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Le 8ème Rugiss' Hand
27 avril 2014

Sélestat 28-20 Cesson; La voilà enfin !

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Plus de quatre mois que les Violets courraient après une victoire en championnat ! Cesson a fait les frais hier de l’envie et de la défense de fer alsacienne (28-20). Et si Ivry, principal concurrent, a lui aussi gagné, Sélestat a enfin mis fin à la spirale négative.

Le public violet a enfin pu hurler de bonheur au coup de sifflet final. Et le vestiaire sélestadien a enfin résonné de cris de joie. Il suffisait d’être juste patient…

« On la cherchait depuis tellement longtemps », soufflait Arnaud Freppel après la rencontre, un large sourire accroché aux lèvres.

« Un véritable soulagement »

Cette victoire contre Cesson, la première des joueurs de Jean-Luc Le Gall en D1 face au club breton, est tout simplement la… première en championnat en 2014.

Depuis le 15 décembre et leur succès au Rhenus contre Chambéry (une première là aussi), ils tournaient désespérément autour de cette libération. « C’est un véritable soulagement », ajoutait ainsi l’ailier droit sélestadien.

L’entame de match allait rapidement rassurer le CSI. Cette fois, contrairement à leurs dernières sorties à domicile contre Dijon et Saint-Raphaël, les Violets ne loupaient pas leur départ.

Car si Genty détournait les deux premiers tirs de Beauregard et Vujovic, Salami avait lui décidé de ne rien rater. Dans son sillage, Sélestat prenait les devants (3-2 à la 8e puis 6-5 à la 15e ).

Le temps mort posé par David Christmann allait enrayer la dynamique alsacienne. Suty et Doré inversaient la tendance au tableau d’affichage (6-7, 17e ). Les Bretons trouvaient des espaces dans la défense violette, aussitôt exploités par les pivots Guillo et Anic (8-10, 21e ).

C’était alors au tour de Jean-Luc Le Gall d’interrompre la rencontre. Même remède, mêmes effets, mais pour Sélestat cette fois. Le 4-0 initié et conclu par Salami laissait Cesson pantois (12-10, 26e ). La défense ne laissait (presque) plus rien passer et Beauregard, en capitaine (exemplaire) d’un soir, donnait trois longueurs d’avance à son équipe à la pause (14-11).

Pourquoi, alors, s’arrêter en si bon chemin ? Jung s’échappait en contre-attaque pour lancer idéalement les siens dans ce deuxième acte (15-11, 31e ). L’arrière-garde sélestadienne se montrait infranchissable, Ivezic se chargeant de rattraper les (rares) erreurs de ses coéquipiers.

Après quatorze minutes en seconde période, Cesson n’avait marqué que trois petits buts, tous par l’intermédiaire de Derbier. Bien trop peu pour résister à l’envolée des coéquipiers de Salami, impérial sur son aile gauche (20-14 à la 44e ).

Cesson, handicapé par les blessures – mais que dire alors de Sélestat ? – ne trouvait plus de solutions, étouffé par l’envie alsacienne. Freppel lobait Genty, Beauregard nettoyait la lucarne bretonne, Sélestat se débarrassait de toutes ses récentes frustrations (23-15 à la 48e puis 25-18 à la 54e ).

Le (timide) rapproché adverse (25-20, 57e ) ne suscitait pas la moindre peur. Ivezic détournait trois tentatives de Le Boulaire en moins de deux minutes, François-Marie, Freppel et Salami parachevaient la renaissance violette (28-20).

« On a réussi à prendre de l’avance et, cette fois, à la conserver, appréciait Arnaud Freppel. Ça fait vraiment plaisir de regagner enfin. On a cassé la mauvaise spirale et on va essayer de surfer sur cette victoire pour bien finir le championnat. »

La soirée d’hier aurait pu être parfaite. Mais Ivry ayant dans le même temps dominé Chambéry (24-22), il faudra encore attendre pour le maintien sélestadien en D1. Mais après avoir attendu ce succès si longtemps, il serait malvenu de bouder son plaisir…

Source Dna par Simon Giovannini.

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20 avril 2014

Après Sélestat -St Raphael: On va s’en sortir ...

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Sélestat joue à se faire peur à force d’enchaîner les défaites depuis le début de l’année. Vincent Momper, le président sélestadien, veut croire que son équipe saura surmonter les difficultés actuelles.

Sélestat est-il en crise ? « Non », répond Vincent Momper. Mais en crise de résultats, c’est une évidence. « C’est sûr que l’on traverse un passage noir, un passage très difficile sportivement », ne peut nier le président sélestadien.

« Pas un chat, mais une meute de chats noirs ! »

On se répète, mais les coéquipiers de Frédéric Beauregard n’ont toujours pas gagné en championnat en 2014. Plus inquiétant encore, le jeu alsacien se délite au fur et à mesure des matches. Contre Saint-Raphaël, l’attaque violette a une nouvelle fois peiné à trouver de la fluidité. Et une nouvelle fois, Sélestat a perdu.

Certes, on peut avancer des circonstances atténuantes. Le rendement de n’importe quelle équipe serait affecté par la perte de son atout offensif numéro 1 (en l’occurrence Podsiadlo) et de son maître à jouer (Petrenko, qui a dû “abandonner” ses coéquipiers dès la 5e minute jeudi soir).

« Nous ne sommes vraiment pas épargnés par les blessures, souffle Vincent Momper. Ce n’est pas un chat, mais une meute de chats noirs qui rôde au CSI ! » Seulement voilà, « ça fait partie du sport » et Sélestat va devoir composer avec tous ces coups du sort.

« C’est clair que l’on ne s’attendait pas à vivre un moment aussi difficile, ajoute le président. Avec une équipe au complet, je pense que l’on serait tranquille. » Mais tranquille, justement, le club alsacien ne le sera pas tant qu’il ne regagnera pas.

Jamais les joueurs de Jean-Luc Le Gall n’avaient connu un tel passage à vide depuis leur retour en D1. « Toutes ces défaites marquent forcément le groupe, mais dans les moments difficiles, il faut encore davantage se serrer les coudes pour inverser la tendance. »

Il faut aussi se raccrocher aux branches, et espérer qu’elles ne rompent pas. « La “chance” que l’on a quand même, ce sont les résultats de nos concurrents directs. »

Dijon et Ivry, en effet, ne vont guère mieux et les Violets ont encore « les cartes en main ». C’est une hypothèse tout à fait possible : les coéquipiers d’Olivier Jung pourraient très bien se maintenir sans gagner le moindre match d’ici la fin de la saison.

« C’est toujours embêtant de devoir compter sur les autres, estime Vincent Momper. On veut que notre avenir ne dépende que de nous. » Pour cela, il va falloir (re)gagner, vite.

Le président veut croire que la tempête va bien finir par s’éloigner. « Si en plus on est pessimiste…, sourit-il. Il faut rester optimiste, mais ne pas être d’un optimiste béat. Il faut se dire que l’on a les moyens d’y arriver, même si ce ne sera pas simple. On va s’en sortir. » Puisse-t-il être entendu…

Yérime Sylla, l’ancien entraîneur de Dunkerque, s’est engagé hier ...

Source Dna, par Simon Giovaninni

11 avril 2014

Résumé de la 21ème journée: Statu quo en tête, Ivry broie du noir ...

 

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Le PSG s'impose face à Nantes, retrouve Montpellier à la 2ème place mais compte toujours trois points de retard sur Dunkerque, le leader. En queue de classement, Tremblay prend de l'oxygène au détriment d'Ivry qui se prépare à une fin de saison très tourmentée.

A Coubertin, l'assistance est de plus en plus clairsemée, l'accueil toujours aussi fade, l'ambiance artificielle mais qu'importe, les tauliers ont gagné. Après sa défaite face à Dunkerque et pour ne pas se laisser distancer encore un peu plus par les Nordistes et par Montpellier, le PSG se devait de réagir. Nantes n'était pourtant pas l'adversaire rêvé, mais les Parisiens y sont parvenus.

Sélestat (11ème) reste aussi sous la menace

     Les Alsaciens n'ont gagné que deux points (2 matches nuls) sur les neuf dernières rencontres de LNH. Ce manque de résultats du en partie aux nombreux blessés (ce mercredi à Nîmes, Fulop, Podsiadlo et Beretta étaient absents) se fait obligatoirement sentir au classement. Du coup, le maintien n'est pas assuré. Les deux prochaines réceptions face à des adversaires qui sont à l'abri de toutes mauvaises surprises (St Raphaël et Cesson) seront capitales.

Même en grappillant un point à Aix (33-33), Dijon reste dépositaire de la lanterne rouge. Les Bourguignons ne sont plus maîtres de leur avenir mais préfèrent y croire tant que mathématiquement, tout est possible. Mais le DBHB part de loin... de très loin.  

Les autres matchs pour le maintien

En queue de peloton, Ivry ne pouvait imaginer pire résultat face à Tremblay qui sort vainqueur de ce duel entre voisins et surtout entre mal classés. Le dénouement survenu dans les cinq dernières secondes avec un dernier tir gagnant lâché par Ibou Sall est certes cruel mais les hommes de Pascal Léandri ne doivent s'en prendre qu'à eux mêmes. Ils ont dominé ...

Même en grappillant un point à Aix (33-33), Dijon reste dépositaire de la lanterne rouge. Les Bourguignons ne sont plus maîtres de leur avenir mais préfèrent y croire tant que mathématiquement, tout est possible. Mais le DBHB part de loin... de très loin.  

A moins que l'extra-sportif ne l'emporte

Le classement est une chose, la réalité économique en est une autre. A la fin de la saison, tous les clubs de D1 et ceux de Pro D2 qui peuvent sportivement y accéder passeront au tamis de la commission de contrôle et de gestion de la LNH. Chacun devra présenter un budget global minimum de 1,6 millions d'euros hors droits télé et marketing. Si Créteil qui vient d'obtenir son billet pour la D1 ne devrait pas être inquiété, il n'en est pas de même pour certains candidats issus de la Pro D2. Dans ces conditions, l'US Ivry dont le budget cette année avoisinnait les 2,8 millions d'euros pourrait être repêché. Si bien entendu les Val-de-Marnais terminent avant-derniers.

Le calendrier des 4 derniers lors des cinq journées de LNH

Sélestat  13pts

Tremblay 13pts

Ivry   9pts

Dijon  8pts

r/ St Raphaël

à Dijon

à Nantes

r/ Tremblay

r/ Cesson

r/ Nantes

r/ Chambéry

à PSG

à Chambéry

à Aix

à Nîmes

r/ St Raphaël

r/ Nantes

r/ PSG

r/ Montpellier

à Cesson

à Dijon

à Dunkerque

à Aix

r/ Sélestat

Le classement après 21 journées

Pl Equipe Pts MJ Vic Def Nul But + But -    
1 Dunkerque 35 21 17 3 1 542 480    
2 Montpellier 32 21 16 3 2 675 568    
- Paris 32 21 15 4 2 649 592    
4 Toulouse 27 21 13 7 1 588 567    
5 Nantes 27 21 13 7 1 589 544    
6 Cesson 23 21 10 8 3 573 575    
7 St Raphael 22 21 11 10 0 598 618    
8 Chambéry 19 21 9 11 1 613 609    
9 Nîmes 17 21 8 12 1 566 575    
10 Aix en Provence 15 21 6 12 3 539 586    
11 Sélestat 13 21 5 13 3 575 628    
12 Tremblay 13 21 5 13 3 537 601    
13 Ivry 9 21 3 15 3 531 567    
14 Dijon 8 21 3 16 2 510 575  

Source Handzone

10 avril 2014

Nimes 31-30 Sélestat; La roue va tourner...

Comme contre Toulouse, Sélestat aurait mérité de prendre au moins un point. Comme contre Toulouse, les Violets se sont inclinés d’un petit but, hier à Nîmes (31-30). Il va falloir vite regagner pour se sauver.

Il faudra encore attendre pour voir Sélestat s’imposer dans le Gard (le dernier succès violet à Nîmes remonte à… 1996). Et il faudra aussi attendre pour voir Sélestat remporter son premier match en championnat en 2014.

Nîmes n’était pas vraiment plus fort hier. Mais les coéquipiers de Saurina ont peut-être parfois montré plus de détermination. « L’envie affichée par notre adversaire, on ne l’a eue que partiellement », pestait à chaud Frédéric Beauregard, l’arrière gauche alsacien. Sélestat n’était pas inférieur hier, mais il a commis trop d’erreurs, perdu trop de ballons. Et en donnant le bâton, il s’est fait battre.

Tout avait pourtant bien commencé. Tout fonctionnait, ou presque. Ivezic mettait en échec les tireurs gardois, Beauregard et Jung alimentaient la marque avec régularité et Sélestat prenait, logiquement, les devants (3-6, 10e ). Si les Violets manquaient une première occasion de prendre quatre longueurs d’avance, Freppel, en contre-attaque, ne loupait pas la deuxième (6-10, 16e ).

Et puis tout s’est soudainement détraqué. Jusque-là patients et précautionneux en attaque, les joueurs de Jean-Luc Le Gall n’ont subitement plus trouvé de solutions face à une défense gardoise plus concernée.

Et si l’USAM n’était pas géniale, elle grignotait peu à peu son retard. Le duo Mourioux-Haon, en inscrivant les quatre derniers buts de son équipe, lui permettait, in extremis, de virer en tête à la pause (14-13).

Mais Sélestat reprenait le fil de ses idées en début de seconde période. Salami et Jung illustraient le bon passage alsacien, Eymann décochait deux flèches de loin et les Violets reprenaient le contrôle des opérations (14-15 à la 33e puis 17-18 à la 38e ). Chaque équipe répondait à l’autre pendant encore quelques instants (21-21, 43e ).

Et puis la maladresse sélestadienne allait tout compliquer. Les pertes de balle devenaient (beaucoup) trop fréquentes, donnant (beaucoup) trop de munitions à une formation nîmoise vraiment heureuse du cadeau. Quelques contre-attaques plus loin, l’USAM s’était échappée (26-22, 48e ). « On perd trop de balles, mais on doit aussi se battre pour les récupérer », pestait toujours Frédéric Beauregard.

Un compteur vierge de victoire en 2014

Sélestat avait cependant trop besoin de points pour abandonner si tôt. Eymann permettait de recoller rapidement (27-25, 51e ), Salami l’imitait (28-27, 53e), mais les Violets allaient tourner autour de l’égalisation sans jamais l’accrocher. Ivezic entretenait l’espoir en détournant le penalty de Saurina (30-28, 58e ). Vujovic en faisait de même (30-29), mais le but, heureux, de Ferreiro dans la dernière minute douchait les dernières illusions alsaciennes (31-30).

Sélestat ne gagne plus et sa position au classement s’en ressent forcément. Certes, Ivry, le premier relégable, pointe toujours à quatre longueurs. « Mais il nous manque des points », résumait Frédéric Beauregard, forcément un peu « inquiet » par la tournure des événements.

« Il faut garder le mental que l’on affiche depuis plusieurs semaines. La roue va tourner », voulait positiver Jean-Luc Le Gall, malgré la déception. Le plus vite sera le mieux…

Source Dna par Simon Giovannini

9 avril 2014

21ème journée : Passages à niveau, attention danger...

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Six matches ce mercredi, l’affiche télévisée ce jeudi, la 21ème journée de D1 peut encore réserver son lot de surprises. L’équipe de Dunkerque supportera-t-elle la pression du leader ? Celles de Montpellier et de Paris referont-elles leur retard ? Qui terminera 4ème ? Qui sera condamné en Pro D2 ? Autant de questions qui restent en suspens.

Dunkerque ferait un très beau champion de France ! Certes ! Mais il reste six journées à disputer et malgré les 3 points d’avance....

Nîmes - Sélestat
Pour Nîmes (9è, 15pts) et Sélestat (11è, 13pts), la  question du maintien sera sur toutes les lèvres. Les deux formations aux accents bien différents traînent le même handicap. Leur parcours en LNH est trop irrégulier. Deux victoires à peine lors des dix derniers matches. Les Alsaciens se distinguent en étant toujours qualifiés pour les quarts de finale de la coupe de France. Dimanche, ils accueilleront Dijon. 

Les autres matchs pour le maintien

Aix - Dijon
A Dijon (14è, 7pts), va-t-on enfin se réveiller et profiter du déplacement à Aix en Provence (10è, 14pts) pour renouer avec le succès ? Un mot absent du vocabulaire bourguignon depuis quelques mois, la dernière victoire (en LNH) remontant...

Ivry - Tremblay
A découvrir (ICI) la présentation de Ivry (13è, 9pts) - Tremblay (12è, 11pts) à travers l'interview de Romuald Kollé, la dernière trouvaille des Val-de-Marnais.

Les autres matchs pour le haut de tableau:

St Raphael - Chambery
Entre St Raphaël et Chambéry, il sera inutile de se regarder en chiens de faïence pour s'apercevoir que le retard accumulé en championnat pour...

Montpellier - Toulouse
Montpellier
se déplace à Toulouse et pour la circonstance, Patrice Canayer dispose d'un effectif au complet. L'avantage pour les Héraultais ...

PSG-Nantes
PSG-Nantes
est devenu une sorte d'attraction, le "H" étant l'an passé, la bête noire des futurs champions de France. La série est en cours puisque encore cette saison, à l'aller,...

Le classement avant la 21ème journée:

Pl Equipe Pts MJ Vic Def Nul But + But -    
1 Dunkerque 33 20 16 3 1 516 457    
2 Montpellier 30 20 15 3 2 647 545    
- Paris 30 20 14 4 2 619 564    
4 Toulouse 27 20 13 6 1 565 539    
5 Nantes 27 20 13 6 1 561 514    
6 Cesson 23 20 10 7 3 550 549    
7 St Raphael 20 20 10 10 0 570 591    
8 Chambéry 19 20 9 10 1 586 581    
9 Nîmes 15 20 7 12 1 535 545    
10 Aix en Provence 14 20 6 12 2 506 553    
11 Sélestat 13 20 5 12 3 545 597  
12 Tremblay 11 20 4 13 3 511 576    
13 Ivry 9 20 3 14 3 506 541  
14 Dijon 7 20 3 16 1 477 542  

Source Handzone

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31 mars 2014

Après Sélestat 27-28 Toulouse: Garder cet état d’esprit ..

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Ils ne méritaient pas de perdre ce match, et encore moins dans ces conditions. Les Sélestadiens ont fait jeu égal avec Toulouse avant de subir une terrible désillusion. Sur une faute technique d’arbitrage ?

Les images, provoquant frustration et incompréhension, se bousculent dans la tête de Djordje Pesic, le pivot devenu gardien de fortune sur l’ultime penalty toulousain, celui de la défaite pour Sélestat. « Je pense qu’il n’y avait même pas penalty, il (Beauregard) était en dehors des 6 m. L’arbitre me dit : “Pesic tu vas au but”, alors que moi, je voulais sortir pour laisser la place à Obrad ! »

Obrad Ivezic, donc, ne sera pas autorisé à rentrer. Et le pivot, envoyé au casse-pipe alors que Sélestat jouait le tout pour le tout, ne peut rien sur le tir de Jérôme Fernandez… Les arbitres, MM. Denis et Bourgeois, dont quelques décisions étaient déjà défavorables les 59 minutes précédentes, ont-ils été dépassés par l’enchaînement des événements ?

« Sur un jet franc, on ne peut pas changer de défenseur mais, sur un penalty, un gardien si », précise Jean-Luc Le Gall. Le coach violet doute cependant que la réserve inscrite sur la feuille de match soit analysée d’une manière bienveillante à la fédération. « La logique voudrait que le match soit à rejouer, mais chaque cas est différent et je ne m’attache pas à cette réclamation. »

Du rare à l’improbable

« On fait un grand match, dans la lignée de celui livré face à Tremblay, face au 4e du championnat, qui dispose d’un Fernandez extraordinaire et dont tous les buts sont importants. Vu le nombre de blessés, et avec un seul gardien, on a pourtant su s’adapter à lui, ainsi qu’à Porte, et bien tenu le choc. Il reste six matches et d’autres tomberont, la roue tourne toujours. »

Sélestat reste 11e à l’issue de cette 20e journée, et se console en constatant que les deux derniers, Dijon et Ivry, ont fait match nul. « Nous sommes bien obligés de regarder derrière nous, mais mes pensées ne vont pas vers là. Dans ce cycle retour, nous n’avons raté qu’une seule mi-temps, contre Ivry. Une nouvelle fois, l’équipe n’est pas récompensée. Et il y a du lourd derrière, mais on peut faire un exploit à Nîmes et prendre des points à Saint-Raphaël. »

Louant l’état d’esprit, la qualité de jeu et le collectif, le Breton a pleine confiance sur les capacités et la volonté de son groupe. « Reproduisons ce que nous avons été capables de faire ! » Et cela en l’absence de cadres blessés ou en attente de punition. Une sanction plane sur Pesic, qui passera en commission de discipline le 24 avril pour le carton rouge d’Aix (et il en a aussi pris un à Tremblay). Une autre sur Beauregard pour son geste désespéré de samedi soir, où il a été excellent avec ses 10 buts.

« Il aurait été logique qu’on finisse devant, estime l’arrière gauche qui a marqué dans presque toutes les positions. Malgré les blessés, on affiche une belle mentalité en ne lâchant rien. »

Pawel Podsiadlo, lui, rongeait ses béquilles dans les tribunes : « Je vais être opéré du ménisque à Strasbourg mercredi, pour une absence de six ou sept semaines. C’est dommage pour nous, on aurait dû gagner. » Rien n’est perdu, mais sur le plan comptable, tout reste à faire pour rendre un bilan satisfaisant.

Source Journal Dna par Simon Giovannini

30 mars 2014

Sélestat 27-28 Toulouse: Trop cruelle, cette fin !

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Le SAHB ne s’est pas laissé impressionner par Toulouse. En menant pendant la grande partie du match, la victoire lui tendait les bras, mais quelques imperfections et une dernière ligne droite aussi animée que malheureuse le laisse à un but.

Une tuile ne tombe jamais seule : à la liste des blessés du SAHB avant ce match contre Toulouse s’est ajouté Obrad Ivezic. L’entorse au poignet n’a cependant pas empêché le gardien de tenir sa place au but, mais sans doute avec l’appréhension de prendre une mauvaise balle.

Au bout du compte, il sera l’un des meilleurs joueurs de la soirée. Après l’ouverture du score par Jung en pivot, c’est du pied qu’Ivezic stoppe la première tentative de Fernandez, l’ennemi numéro 1. Rien de mieux pour la confiance.

Les éléments sont contraires aux intérêts du SAHB à la reprise

Lorsque l’international marque après un échec initial, c’est sur penalty, la balle touchant cependant le bras du gardien sélestadien. Les deux équipes se tiendront tout au long de cette première mi-temps.

La défense agressive de Sélestat fait de son mieux pour contenir les assauts toulousains (3-4), avec le risque de concéder des jets à 7 m.

Devant, Sélestat éprouve les pires difficultés à passer au centre de la défense, où Zvijev et Osmajic forment un mur très haut. Perez de Vargas Moreno n’effectue son premier arrêt qu’à la 12e ’. Grâce aux décalages, et à trois buts consécutifs de Beauregard, le score bascule à nouveau en faveur des Violets.

François-Marie est aussi efficace deux fois (7-6), mais ses trois tirs à la hanche suivants échoueront ensuite sur le gardien.

Sélestat avait aussi raté deux occasions, en contre, de prendre deux buts d’avance. Et le cadre était aussi frappé trois ou quatre fois.

Le compteur de Toulouse augmente grâce à la vitesse des remontées de balle et aux penalties de Fernandez (4 réussites sur ses 7 buts en 30 minutes). À 9-9, Ivezic empêche Ilic de donner un but d’avance aux visiteurs.

Beauregard est chaud et Vujovic, qui a remplacé Petrenko au poste de demi-centre, accroît la marge (11-9).

Si Fernandez égalise à 12 partout, c’est cependant François-Marie qui marque le dernier but, en perçant aux 6 m pour tirer entre les jambes de Pardin qui avait pris place dans la cage quatre minutes avant.

Les éléments sont contraires aux intérêts du SAHB à la reprise (14-15) mais Salami, sur deux penalties et un tir de l’aile, et Ivezic, qui fait douter les tireurs toulousains, le remettent dans le bon sens de la marche (17-15).

La tension monte d’un cran lorsque Freppel, qui vient de lui marquer un but, et Pardin s’accrochent : leurs coéquipiers auront beaucoup de mal à les calmer, avant qu’ils ne se fassent exclure tous les deux.

Fernandez grignote (19-18), mais Beauregard lui répond, et Sélestat garde deux buts de mieux.

Ce sera encore le cas cinq minutes plus tard (22-20, 48e ’), mais Toulouse reste toujours au contact avant d’égaliser à 23 partout par Ilic. François-Marie et Vujovic échouent successivement sur Perez, et Andjelkovic plonge le SAHB dans le doute (23-24).

Pas pour longtemps, même si Salami expédie un penalty sur la barre. Les événements se précipitent alors : 26-25 – et une standing ovation méritée pour la prestation d’Ivezic – à 1’45 de la fin, Fernandez qui égalise puis Andjelkovic qui donne l’avantage (26-27), deux temps morts dans les trente dernières secondes, Sélestat qui choisit de sortir son gardien pour jouer en surnombre dans le champ.

Réserve pour une faute technique d’arbitrage

Tactique au demeurant gagnante avec un but de François-Marie à 9 m : 27-27. Malheureusement, le repli est défaillant. Sur le rapide engagement adverse, Beauregard bouscule un peu sèchement Chelle sur l’aile et prend un carton rouge.

Et c’est même une double peine : face au tireur de penalty attitré Fernandez, le “gardien” Pesic n’avait aucune chance…

Le SAHB a cependant déposé une réserve pour une faute technique d’arbitrage dans cette dernière séquence. À suivre…

Source Dna par Simon Giovannini

27 mars 2014

Présentation de la 20ème journée: Une journée décisive à tous les niveaux ?

Tej

Rien ne sera définitivement joué mais le scénario du 20ème épisode de la D1 masculine peut être préjudiciable ou favorable à quelques-uns. C'est le cas pour le trio de tête Dunkerque, Paris, Montpellier, c'est aussi le cas pour Dijon, Ivry et Tremblay toujours enlisés dans la zone des potentiels condamnés.

... Les temps ont changé et cette saison, le PSG malgré son budget hors normes a plus de mal à installer sa suprématie. Rien n’est joué et l’issue de la rencontre de jeudi ne peut sceller définitivement la saison 2013-2014.

Jusqu’au bout, Paris et Dunkerque vont se livrer un duel sans merci,...

Sélestat enchaîne les contreperformances et en championnat, les Alsaciens courent après un succès depuis le 15 décembre. Il y a bien eu ce point pris face à Paris, Aix et Tremblay mais cela n'a pas suffi pour assurer le maintien parmi l'élite. La venue de Toulouse est à double tranchant. Après un léger fléchissement en février, les partenaires de ...

Dijon, Ivry et Tremblay plus que jamais concernés par la descente

Dijon
a bien ciblé ses objectifs. Pour espérer encore s’en sortir et rester parmi l’élite, les Bourguignons n’ont aucun droit à l’erreur. Les trois rencontres qui arrivent avec en moins d’un mois, la réception des deux adversaires directs (ce jeudi face à Ivry et à la mi-avril, face à Tremblay) peuvent entretenir...

Les rencontres de la 20ème journée:

Equipe Receveuse Equipe Visiteuse Score Date  
Paris (2è, 30pts) Dunkerque (1er,31pts )   Jeudi 27/03  
Dijon (14è, 6pts) Ivry (13è, 8pts)    Jeudi 27/03  
Cesson (6è, 21pts) Nîmes (9è, 15pts)   Vendredi 28/03  
Montpellier (3è, 30pts)* St Raphael (7ème, 20pts) 35 31 Mercredi 26/03  
Nantes (4è, 25pts)* Aix en Provence (10è, 14pts) 26 25 Mercredi 26/03  
Sélestat (11è, 13pts) Toulouse (5è, 25pts)   Samedi 29/03  
Tremblay (12è, 9pts) Chambéry (8è, 19pts)   Jeudi 27/03  

* Ne prend pas en compte le résultat des matchs

Source Handzone

23 mars 2014

Résultat 19ème journée: Selestat 24-24 Tremblay; Plus fort que le sort...

   Il fallait gagner pour faire un pas de géant vers le maintien en D1. Même amoindri, Sélestat a su au moins ne pas perdre. Le point pris hier contre Tremblay (24-24) sera sans doute précieux.

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Il fallait être fort pour ne pas sombrer. Car les vents contraires étaient nombreux hier. Sélestat avait déjà abordé ce match décisif contre Tremblay largement diminué par les absences de Fulop, Beretta, François-Marie et Salami (les deux derniers cités devraient être de retour contre Toulouse le week-end prochain).

Et pour ne rien arranger, Pawel Podsiadlo devait quitter ses coéquipiers dès la 19e (touché au genou, le Polonais va passer une IRM pour connaître la gravité de sa blessure, mais il manquera plusieurs semaines). Comme un symbole, c’est après la sortie de son arrière gauche que Sélestat a commencé à plier.

« On a fait avec les moyens du bord »

Car l’entame de match avait montré toute la détermination alsacienne. Si Sall frappait le premier (0-1, 1re ), Pesic et Podsiadlo replaçaient rapidement Sélestat devant (2-1, 3e ). Et si les Violets trouvaient à trois reprises les montants de Malina, cela ne les empêchait pas de creuser l’écart. Le 3-0 initié par Freppel et conclu par Jung leur donnait de l’air (6-2, 11e ).

Le bateau sélestadien naviguait encore en eaux calmes jusqu’à cette maudite 19e minute, après le 4e but de Podsiadlo (9-6). Sans son atout offensif numéro 1, Sélestat commençait à tanguer. Muets pendant huit minutes, les joueurs de Jean-Luc Le Gall voyaient Tremblay recoller (10-10, 27e ) et même virer en tête à la pause (11-12).

Les affaires alsaciennes ne s’arrangeaient guère en début de seconde période. Bosquet donnait trois longueurs d’avance aux joueurs du 93 (13-16, 37e ), faisant craindre un scénario catastrophe. Drouhin insistait pour Tremblay (15-18, 39e ), Vujovic échouait deux fois sur penalty et Sélestat commençait sérieusement à trembler.

Mais cette équipe-là ne manque pas de cœur. Petrenko égalisait (18-18, 48e ), Freppel redonnait l’avantage (20-19, 51e )… avant un nouveau retournement de situation pour Tremblay (20-21, 54e ).

Pesic voit rouge

L’atmosphère devenait irrespirable. Freppel, sur penalty, trouvait la transversale (20-21, 54e ), mais Ivezic, encore une fois excellent malgré un genou douloureux (16 arrêts), détournait dans la foulée celui tiré par Drouhin. Et c’est Huck qui s’en allait sur son aile gauche égaliser (le premier but en D1 de sa jeune carrière) et faire renaître l’espoir (21-21, 55e ).

Un espoir qui semblait s’éteindre aussitôt quand Pesic voyait rouge à la 56e pour une faute pas vraiment évidente sur Drouhin. Boughanmi convertissait le penalty (21-22), mais Vujovic envoyait deux missiles pour remettre les compteurs à zéro (23-23, 58e ).

Ternel donnait une dernière fois l’avantage à Tremblay (23-24, 59e ), mais Petrenko égalisait encore (24-24, 60e ). Le tir de Bataille, à dix secondes de la fin, échouait sur le poteau d’Ivezic et Sélestat évitait le pire.

« On a fait avec les moyens du bord, souffle Jean-Luc Le Gall, l’entraîneur alsacien. Malgré ce contexte difficile, c’est vraiment positif d’avoir pris un point. Mais il va falloir cravacher lors des sept dernières journées pour décrocher les cinq encore nécessaires pour le maintien. »

Sélestat a prolongé son invincibilité contre Tremblay, qui dure depuis maintenant plus de deux ans.

Les Violets ont conservé quatre points d’avance sur le club francilien (et même cinq en tenant compte du goal-average particulier) et cinq sur Ivry, le premier relégable. Ils devront encore batailler pour conserver leur place en LNH, mais ils ont, et c’est finalement le principal enseignement de la soirée d’hier, évité que le spectre de la D2 ne se fasse trop pressant.

Source Dna par Simon Giovannini

22 mars 2014

19ème journée: Sélestat - Tremblay; L'heure de vérité

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Une défaite et la peur du vide, un succès et des promesses d’un printemps souriant : l’équation est simple pour Sélestat, ce soir contre Tremblay. Les Violets, même diminués, doivent gagner. Sinon…

« Ce match constitue LE tournant de la saison. » La phrase est de Guillaume Crépain, demi-centre de Tremblay. Mais elle aurait pu tout aussi bien être prononcée par un Sélestadien.

« L’équation est simple : il faut gagner »

Jean-Luc Le Gall, d’ailleurs, ne dit pas mieux : « C’est un vrai tournant ». Un simple coup d’œil sur le classement suffit pour illustrer les propos de l’entraîneur alsacien.

Une victoire donnerait aux Violets six points d’avance sur Tremblay (et même sept en tenant compte du goal-average particulier). S’il restera encore sept journées, Sélestat serait « presque définitivement à l’abri » pour son arrière gauche Frédéric Beauregard. Voilà pour le scénario idéal.

Car une nouvelle défaite à domicile face à un concurrent direct (après celle concédée contre Ivry) rebattrait totalement les cartes pour le maintien et placerait plus que jamais les coéquipiers de Yuriy Petrenko sous la menace du duo francilien Ivry-Tremblay.

« L’équation est simple, souffle “Bobo”. Il faut gagner. Et on va essayer de bien faire. Non, on doit bien faire. » Le bémol, et il n’est pas du tout dénué d’importance, c’est que les Sélestadiens vont devoir bien faire avec moins.

Laszlo Fulop, Kevin Beretta, Michal Salami et Jordan François-Marie ne seront pas là et c’est forcément très embêtant (doux euphémisme…). « On sait que ce sera encore plus difficile que les fois précédentes », lance Frédéric Beauregard.

Ce sera aussi plus dur parce que Tremblay joue sa dernière carte, parce que la dernière confrontation entre les deux équipes, si elle a une nouvelle fois tourné en faveur de Sélestat, s’était soldée par un match nul à l’issue du temps réglementaire, avant que Freppel et consorts ne se qualifient aux tirs au but pour les quarts de finale de la Coupe de France.

Si les coéquipiers de Quentin Eymann n’ont plus perdu face aux Franciliens depuis plus de deux ans, la tendance n’a jamais été aussi près de s’inverser, au regard de la cascade de blessés côté alsacien.

Alors, le public violet devra pousser encore plus fort que d’habitude derrière son équipe et les Sélestadiens devront montrer encore davantage d’engagement et de combativité.

L’avenir, c’est aujourd’hui

« Il faudra se montrer solidaires en défense, prévient Frédéric Beauregard. C’est comme ça que Sélestat peut gagner des matches. Oui, il y a des blessés, mais il va falloir faire sans et montrer que les autres joueurs sont capables de faire de belles choses. »

La marge de manœuvre est réduite, les Sélestadiens sont condamnés à l’excellence, mais ils en sont capables. « Il faudra réaliser un grand match, résume Jean-Luc Le Gall. J’ai confiance en mon équipe. »

Le passé récent incite à l’optimisme. Sélestat s’est parfois raté, mais a le plus souvent assuré dans les matches qu’il ne faut perdre sous aucun prétexte. « Cela ne servirait à rien d’avoir battu Chambéry au Rhenus ou d’avoir arraché le nul contre le Paris Saint-Germain si on n’arrive pas à prendre des points face à nos concurrents directs », souligne, lucide, Frédéric Beauregard.

Le maintien en D1 se joue avant tout lors de ces matches-là. Les Sélestadiens en sont conscients. Ils savent aussi que leur situation, avant le coup d’envoi, est plus enviable que celle de leurs adversaires. « On a toujours notre destin en main. On doit battre Tremblay pour que ce soit encore le cas », avance l’arrière gauche.

Les Violets n’ont toujours pas gagné en championnat depuis le début de la phase retour, mais ce premier succès tant attendu ne serait pas loin d’être celui de la délivrance.

Une victoire contre Tremblay et Sélestat pourra entrevoir un printemps souriant. Une défaite et les Violets plongeraient dans une spirale négative qu’il serait difficile d’enrayer.

L’avenir se joue aujourd’hui.

Source Dna par Simon Giovannini

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