde va vouloir prendre des points.

Vous avancez dans l’ombre, est-ce que Sélestat est condamné à faire son petit bonhomme de chemin ou est-ce que le club a des ambitions plus élevées à moyen terme? On a eu vent d’Arabie Saoudite il y a peu…

Vous savez pour l’Arabie Saoudite, ce ne sont que des rumeurs. Ce monsieur veut investir dans la région, et nos dirigeants ne ratent pas une occasion pour mettre le club en avant et ils l’ont invité au match. Après il y a un monde entre ce qu’on voudrait faire et ce qu’on fait, et si vous voulez mon avis, c’est comme dire que le Qatar va investir à Troyes dans le foot. Plus sérieusement, nous sommes soumis à deux limites: la première, économique, nous avons un bassin économique relatif à la taille de notre ville, c’est à dire 20 000 habitants. Deuxièmement, nous avons la taille de la salle, qui est une superbe salle qui fait 2200 places. Cela reste une limite, car la billetterie est une source de revenus, et que plus la salle est grande, et plus on peut inviter de partenaires et ce genre de choses… Quand la limite va être franchie, c'est une question qui serait plus à poser à nos dirigeants.

Est-ce que vous souffrez de la sous-médiatisation de votre club?

Non, on ne décide pas de ça, on fait avec. J’en souffrirais si ce n’était pas juste, mais je m’accommode très bien que le volume sonore des médias soit moindre ici comparé à d’autres clubs. Nous avons une ville et un groupe de bénévoles incroyables, je n’ai jamais vu ça, même à l’époque des Coupes d’Europe avec Créteil. C’est pour ces gens là que le groupe travaille, pour être la fierté de la ville qui est derrière nous tout le temps, pas pour passer à la télé. On se bat vraiment pour des valeurs ici, et ça ne me touche pas que nous ne soyons pas médiatisés.

Est-ce que jouer à Sélestat peut être un frein pour être international? On pense à Jordan François-Marie, qui pourrait postuler en équipe de France, ou encore à Pawel Podsiadlo qui n’a pas fait le mondial avec la Pologne.

C’est une question à poser à Thierry Omeyer ou à Mickael Robin! Ils ont tous les deux été internationaux en passant par ici. Podsiadlo est dans le groupe pour jouer les deux matchs contre la Suède cette semaine, et d’après mes informations il ne sera pas en bout de banc. Forcément pour les joueurs étrangers c’est plus compliqué car on est loin des yeux du sélectionneur, à moins d’être un Daniel Narcisse et d’être déjà international avant de partir à l’étranger. Je crois que ce n’est pas propre aux joueurs de Sélestat. D’un autre côté, je comprends que Claude Onesta préfère piocher dans un vivier de joueurs qui jouent la Ligue des Champions plutôt que chez nous.

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Vous avez une ossature qui commence à prendre de l’âge (Fulop 34, Petrenko 35, Freppel 35), est-ce que vous pensez que vos jeunes sont aptes à prendre la relève?

Pour moi, la problématique ne se fait pas en fonction de l’âge, mais de l’état d’esprit. Laszlo Fulop l’an dernier a été dans l’élection en septembre du meilleur joueur de LNH, ce qui montre qu’il est encore compétent. Les jeunes prendront la place quand ils seront prêts à la prendre. Sur un effectif de 15 joueurs, on en a cinq qui sont des générations 90-91-92. A ma connaissance, on est les seuls à avoir 1/3 du groupe qui a 22 ans ou moins. On est obligé de se baser sur la formation ici, c’est une réalité économique, et on ne va pas s’arrêter de si tôt. J’ai un bon équilibre dans l’effectif, je suis très heureux du groupe que j’ai, et j’accorde beaucoup d’importance à l’état d’esprit, que les joueurs soient jeunes ou vieux.

Vous avez recruté Rudy Séri l’été dernier, mais on ne l’a pas encore vu, sauf en coupe. Vous nous expliquez pourquoi?

Il faut qu’il prenne sa place, ce n’est pas non plus parce qu’on est jeune qu’on joue. Il n’y a pas de malentendu, quand il est venu nous voulions déjà qu’il s’adapte au niveau N1. C’est un des piliers de notre équipe réserve, et il s’entraine aussi avec nous. Le problème a été qu’il sortait d’un pôle, où il a fait peu de musculation, il a fait toute la préparation estivale avec nous, mais il a enchainé les petites blessures car il n’avait pas cette habitude de travail sur sa musculature, bien qu’il en ait les capacités physiques. Ces habitudes vont mettre un à deux ans à venir chez lui. Il a en tout cas un très bon état d’esprit, il est performant en coupe de France, mais je préfère qu’il ait un vrai rôle avec la N1, plutôt qu’il vienne sur l’équipe première et qu’il ne joue que cinq, dix ou même zéro minutes.

Vous avez encore re-signé beaucoup de vos joueurs pour la saison prochaine (Fulop, Podsiadlo…), est-ce que vous pensez que le manque de renouvellement peut être un frein à l’évolution de votre groupe?

Pour l’instant c’est un avantage. Sur les quatre dernières saisons, on a construit l’équipe petit à petit, en rajoutant un à deux joueurs, seulement trois l’année de la montée. On a perdu Ostarcevic l’été dernier, mais pour des raisons économiques, vous vous doutez bien que sinon on l’aurait gardé! L’argent fait qu’il y a peu de changements. Pour l’instant, ce groupe est une source d’évolution, les habitudes de travail ne se prennent pas en un mois, rien que pour mettre en place une défense il faut compter un an. Après, pour passer un palier, on aura forcément besoin de renouveler certains joueurs. Notre objectif, je le répète, c’est le milieu de tableau, de consolider notre place, et je crois que nous avons encore une grande marge de progression individuelle et collective.

La fin de votre contrat à Créteil ne s’était pas très bien passée à l’époque, vous réussissez bien en ce moment à Sélestat, quel regard portez vous sur cet épisode de votre carrière?

J’ai eu la chance que Créteil fasse appel à moi en 2004. La première année cela s’est plutôt bien passé, on termine 4ème, la deuxième on finit 7ème, et après on a fait encore moins bien. Alors je suppose que je suis devenu moins bon, et les dirigeants ont pris la décision qui s’imposait, ce que je ne conteste pas du tout. Aujourd’hui, c’est très compliqué d’avoir un poste, Créteil m’a fait confiance, je n’irais pas jusqu’à dire que je les remercie mais je leur suis reconnaissant. J’ai quand même connu la Ligue des Champions dès ma première année, ce n’est pas rien. Je n’ai pas de pensées négatives, sans ça, je ne serais sans doute pas à Sélestat aujourd’hui.

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2 avril 2013

Omeyer de A à Z, la première biographie du gardien alsacien

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L’immense carrière de Thierry Omeyer méritait bien un hommage. Christophe Lassaut et François-Xavier Houlet, auteurs du très réussi Le triplé historique des Experts, viennent de terminer la première biographie du gardien alsacien.

« Je n’aurais jamais pensé que quelqu’un ait envie d’écrire un livre sur moi ! ».

Thierry Omeyer n’en revient toujours pas. Demain, la biographie – en français et en allemand – du gardien alsacien sera pourtant en vente. Sa carrière, de ses débuts à Cernay jusqu’à ses actuels succès à Kiel, en passant par Sélestat, Montpellier et bien évidemment l’équipe de France, s’étalera ainsi sur 180 pages et près de 200 photos.

« Cela me surprenait que rien n’ait jamais été fait sur ce joueur exceptionnel »

Les auteurs, Christophe Lassaut et François-Xavier Houlet, sont bien connus des amoureux du handball. Les deux anciens joueurs avaient déjà écrit ensemble Le triplé historique des Experts , après les succès de l’équipe de France aux JO-2008, au Mondial-2009 et à l’Euro-2010. Thierry Omeyer y trônait déjà en bonne place, mais cette fois, c’est lui la star !

« En tant qu’ancien gardien, j’ai été subjugué par les performances de Thierry, explique Christophe Lassaut, ancien portier de Pontault-Combault, Paris ou Créteil. Cela me surprenait que rien n’ait jamais été fait sur ce joueur exceptionnel, alors qu’il y a énormément de choses à dire. J’avais vraiment envie de faire un bouquin sur un gardien et comme “Titi” est le meilleur de tous… »

L’idée fait son chemin et devient réalité à l’automne 2012. « J’ai pris le temps de réfléchir à la proposition, confie Thierry Omeyer. Mais je connais bien François-Xavier, nous avons joué ensemble en équipe de France ( ils ont notamment remporté la médaille de bronze lors du Mondial-2003, ndlr ). J’ai une relation de confiance avec “Zouzou”, c’est important. J’avais aimé leur livre sur les “Experts”. Ils m’ont parlé de leur projet, je l’ai trouvé sympa. C’était aussi le bon moment, après les JO et avant mon départ de Kiel. »

Une biographie sportive mais aussi une approche psychologique

Les nombreuses heures d’entretien avec François-Xavier Houlet, l’ancien demi-centre de Créteil, Montpellier ou Gummersbach, ont replongé le Cernéen dans ses souvenirs. « C’était agréable de me retourner sur ma carrière », sourit le triple champion du monde et double champion olympique.

« C’est une biographie sportive, sur sa carrière de joueur, de ses débuts dans le hand, quand il était entraîné par son père, jusqu’à son départ prochain de Kiel », précise Christophe Lassaut. C’est même un peu plus que cela. L’ouvrage aborde également l’approche psychologique de son poste si spécial de gardien de but, analyse d’un point de vue technique les parades du meilleur joueur du monde 2008.

Les témoignages de Fernandez, Narcisse, Karabatic ou encore Lavrov

Actuels et anciens coéquipiers ou adversaires donnent également leur sentiment sur le phénomène Omeyer : Jérôme Fernandez, Daniel Narcisse, Nikola Karabatic, Henning Fritz, Filip Jicha, Andreï Lavrov, Stefan Kretzschmar, Tomas Svensson, Stefan Lövgren…

« Le livre s’adresse à tout le monde, au grand public comme aux amateurs de hand », indique Christophe Lassaut.

« J’ai vu la version PDF et j’ai trouvé ça très sympa, souffle ...

Il n’est pas le seul…

Le livre sort en France demain. Préface de Claude Onesta et Heiner Brand. Disponible sur le site www.hand-around.com (prix public 20 € + 4,15 € de frais de port).

Source Dna

7 mars 2013

Arnaud Freppel prolonge d'une année supplémentaire à Sélestat

      

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Arnaud Freppel, l'ailier droit du SAHB, s'est entendu avec ses dirigeants pour une année supplémentaire sous les couleurs Sélestadiennes.

 

      « Freeps » prolonge jusqu’en juin 2014 son aventure avec les violets pour ce qui sera sa 13ème année sous le maillot VIOLET.

 

        Vincent MOMPER « Arnaud fait partie des joueurs cadre de notre équipe, et nous savons pouvoir compter sur son engagement et son implication »

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Info et Photo SAHB

6 mars 2013

La LNH restera à 14 clubs pour la saison prochaine.

La LNH restera à 14 clubs l'été prochain

La discussion sur une refonte du championnat de LNH est engagée mais rien ne sera chamboulé avant la saison 2014-2015. Comme les années précédentes, deux clubs de D1 descendront à l’étage inférieur, deux de Pro D2 accèderont parmi l’élite.

Quatorze ou seize clubs en D1, la saison prochaine ?  Surgie des abysses l’an passé, parce qu’il fallait peut-être garantir au Paris Handball son maintien parmi l’élite, la question refait surface cette année. Une étude a même été commandée à un cabinet de conseil en entreprises qui après avoir sondé une quarantaine d’acteurs du handball hexagonal (présidents de clubs, entraîneurs, joueurs, managers, sélectionneur national, diffuseurs télévisuels,…) a rendu sa copie ce mardi. Le document a été décortiqué par le comité directeur de la Ligue Nationale de Handball et une décision concernant un changement de formule du championnat sera prise en Assemblée Générale, le 2 avril prochain.

Deux mois avant la fin de la compétition en cours, il eut été hasardeux de vouloir modifier les règles dès l’exercice à venir. C’est la raison pour laquelle si un changement de formule est proposé et surtout entériné, il ne le sera qu'à partir de la saison 2014-2015. Pour ce qui est du présent championnat de D1, il y aura bien deux descentes et deux montées. La CNACG aura passé entre temps le dossier de chaque club au peigne fin.

Philippe Bernat-Salles, le président de la LNH (notre photo) a
bien voulu nous apporter quelques éclaircissements  sur le sujet.

La LNH amorce-t-elle enfin son nettoyage de printemps ?
Le handball professionnel français arrive dans une phase très importante avec dans deux ans, la renégociation des droits télé et certainement des choses à modifier dans la formule même du championnat. On s’est aperçu que cela faisait très longtemps que rien n’avait changé à ce niveau et qu’il était peut-être temps d’y penser sérieusement.  Une expertise a été faite pendant trois mois. On a désormais un document entre les mains. A nous, d’en tirer le meilleur profit.

Un changement est-il envisageable dès l’été prochain ?
Ce serait prématuré. Le temps passe très vite. Il y a encore un véritable travail à fournir avant de parvenir à l’élaboration d’un projet fiable sur plusieurs années. Un groupe de travail va être mis en place mais ce qui se dégage, c’est que si il devait y avoir une réforme du championnat avec mise en place de play-offs par exemple, il est clair que cela serait programmé plutôt sur la saison 2014-2015 et pas avant.

On a souvent parlé d’un serpent de mer…
Notre volonté est d’aller de l’avant, de franchir les étages deux par deux et de nous baser sur la bonne santé de notre championnat. Notre désir également est d’aider les clubs de Pro D2 à se consolider et pourquoi pas, à terme, à intégrer la LNH. Cela ne va pas se faire demain car c’est une nouvelle démarche, tout le monde va se mettre au travail. Ce qui me réjouit c’est que de nombreux voyants sont au vert. Le plus important c’est de prendre son temps. Notre produit se valorise mois après mois, les internationaux, à part deux ou trois exceptions auront tous réintégré notre championnat l’été prochain, c’est significatif.

Cette saison a été polluée par l’affaire des paris. Un statu quo avec les 14 clubs présents auxquels on aurait pu rajouter les 2 promus et donc un passage à 16, n’aurait-il pas été mieux perçu ?
C’est vrai que cette année a été assez particulière en raison des évènements survenus. Je ferai remarquer que les règlements ont été respectés, rien n’a été fait dans le dos de personne. Aujourd’hui, bloquer une ligue à 14 n’est pas une bonne solution. Il y a des clubs qui ont travaillé, qui ont joué à fond, donc on n’a pas à changer. On continue comme cela. Certains vont peut-être se sentir lésé mais on n’y peut rien. Cette année, il y aura deux clubs qui descendront et deux qui monteront.

Source Handzone

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1 mars 2013

Mulhouse - Sélestat diffusé ce soir sur Total sport Live à 20H30

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Pour voir le match cliquez sur l'image

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8 février 2013

Sélestat - Paris: A la Cervoise sur Grand Ecran, comme si vous y étiez...

Pour ceux qui n'ont pas eu leur precieux sésame pour le Rhénus, rendez vous à la Cervoise pour vivre pleinement l'évenement...en violet...Sélestat Paris.

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8 février 2013

Avant le match Sélestat - Paris: François-Marie à tout prix

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Jordan François-Marie a débarqué en Alsace lorsque Sélestat et Paris étaient en D2. Demain, les deux clubs se croisent à nouveau pour une affiche de D1 entre l’ogre de la LNH et un joyeux trublion où l’arrière droit a trouvé sa voie en renouvelant sa confiance au club.

Il a rejoint les rangs du SAHB durant l’été 2009 au lendemain de la dégringolade de Sélestat en D2. Quittant l’élite et Istres avec lequel il venait de remporter la Coupe de la Ligue, Jordan François-Marie avait pris la direction de l’Alsace où on lui proposait de revigorer le flanc droit de l’attaque afin de remonter le plus vite possible en Ligue Nationale. Le solide gaucher a rapidement fait l’unanimité avec une moyenne de buts supérieure à cinq par match, un tempérament de guerrier et une redoutable propension à percuter les défenses adverses. Mais cela n’a pas suffi à remettre Sélestat dans l’ascenseur. Cette saison-là, seul Paris a réussi à retrouver la D1 au lendemain de sa chute. Le SAHB a dû ronger son frein une saison supplémentaire avant de rejoindre le club de la capitale dans l’élite nationale.

Deux ans plus tard, le paysage a bien changé. Sélestat, malgré l’un des plus faibles budgets de la LNH, réussit des prouesses depuis son retour en faisant mieux que de se contenter du maintien. Plus fortuné mais moins serein, Paris a évité de justesse, à deux reprises, de retourner à la mine. Avant d’être adoubé par des fonds d’investissement qataris qui en ont fait, en moins de six mois, l’un des clubs les plus puissants du continent. Sélestat, qui restait sur trois victoires et un nul contre le club de la capitale, l’a appris à ses dépens au match aller. En s’inclinant 42-27, le 24 octobre dernier. Le début d’une série noire ?

Mais, pour Jordan François-Marie, cette différence de 15 buts à l’arrivée ne traduit pas totalement le rapport de force entre les deux équipes. « Ce résultat ne veut rien dire. Il ne faut pas se focaliser dessus. Après avoir mené en début de match, on a tenu une bonne partie de la première période pour finir à 5 buts à la mi-temps. Puis l’écart a grandi et la fin du match était anecdotique. Notre deuxième mi-temps a été catastrophique et, pour l’une des rares fois cette saison, nous avons lâché le match. »

Selon l’arrière droit de Sélestat, cela ne devrait pas se reproduire demain soir au Rhénus de Strasbourg, qui fera à nouveau le plein pour un match de handball. « Chez nous, devant une aussi vaste audience, on n’aura pas le droit de montrer ce visage-là. Au contraire, il faudra présenter notre plus beau côté. Être dans un état de transe. » Le rapport de force étant défavorable aux Alsaciens, ils devront effectivement être dans un état second s’ils veulent avoir la plus petite chance de déboulonner un adversaire qui n’a eu droit qu’à quelques suées par-ci par-là, mais qui a fait le plein lors du cycle aller. Treize succès en autant de matches qui lui donnent déjà des allures de futur champion de France.

Il n’a pas échappé au gaucher du SAHB que les Parisiens ont néanmoins eu toutes les peines du monde à s’extirper du piège tremblaysien (26-27) et que Créteil, battu d’un rien (30-28) ou Aix (27-31) n’avaient pas été ridicules. Y aurait-il donc une possibilité de voir la terreur du championnat, ce conglomérat de stars planétaires, se prendre les pieds dans le tapis au Rhénus ? La probabilité est faible mais un guerrier comme Jordan François-Marie compte bien saisir la moindre chance. « Le contexte est un peu particulier. C’est la reprise après une trêve assez longue, et on manque forcément de repères. Et puis on va jouer devant 5 à 6000 personnes contre ce qui se fait de mieux en Europe, des stars du hand. Il faudra être particulièrement concentrés, mais surtout agressifs défensivement. »

La leçon du match aller doit également guider les Sélestadiens. « Si on perd autant de ballons qu’à Paris, ou si on tire trop vite, on va le payer au prix fort », estime encore celui qui vient d’obtenir le trophée de meilleur joueur de la Ligue du mois de décembre au nez et à la barbe de deux stars de la discipline : Nikola Karabatic et Mikkel Hansen. Une récompense qui lui fait plaisir et lui fait sentir le chemin parcouru depuis son arrivée à Sélestat. « Je commence à me faire un nom dans la Ligue, c’est sympa. »

Mais ce qui le fait avancer, c’est la possibilité de continuer de grandir en même temps que le club avec lequel il vient de renouveler son bail pour deux saisons supplémentaires. « Je n’avais aucune raison de partir. Quand je suis arrivé, le SAHB était au plus bas. Depuis, il n’a cessé de grandir. On était 7 e l’an dernier. On l’est à nouveau à la trêve. Ça se passe bien avec les coéquipiers et le staff et, surtout, je crois au projet du club. J’ai plein de potes qui jouent en Coupe d’Europe et j’aimerais aussi vivre ces moments-là. Comme Sélestat veut continuer de grandir, on va peut-être réaliser nos rêves ensemble. » En commençant par titiller Paris ce samedi.

Source journal L'Alsace par Christian Weibel
7 février 2013

Prolongations: > Et de 4 !!

C'est au tour du capitaine des violets, Yuriy Petrenkode prolonger son séjour en Alsace. Le demi-centre Ukrainien s'est en effet engagé pour 2 saisons supplémentaires (1 + 1) avec le club Sélestadien.

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    Yuriy a déposé ses valises a l'été 2011 en Centre Alsace après avoir passé quelques années dans le Nord (USDK) et dans la Capitale (Paris Handball).

    Véritable métronome de l'attaque Alsacienne, homme d'expérience, Yuriy inspire le respect et dégage la sérennité.

    C'est avec un très grand plaisir que le Président Momper et le Capitaine Petrenko se sont retrouvés cet après midi pour signer ensemble leur contrat.

Tout le club se réjouit de cette 4ème prolongation en moins de 15 jours.

Source SAHB

1 février 2013

Laszlo et Pawel prolongent eux aussi...

Le SAHB a le plaisir d’annoncer les prolongations de Laszlo Fulop et de Pawel Podsiadlo.

Pawel et Laszlo prolongent

 

Laszlo Fulop gardien de but hongrois est sélestadien depuis 2011, l’année du retour en D1 du SAHB. A 34 ans ce gardien d’expérience souhaite accompagner le club dans son évolution. Il vient de signer pour 2 saisons et sera donc l’un des portiers du SAHB jusqu’en 2015.

Pawel Podsiadlo, arrière gauche polonais est également arrivé en 2011. 7ème meilleur but de LNH pour sa première saison en championnat de France, il confirme cette saison en occupant encore à mi parcours, la 7ème place de D1. Pawel a prolongé pour une saison supplémentaire avec une année en option.

Par ses prolongations de joueurs cadre, Sélestat confirme son souhait de travailler dans la continuité avec un groupe qui ne cesse de progresser.

Source SAHB

 

 

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