Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le 8ème Rugiss' Hand
21 septembre 2009

2ème journée : Après match

 FF_Franckrancis Franck (gardien et capitaine de Sélestat) : « Avec cette victoire, on a enfin notre match repère. On avait quelques références lors de la phase de préparation, mais là on lance notre saison. Ce derby était important, car on devait rester maître à domicile. Il y avait beaucoup d’attente autour de cette rencontre, c’est vrai que c’était un match spécial. On s’en voulait d’avoir perdu à Saint-Cyr la semaine dernière, surtout à cause de la manière. Ce soir, on n’a pas forcément gagné comme on aurait dû – on prend beaucoup trop de buts – mais une victoire reste toujours belle. La physionomie de cette rencontre était bizarre. On s’attendait à un match compliqué mais on a relancé plusieurs fois Mulhouse. Mais c’est toujours agréable de gagner à Sélestat. »

David Schneider (capitaine du MHSA) : « Je ne comprends pas pourquoi on a si mal démarré la rencontre, on dirait que c’est la première fois qu’on jouait ensemble. Ce n’est pas nous qui avions la pression, mais Sélestat. On restait sur une victoire, on jouait sur leur parquet, ce sont les Sélestadiens qui avaient le plus à perdre. Bilan : on fait un mauvais match. Offensivement comme défensivement. C’est la première fois qu’on prend 30 buts avec cette équipe et devant on a shooté hors cadre je ne sais combien de fois. Si on veut jouer un rôle dans ce championnat, il va falloir resserrer cette défense. Pourtant, on a eu plusieurs occasions de revenir. On se bat, on recolle à trois longueurs et après on redevient brouillon. Ce n’est pas une grosse déception en soi, mais c’est dommage car je pense vraiment qu’on avait les moyens de s’imposer si on avait été plus appliqués. »

Jean-Luc Le Gall (entraîneur du SAHB) : « Si toutes les victoires font du bien, celle-ci a peut-être une saveur particulière car elle lance notre saison. Après la phase de préparation, on avait été coupables d’un relâchement, inconscient sans doute, et cela s’est traduit par une défaite à Saint-Cyr. Là, on a été solide en défense, c’est là qu’on gagnera la plupart de nos matches. En attaque, on n’est pas encore rodé. On a eu du mal quand Beauregard a été pris en stricte ou même sur la double stricte. Mais dès qu’on a retrouvé la relation au pivot, le match a tourné en notre faveur. On a aussi répondu au défi physique de Mulhouse. Je suis plus spécialement content d’offrir cette première victoire à notre ancien président Germain Spatz. Le faire monter au milieu du terrain avant la rencontre et battre Mulhouse, c’était le meilleur moyen de le remercier pour ce qu’il a apporté au handball sélestadien. »

Jean-Paul Billig (entraîneur du MHSA) : « Si on a raté notre entame de match, Sélestat y est peut-être pour quelque chose : ils étaient agressifs et nous avons manqué de réussite. Après avoir encaissé un 7-1, on a été contraints de courir après le score durant tout le match. Je pense que les joueurs voulaient trop confirmer le bon match de Pontault et se sont mis une petite pression sur les épaules. Mais cela n’explique pas tout. Défensivement, on n’a pas été soudés, on a perdu les duels, et on a trop reculé. Prendre 17 buts contre une équipe qui n’est certainement pas la meilleure attaque de la D2, ça fait trop. Et certains joueurs n’ont pas eu leur rendement habituel. Mais bon, on savait aussi qu’on ne gagnerait pas tous nos matches avec dix buts d’écart. Tout n’est pas à jeter, on a quand même fait de bonnes choses en attaques. Mais je regrette ce manque d’engagement défensif qui aurait pu nous permettre de rester au contact de Sélestat. »

Marc Calogero
L'Alsace

Retrouvez le résumé du SAHB
et 4 Interview des joueurs après match.
Cliquez sur le Logo

VICTOIRE

Publicité
13 juin 2009

Micro violet avec Antoine Gutfreund..

Entre les révisions des examens et le hand, Antoine nous offre un petit moment de

plaisir avec un nouveau mico-violet.

Les violets : Bonjour Antoine, tout d’abord, tous les ‘’violets’’ te souhaitent la bienvenue au sein de l’équipe du SAHB. . gutfreund_antoine

Les violets : Peux-tu en deux mots nous donner ton parcours sportif ?
Antoine : Le hand est en moi depuis toujours puisque c'est ma mère qui m'a donné sa passion, je passais déjà toute mon enfance à La Robertsau. J'ai pris ma première licence chez les verts à 6 ans et j'ai toujours joué dans ce club. Je suis rentré au pole de Strasbourg en 4eme et étais en sélection du Bas-Rhin ou encore en équipe d'Alsace. Les violets : Quel souvenir garderas-tu de la Robertsau ?

Antoine : La Robertsau sera toujours le club de mon coeur puisque j'y ai passé vraiment toute ma jeunesse. J'en garde un très bon souvenir, je pense à tous mes coéquipiers qui sont surtout des bons amis et avec qui j'ai partagé de très bons moments. Ma dernière année en N1 m'a permis de mettre un pied dans le tout autre monde qui est celui des seniors.

Les violets : Tu ne vas pas venir seul puisque Fred (Beauregard) t’accompagne, peux-tu nous dire un mot sur lui ?

Antoine : "Bobo" est un super joueur et maintenant ami. J'ai beaucoup progressé à son contact. De plus, c'est lui qui me ramène après chaque entraînement, ce qui nous a permis de nous rapprocher, d'ailleurs je commence à écouter de la musique antillaise (rires)!

Les violets : Te voilà un nouveau joueur ‘’violet’’, pourquoi as-tu choisi le club du SAHB plutôt qu’un autre ?

Antoine : J’ai choisi le SAHB parce que le projet de la saison prochaine me parait très intéressant. La possibilité d'être au contact de professionnels et de jouer en D2 a beaucoup joué sur mon choix

Les violets :Quels sont tes objectifs perso en venant à Sélestat ?

Antoine : Mes objectifs sont de gagner ma place dans l'équipe fanion et pourquoi pas de viser une place de titulaire! Mais mon objectif principal est de faire de mon mieux pour apporter à l'équipe pour aller le plus loin possible la saison prochaine.

Les violets :Que connais tu du club phare Alsacien ?

Antoine : Je connais assez bien Sélestat puisque la moitié des joueurs du pôle espoir y jouent. Je joue contre eux depuis maintenant 10 ans, Sélestat a toujours été le rival de la Robertsau (rires)! Je suis déjà venu souvent au Cosec pour les soutenir puisque mon meilleur ami Arthur joue là-bas.

Les violets : À partir du mois d’octobre, nous allons jouer dans une toute nouvelle salle. As-tu pu y jeter un coup d’œil en venant ces derniers jours et quelles impressions cela te donne ? Faudra remplir la salle…

Antoine : Oui j'ai vu quelques photos de la nouvelle salle! Le fait de jouer dans une énorme salle est très motivant pour un joueur et je ne doute pas qu'elle sera pleine à craquer.

Les violets : Parlons un peu de ton parcours en équipe de France, ta première sélection remonte à quand ?

Antoine : Ma première sélection en équipe de France remonte à décembre 2007 à Zurich, lors des Franco-Suisse. Au début je ne réalisais pas trop à quel point c'est énorme, c'est seulement avec du recul que j'ai compris la chance que j'avais.

Les violets :Tu prends l’expérience chez les Bleuet comme un bonus ou plus comme un passage obligé pour être encore meilleur ?

Antoine : Je considère ça comme un bonus puisque depuis que je fais des stages j'ai beaucoup progressé et acquis de l'expérience. Mais lorsque l'on fait des stages, on retient aussi les moments énormes que tu vis avec tes potes, tu vis quelque chose de grand.

Les violets :Ton dernier titre remonte à avril lors de la coupe latine, quel effet ça fait d’entendre la Marseillaise ?

Antoine : Notre dernier titre mais aussi mon premier remonte bien à la coupe latine. Cela fait toujours plaisir c'est sûr, mais nous n'avions pas tellement de mérite puisque les autres nations étaient plus jeunes que nous. Nous attendions cette compétition avec impatience pour nous venger des espagnols; nous avions perdu contre eux en finale des jeux méditerranéens en Tunisie.n86100469871_8406

           Mais je ne peux pas évoquer l'équipe de France sans avoir une énorme pensée pour Maxime CANDAU, un de mes coéquipiers en sélection mais surtout ami, décédé il y a une semaine sous le maillot bleu. (le 30mai dernier, Maxime, joueur et capitaine de l'équipe de France de handball '92 a fait un arrêt cardiaque lors du match face à Besançon et est décédé quelques jours après)

Les violets :En deux mots pour conclure, ton souhait pour la saison 2009/2010 ?

Antoine : La saison 2009/2010 est une nouvelle étape pour moi, je vais vivre dans une toute autre dimension, maintenant c'est à moi de prouver que je mérite de faire partie de l'aventure. En tout cas je ferais tout ce que je pourrai pour y arriver! 

Les violets :Et bien merci pour ce petit entretien que tous les supporters vont apprécier.

Antoine : Alors à dans deux mois sous mes nouvelles couleurs!

Les violets :Au plaisir.

Fred pour les violets.

30 mai 2009

ITW: Ah, Radek, tu vas nous manquer !

RadekAvant son dernier match dans les buts de Sélestat, à Aurillac, Radek Motlik explique les raisons de son retour à Mulhouse et revient sur ses deux saisons avec le SAHB.
. 
     S’il maniait plus aisément la langue de Molière, Radek Motlik aurait certainement pris la plume pour traduire sa peine de laisser les supporteurs des Violets en plan. Il s’est donc tourné vers notre journal pour donner libre cours à ses émotions à la veille du dernier match de Sélestat, ce soir à Aurillac.
     « Si je quitte Sélestat, ce n’est pas de gaîté de cœur. J’y ai passé deux saisons superbes malgré les mauvais résultats de cette année. Et j’aurai voulu y prolonger ma carrière. Pour continuer de jouer sous les encouragements de supporteurs extraordinaires. Franchement, je n’ai jamais vu un tel engouement depuis que je joue au hand. Et pourtant, j’ai bientôt 39 ans. Ces gens auraient pu nous lâcher car nous ne leur avons pas toujours présenté un spectacle digne de ce nom cette saison. Mais ils ont toujours été derrière nous. »
       C’est donc une véritable histoire d’amour qui s’est tissée au fil du temps entre le gardien et ses fans qui ont souvent scandé son prénom sur l’air des lampions. Surtout lors de la deuxième partie de cette saison quand l’ex international tchèque a retrouvé toutes ses capacités. Mais lui ne mesure pas sa saison à ses statistiques personnelles. Ce qu’il regarde, ce sont les résultats de l’équipe. « Cette saison est complètement ratée. Gagner seulement trois matches, c’est une situation que je n’avais jamais connue en plus de 20 ans de carrière. On m’a vu râler plus souvent que d’ordinaire car je suis un gagneur. Et quand tu prends une claque à chaque match, c’est dur, très dur. Après notre déroute de 10 buts contre Aurillac au match aller, j’ai même pleuré. La dernière fois que ça m’était arrivé, c’est lorsque ma mère est morte, il y a cinq ans. »
        Des explications sur cette déconfiture, il n’en a pas vraiment. « J’ai beau chercher, je n’en ai pas. C’est peut-être psychologique. Pourtant l’ambiance dans le groupe était saine. On est tous un peu responsables de ça : les joueurs, les entraîneurs et les dirigeants. Et puis on n’a pas été gâtés avec toutes ces blessures graves qui ont affaibli l’effectif. »
        Déçu par cette année terne, il était prêt à retrousser ses manches pour tenter de retrouver l’élite française qu’il avait d’ailleurs découverte avec Sélestat en arrivant il y a deux ans. Mais cela n’a pas pu se faire et Motlik a répondu à l’appel de son ancien club. « Sélestat constituait ma priorité. En avril, nous étions presque tombés d’accord. J’allais signer. Puis les choses se sont mises à traîner. Le dirigeant en charge des négociations a démissionné. Pendant trois semaines, je n’ai eu aucune nouvelle du club. C’était le flou le plus complet. Si bien que j’ai dit oui à une proposition mulhousienne. Car quand Jean-Paul Billig dit oui, c’est oui. Et j’avais besoin de savoir où j’allais. Ce n’est pas pour une question d’argent que je pars puisque les propositions étaient presque similaires. Maintenant j’espère que l’année prochaine Sélestat et Mulhouse monteront en D1. Ce serait bien. »

Christian Weibel
Source de l' ALsace

19 mars 2009

Micro-Violet avec Jérémy

Jérémy Chabert nous donne de ses nouvelles à travers un micro-violet qui se veut ''Tranquillot'' comme le soleil du Sud-Ouest dont il est très attaché.

Fred:  Salut Jeremy.Copie_de_Chabert_J
Jérémy Chabert: Salut

Fred: Alors, comment vas tu ?
Jérémy: Tranquillot (tranquille en béarnais)

Fred: Ta convalescence n'était pas trop longue?
Jérémy: Oh que si ! Peu importe la durée, c'est toujours trop long dans ces cas-là. Ca fait, maintenant cinq mois que mon opération s'est passée et je commence à peine à entrevoir la fin de mon indisponibilité.

 

Fred: Je pense que tu as dû arpenter la ville Sélestadienne de long en large, tu connais la ville comme ta poche maintenant et tu y es comme chez toi ?!
Jérémy: Je ne me permettrais pas d'affirmer pour le moment que je suis ici chez moi, surtout quand on n'est pas issu de la région. Aujourd'hui je commence à avoir mes repères et petites habitudes sur la ville et la région. C'est vrai que convalescent je trouvais sympa le fait de ne pas avoir besoin de véhicule pour aller me balader dans Sélestat surtout avec un bras immobilisé !

Fred: Et maintenant, tu as pu reprendre l'entraînement ? (depuis quand ?)
Jérémy: Oui, au début d'année j'ai pu reprendre une activité physique surtout cardio-pulmonaire et depuis ma dernière visite chez le chirurgien (10 février 2009), il m'a autorisé à reprendre la musculation et le handball mais sans opposition.

Fred: Donc pour l'instant pas de contact physique ?
Jérémy: C'est ça ! Pour le moment mon épaule est trop frêle. J'ai besoin de temps pour la reconstruire musculairement et aussi retrouver une gestuelle normale de handballeur. Il y a un risque qui existe si je brûle les étapes ou bien que l'on me fasse recommencer trop tôt et ça pourrait se traduire par des élongations ou tendinites à soigner !

Fred: Et tu penses pouvoir rejouer quand ?
Jérémy: Si mon épaule me laisse tranquile, il se pourrait que la reprise des entrainements normaux soit à partir du 16 mars. Après pour ce qui est de me voir sur un terrain pendant une rencontre officielle, ça ne dépend pas de moi.

Fred: Si Jean Luc te demande d'ici quelques semaines de commencer avec la réserve pour te ''réafuter'', tu serais content ou tu préfererais reprendre de suite avec les copains ? ¨
Jérémy: Même avec le mini-hand je suis dispo (rires...). Déjà remettre les pieds sur un terrain pour une rencontre avec le maillot violet sur les épaules, ça sera une bonne chose. Alors, que je joue en première ou en réserve je n'y vois aucun problème, le plus important c'est que je serais enfin sorti des galères liées à ma blessure.

Fred: Il y a déjà de sacrés ''Gaillards'' au sein de la réserve, tu les connais un peu ?
Jérémy: Oui, certains joueurs avaient fait la préparation estivale d'avant saison avec nous, puis d'autres ont rejoint l'équipe première progressivement durant la saison. Vu la situation de l'effectif avec tous les blessés il y a des places à prendre et surtout l'opportunité de saisir sa chance.

Fred: Penses tu pouvoir apporter quelque chose à l'équipe 1 avant la fin de saison ou malheureusement se sera trop tard ?
Jérémy: Le seul moyen de savoir si je peux apporter quelque chose à l'équipe ça sera sur le terrain.

Fred: En deux mot pour conclure, tes objectifs des prochaines semaines...
Jérémy: Etre à nouveaux sur les terrains de hand pour la fin de saison

Fred: Et bien merci pour tout.
        Au plaisir de te revoir au plus vite au centre du terrain avec un maillot violet sur les épaules.

Partenaire du déplacement à Chambéry:

Salon de Thé Koffel
2 RUE DU 17 NOVEMBRE - 67600 Sélestat
Tèl : 03.88.82.85.00

7 février 2009

ITW de Victor Boillaud sur Hand7

" Que ce soit en D1 ou en D2, les dirigeants comptent sur nous l'année prochaine "

Hand7 : Comment s’est déroulée la préparation de Sélestat avant la reprise du championnat ? Boillaud
Victor Boillaud : Nous avons joué six matchs amicaux face à des équipes étrangères et françaises. Nous avons décroché que des victoires. Vu que nous étions sur une mauvaise dynamique à cause des multiples défaites, cela nous a fait du bien de renouer avec la victoire. C’est bien pour la confiance de l’équipe pour la suite.

Hand7 : Vous allez affronter Pontault-Combault samedi en 16e de finale de la Coupe de France. Comment avez-vous préparé cette rencontre ?
V.B : Nous avons bien bossé à l’entraînement, nous avons regardé quelques vidéos sur Pontault-Combault. Nous si nous jouons bien, nous devrions gagner. Ce serait vraiment bien avant d’affronter Toulouse en championnat.

Hand7 : Sélestat est dernier du classement de D1 avec 2 points - à 5 points de l’avant-dernier Nantes. Quels sont justement vos objectifs pour la seconde partie du championnat ?
V.B : Notre objectif est bien sûr le maintien. Durant le mois de février nous devons renouer avec la victoire en championnat. Nous allons recevoir Toulouse, puis aller à Paris. Il nous faudrait au moins une victoire sur ces deux matchs pour nous relancer et conserver une chance de nous maintenir.

Hand7 : Dans quel état d’esprit se trouve le club sélestadien actuellement ?
V.B : Tout le monde a conscience que nous avons plus de chances de jouer en D2 qu’en D1 la saison prochaine. Mais tant que nous avons un espoir nous allons y croire. Nous allons donner tout ce que nous avons. De toute façon au vu des résultats de nos premiers matchs, nous allons être vite fixés. Le mois de février va être déterminant.

Hand7 : La trêve a-t-elle été bénéfique au collectif ?
V.B : Oui. La pression qui était très présente en décembre est redescendue. Aujourd’hui, j’ai eu une discussion avec les dirigeants et aussi l’entraîneur. Eux ce qu’ils voulaient nous dire c’est que ce soit en D1 ou en D2, ils comptent sur nous l’année prochaine. Le message qu’ils nous ont fait passer c’est qu’avec la nouvelle salle qui arrive il est important que le maximum de joueurs restent à Sélestat. Soit pour jouer en D1, soit pour se battre en D2 pour remonter directement.

Hand7 : Votre match de reprise à domicile contre Toulouse va être très important…
V.B : C’est certain. Si nous perdons face à Toulouse, cela va devenir vraiment compliqué. Mais nous les avons battu chez eux en début de saison, il n’y a pas de raison que nous n’y arrivions pas chez nous. Comme nous ne nous sommes pas encore imposés à domicile, ce serait vraiment bien pour nos supporters.

Source Hand7 du 06/02/09 hand7

Publicité
30 décembre 2008

ITW de Bastien Arnaud sur Hand7

 

ArnaudblankHand7 : Comment expliquer ce début de saison catastrophique ?

Bastien Arnaud : C'est difficile à dire. On fait un excellent premier match à Toulouse. Tout le monde joue bien, tout le monde est vraiment satisfait et nous nous disons que la saison va être bonne. Derrière on reçoit Paris. Alors que nous devons gagner, on connaît des échecs au tir, beaucoup de déchets… et puis les arbitres ne nous aident pas vraiment. On s'incline et la spirale infernale commence. Mais le vrai tournant, pour moi, se situe lors des rencontres face à Tremblay en coupe de la ligue et contre Aurillac à la maison. On s'écroule par deux fois et cela fait très mal psychologiquement.

Arnaud_au_butHand7 : Comment cela se passe avec votre public ? Des sifflets s'étaient fait entendre contre Istres.

Bastien Arnaud : Oui et je comprends les supporters. Maintenant, nous nous sommes réconciliés avec eux après notre match face à Créteil. Ils ont bien vu que nous nous donnions à fond, nous avons montré que nous avions envie de réussir. Il est vrai  qu'on a plus de facilité à se battre et à réagir à l'extérieur qu'à domicile.

Hand7 : Dans ces conditions difficile de croire au maintien…

Bastien Arnaud : Il nous reste treize rencontres à disputer et tant que mathématiquement c'est possible, nous devons y croire. Il faut vraiment partir dans cette optique-là. Si nous pensons déjà à la deuxième division, cela ne sert à rien de jouer. On verra bien à la fin du championnat. C'est sûr, nous jouons avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. C'est une nouvelle saison qui débute avec les matchs retour.hand7

Source Hand7 du 31/12/08

1 novembre 2008

Micro-Violet avec Mika

Comme promis, voici la surprise que les Violets vous a réservée :
Mickaël ROBIN nous a accordé une petite interview dès son retour en Savoie.

Mika

Les Violets (LV) : Déjà de retour en Savoie après ce match Sélestat - Chambéry. Je pense que tu devais attendre avec impatience ta venue en Alsace ?

Mickaël ROBIN (MR) : Avec impatience, oui et non, car c'était inéluctable de venir jouer cette saison au Cosec. Donc peu importe la période, cela m'a fait plaisir de revoir le Cosec.

LV : De revoir tes anciens "Potes" a du te faire plaisir ?

MR : Oui, les revoir m'a fait très plaisir, car durant mes années à Sélestat, j'ai pu nouer de fortes affinités avec eux.

LV : Ton analyse en deux mots sur le magnifique match auquel nous avons pu assister !

MR : Sur ce match, j'ai vu une bonne prestation des violets, ils ont produit de belles choses en attaque et se sont bien battus en défense, mais je retiens surtout de grosses périodes de relâchement de notre part fin première et fin deuxième période qui leur ont permis de s'exprimer beaucoup plus facilement. Cela a failli nous coûter cher !!

LV : Est-ce un avantage de connaître le Cosec et son environnement ? As-tu réussi à faire abstraction de tes émotions d'avant-match ?

MR : Le Cosec, je le connaissais en tant que joueur à domicile, par contre je ne le connaissais pas du tout en tant que visiteur ! C'était donc quelque chose de tout à fait nouveau pour moi. Et en ce qui concerne les retrouvailles, en dehors du terrain, ce fut très sympathique, mais sur le terrain il fallait ramener 2 points, donc pas de place pour ce type d'émotions !

LV : Que redoutais-tu le plus en venant dans ton ancien club ?

MR : De ne pas ramener les 2 points de la victoire.

LV : Maintenant que tu as changé d'équipe, quel regard as-tu sur l'ambiance qu'il y a dans la salle ?

MR : Ce déplacement a confirmé ce que je pensais déjà concernant les supporters et les spectateurs : très présents, qui font sans arrêt du bruit, encouragent leur équipe... Ils jouent parfaitement leur rôle, c'est vraiment un bon public.

LV : Cette ambiance, met-elle autant la pression que l'on vient bien le dire sur l'équipe adverse ?

MR : Après y être passé côté visiteur, je peux assurer que oui !

LV : Et ton regard sur les supporters qui se donnent coprs et âmes pour leur club ?

MR : J'admire leur passion pour le club et leur investissement, et ce même dans les périodes de doute où le beau jeu et les points ne sont pas au rendez-vous. J'en profite pour les remercier de l'accueil qu'ils m'ont réservé, ça m'a fait très plaisir !!

LV : Qu'est-ce que tu aimes le plus en Savoie depuis ton arrivée et qu'est-ce qui te manque le plus ?

MR : Ce que j'aime le plus, c'est le culte de la victoire de ce club, d'être en haut du classement et de s'atteler à y rester, voir viser la plus haute marche... C'est un challenge très excitant, tout comme jouer la ligue des champions et de tenter de jouer les troubles fêtes face aux ogres européens.
       
Ce qui me manque c'est bien entendu ma famille et mes amis, les petites habitudes que j'avais à Strasbourg, ... mais je le vis bien, il faut bien évoluer un jour et sortir de notre petit confort de vie !

LV : Que penses-tu de la prestation de Sélestat samedi soir par rapport à son début de saison plus que difficile ?

MR : C'était la première fois que je les voyais cette saison, c'est donc difficile de faire une comparaison, cependant ils ont montré de belles choses, et je leur souhaite vraiment de pratiquer ce même handball contre les petites équipes afin de se mettre le plus vite possible à l'abri !

LV : Lors du dernier Sélestat - Chambéry (31 mars 2008), tu disais aux journalistes alsaciens ne pas te voir dans la peau du gardien des jaune et noir. Cette fois-ci, t'es-tu vu dans la peau de Radek ?

MR : (Rires) Non, ce n'est pas le même contexte, ce samedi je ne m'apprêtais pas à rejoindre Sélestat pour l'année d'après. Mais cela m'a également fait bizarre de jouer face à lui, car même si je n'ai joué avec lui qu'un an, je l'apprécie beaucoup.

LV : As-tu un message à passer aux joueurs ?

MR : J'aimerais juste leur dire d'essayer de se faire plaisir sur le terrain, car dans les situations difficiles, on a tendance à l'oublier...

LV : Et pour conclure, un petit message aux supporters "Violets" ?

MR : Tout simplement, ne changez pas, vous êtes géniaux !

Le Club des Supporters te remercie chaleureusement
de lui avoir consacré un peu de ton temps.

Merci Mika.

24 octobre 2008

Jean-luc Le Gall: Changer d'état d'esprit

 

Jean-luc Le Gall: Changer d'état d'esprit

Voici une Interview faite par Hand7 juste avant le match de Montpellier.

Lire aussi l'article de Hand7 qui prouve avec un oeil exterieur, le bien fondé de nos encouragements à notre équipe du SAHB. Lire l'article.
Vidéo envoyée par hand_7

Publicité
<< < 1 2 3 4 5
Le 8ème Rugiss' Hand
Publicité
Archives
Publicité