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Le 8ème Rugiss' Hand

8 décembre 2012

Bis repetita pour françois-marie ?

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La Coupe de la Ligue ne rappelle que des bons souvenirs à Jordan François-Marie. L’arrière droit est ainsi le seul Sélestadien à avoir déjà soulevé le trophée. C’était en avril 2009, à Miami, l’un des temples de la NBA dont le joueur de 23 ans est particulièrement fan. Prêté par Montpellier à Istres, il avait contribué (4 buts) à la victoire surprise de l’équipe provençale face à… Montpellier en finale (22-20). « J’avais dix-neuf ans, je découvrais le haut niveau », sourit “Jojo”.

Trois ans après, le Violet, auteur d’un début de saison époustouflant (49 buts en 11 matches dont 9 lors de la dernière journée à Chambéry), retrouve le Final Four, avec l’envie de créer une nouvelle sensation. « Sur le papier, Nantes est plus fort que nous. Mais on sait se dépasser. Et il ne faut pas oublier que nous avons nous aussi des joueurs d’expérience comme Pawel  (Podsiadlo), Obrad  (Ivezic) ou Yuriy  (Petrenko). Aller en finale serait historique pour le club. »

S’il sait que Sélestat reste le Petit Poucet de ce dernier carré, Jordan François-Marie croit fermement aux chances de son équipe. « On sait que l’on peut faire quelque chose. C’est un rêve de gagner le titre, mais on y va pour ça. Notre force, c’est que nous n’avons aucune pression. »

« Je sens que l’on nous craint davantage »

Surtout, l’arrière droit sélestadien ne nourrit aucun complexe. « Je n’avais pas été intimidé à dix-neuf ans à Miami, alors aujourd’hui… »

Jordan François-Marie brûle d’impatience de montrer que Sélestat peut être un peu plus qu’un simple outsider. « Je pense que l’image du club a évolué aux yeux des gens. Quand je parle avec les joueurs des autres équipes, je sens que le discours a changé, que l’on nous craint davantage. On surprend et il faut continuer dans ce sens-là. On a prouvé que l’on méritait d’être en D1. Maintenant, on veut faire plus… »

Source Dna

Lire plus encore...

1) Ils sont 3...
2) Sans Pesic, resté à sélestat

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8 décembre 2012

Coupe de la ligue: Aux porte du rêve

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Retrouver le Sélestat Alsace Handball au Final Four de la Coupe de la Ligue n’est pas quelque chose de banal. C’est même une première dans l’histoire du club alsacien. Face à Nantes, nouveau riche  de LNH, les Violets voudront une nouvelle fois déjouer la logique, cet après-midi en demi-finale.

Nantes, Dunkerque, Chambéry… et Sélestat. Cette 12 e édition de la Coupe de la Ligue a réservé une jolie surprise. Pas de Montpellier, huit fois vainqueur de la compétition, pas de Paris, éliminé en quart de finale par de brillants Nantais, au Final Four. Mais bel et bien les Sélestadiens, “intrus” de ce dernier carré ; des “intrus” que tout le monde en LNH prend cependant très au sérieux après leurs récents coups d’éclat.

« Nous sommes outsiders, c’est une évidence »

Et pourtant, le Sélestat Alsace Handball n’appartient pas (encore) à ce monde-là. Le contraste est même saisissant : là où le club violet affiche 1,9 million d’euros de budget, ses adversaires évoluent dans d’autres sphères (4,4 pour Chambéry, 3,5 pour Dunkerque et 3,2 pour Nantes).

Les esprits chagrins diront que les coéquipiers de Yuriy Petrenko n’effectueront qu’un bref passage à Toulouse, théâtre du Final Four. Les plus audacieux feront remarquer qu’Istres, vainqueur surprise en 2009, devait en faire de même.

« Nous sommes outsiders, c’est une évidence, souligne Jean-Luc Le Gall. Nos adversaires font partie du Top 5 du championnat et ce sera encore le cas en fin de saison. » Cette participation au Final Four ne fait pas tourner la tête à l’entraîneur sélestadien.

Le rendez-vous toulousain peut constituer, dans le plus beau des scénarios, une parenthèse enchantée pour un club avant tout focalisé sur son parcours en championnat. C’est donc sans pression, mais pas sans ambition, que les Violets ont rallié la ville rose.

« On a le même objectif que les trois autres équipes qualifiées, lance Jean-Luc Le Gall. On va jouer notre chance à fond. On va s’appuyer sur notre cohésion, notre volonté de se dire que rien n’est impossible. Nous avons montré que nous n’étions pas si loin que ça de ces équipes-là. Théoriquement, Nantes, Dunkerque et Chambéry sont plus forts que nous, mais encore faut-il le prouver sur le terrain. »

Là où Dunkerque et Chambéry marquent le pas actuellement, Nantes reste sur quelques performances de choix, notamment une victoire sur le parquet du PSG en quart de finale (35-36 a.p.). « C’est une équipe bien bâtie avec des joueurs expérimentés, à l’image d’Alberto Entrerrios que l’on ne présente plus, et un entraîneur qui ne l’est pas moins, analyse Jean-Luc Le Gall. Nantes est taillé pour gagner ce titre et l’a prouvé en sortant Paris. »

« Une Coupe de la Ligue sans favori »

« Sur un Final Four, la forme du moment est très importante. Et nous ne sommes pas spécialement en “surchauffe” actuellement », estime le coach alsacien, dont l’équipe n’a cependant concédé qu’une seule défaite lors des cinq dernières rencontres et surtout réalisé deux matches nuls contre Montpellier et Chambéry.

« Ce n’est pas la première fois que nous aurons cette étiquette d’outsider, souffle Jean-Luc Le Gall. Faisons un match parfait et nous compterons les points ensuite. »

Le Sélestat Alsace Handball peut-il bouleverser l’ordre établi ? Personne n’ose affirmer le contraire. Interrogé par le site internet spécialisé  Handzone, Jérôme Fernandez, le capitaine de l’équipe de France et de Toulouse, évoque « une Coupe de la Ligue sans favori ». C’est précisément ce qui rend ce Final Four toulousain particulièrement attrayant.

Source Dna

7 décembre 2012

Et si Sélestat se prenait pour Istres ?

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La coupe de la Ligue n’aimerait-elle pas les petits poucets ? Pour preuve, en onze éditions, Montpellier a inscrit huit fois son nom au palmarès. Istres est la dernière équipe à avoir contrarié l’hégémonie héraultaise. C’était en avril 2009 à… Miami. Le soleil de la Floride avait plutôt bien réussi à la troupe de Christophe Mazel. 
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Le souvenir doit être aussi tenace dans la tête de Jordan François-Marie. Prêté alors par Montpellier, l’arrière droit sélestadien avait été un des artisans du succès provençal. Il a donc les recettes de cette compétition en deux temps. Cette saison, Sélestat est encore sur la corde raide. Le 12ème budget de LNH n’a pas permis aux Alsaciens de faire des folies  et l’entraîneur Jean Luc Le Gall a composé avec l’ossature (relativement rajeunie) de la saison passée. Au complet et sécurisée par un Ivezic ou un Fulop en état de grâce dans les buts, l’équipe de Sélestat est capable de tout. Elle l’a prouvée récemment en prenant un point à Montpellier et Chambéry. Cette demi-finale face à Nantes sera également l’occasion de voir sur le parquet, deux des plus séduisantes gâchettes de la D1. Le Sélestadien Pawel Podsiadlo (à gauche sur notre photo) et ses 52 buts et surtout le Nantais Valero Rivera et ses 74 réalisations qui le placent en 2ème position des buteurs du championnat, derrière un certain Basic. Nantes a une belle équipe avec son armada ibérique, les meilleurs supporters (en terme d’assiduité) mais n’a toujours rien gagné si ce n’est la reconnaissance du monde du handball.
Cette saison entre Nantes et Sélestat
1ère journée en D1   (15/09) Sélestat-Nantes 24-29
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Le programme des Finalités de la Coupe de la Ligue
Lieu: Palais des Sports de Toulouse
 
Demi-finales samedi 8 décembre 2012
 
Nantes-Sélestat 14h (arbitres : Thierry Dentz-Denis Reibel)
Dunkerque-Chambéry 16h15 (arbitres : Laurent Reveret-Stevann Pichon)
7 décembre 2012

La phrase du jour: Sélestat, un poison pour Nantes

 

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Jérôme Fernandez: "Une Coupe de la Ligue sans favori"

Qui inscrira cette année, son nom au palmarès de la coupe de la Ligue ? Chambéry, Dunkerque, Nantes et Sélestat sont tous candidats à la succession de Montpellier. Pour le capitaine de l’équipe de France Jérôme Fernandez, aucun favori ne se dégage de ces finalités organisées, « chez lui » à Toulouse.

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Les Alsaciens sont les petits poucets…
          Sélestat est présenté comme le petit poucet mais si j’étais Nantes et les autres,  je m’en méfierai. C’est une équipe qui joue bien au ballon, qui a tendance à faire de bons matches contre les gros et gagner contre les équipes de leur niveau. Ils ne sont pas là par hasard et ils risquent d’être un poison pour Nantes.
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6 décembre 2012

Coupe de la Ligue: Jordan François-Marie « surtout ne rien lâcher »

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Passé par Montpellier et Istres, qui firent l’histoire de cette Coupe de la Ligue, Jordan François-Marie sera un des fers de lance de l’équipe de Sélestat à l’occasion du dernier carré de la compétition qui aura lieu ce week-end à Toulouse. Il se livre à quelques jours de l’événement.

Jordan, Sélestat n’a enregistré qu’une défaite lors des 4 derniers matchs de championnat (pour une victoire et deux nuls), après s’être qualifié pour la demi-finale de cette Coupe de la Ligue. Ca a l’air d’aller plutôt bien en Alsace ces derniers temps, non ?
     
Ca fait en effet 5 matchs que l’on est bien en place. On est peut-être en train de passer un cap cette saison, même si certaines performances peuvent être relativisées. On fait nul à Chambéry, au Phare, et même si c’est rare de prendre un point là bas, il faut aussi dire que les Savoyards étaient peut-être un peu usés. Néanmoins, on reste très content de ce type de résultat. On travaille dur pour ça.  Je pense que ça va dans la lignée de ce que l’on a produit la saison dernière où on avait aussi réussi quelques bons coups. Le groupe grandit, les jeunes -moi y compris- s’aguerrissent et les anciens sont aussi bien présents.

Cette accession au dernier carré de la Coupe de la Ligne, est-ce un symbole de cette évolution ?
      
C’est une première et ça prouve que l’on a passé un certain cap. On va aller à Toulouse avec l’idée que l’on a rien à perdre, contrairement au championnat où il faut toujours avoir en tête l’idée de prendre des points pour obtenir le maintien. On va jouer libérés et se faire plaisir au maximum. En plus, on lit à droite et à gauche que l’on commence à faire un peu peur aux équipes que l’on affronte, c’est positif, il faut s’en servir.

Jordan Vainqueur Coupe de la Ligue 2009

Sélestat va affronter Nantes en demi-finale. Que pensez-vous de cette équipe ?
      
Nantes, c’est pas mal d’internationaux qui ont du vécu, une équipe complète avec un gros « trident espagnol » qui fait très mal sur la base arrière. Ils sont peut-être meilleurs que nous a priori, mais on a des qualités à faire valoir. On a des joueurs de qualité qui ont joué la Ligue des Champions, des matchs internationaux et puis toute une équipe dont chacun des membres donnera tout sur le parquet pour être au niveau. On est peut-être un peu le Istres de 2009…

Que faudra-t-il pour battre Nantes ?
      
D’abord réaliser un match plein pendant 60’. Ensuite s’appuyer sur notre bonne paire de gardiens et avoir aussi de la réussite. Et surtout ne rien lâcher, même si on est un peu derrière, s’accrocher et essayer de revenir petit à petit.

Avec 49 buts, vous êtes le deuxième meilleur buteur de Sélestat et un élément important de cette équipe. On a l’impression que vous vous épanouissez pleinement…
       
Je me sens bien ici. Il y a un beau défi sportif à faire grandir cette équipe. J’essaye d’apporter le plus possible en me fondant dans le collectif aux côtés de joueurs expérimentés comme Petrenko, Ivezic, ou Podsiadlo par exemple.

Source Lnh

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5 décembre 2012

Sondage: Selon vous, quel sera l'équipe qui soulèvera la Coupe de La ligue 2012 ?

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5 décembre 2012

Sondage: Selon vous, quel sera le parcours de nos violets dans le final Four ?

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5 décembre 2012

Coupe de la Ligue: J-4; un nouveau site pour le grand évenement

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      A l’occasion de la Coupe de la Ligue et de son dernier carré, la LNH met en ligne un site dédié avec toutes les informations concernant l’événement. A découvrir sans plus attendre.

      A événement exceptionnel, dispositif exceptionnel. Pour le Final Four de la Coupe de la Ligue qui aura lieu à Toulouse les 8 et 9 décembre, la LNH a décidé de mettre en ligne un site dédié à l’événement sur lequel il sera possible de retrouver toutes les informations de la compétition, des déclarations, des interviews sur les équipes de l’élite mais aussi sur la Coupe de la Ligue des Grandes Ecoles.

Coupe de la ligue

A découvrir ici

3 décembre 2012

Résumé de 11ème journée: Paris poursuit sa route, Sélestat contrarie Chambéry

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En D1 masculine, les semaines se suivent et se ressemblent. Le PSG est toujours en tête, Billère toujours dernier, Nantes et Dunkerque sur les talons de Chambéry et Montpellier qui sont eux, à la lutte pour le fauteuil de dauphin. 
Ce 11ème succès d’affilée du PSG n’est pas le plus éclatant mais les hommes de Philippe Gardent poursuivent leur sans faute en championnat et font une excellente opération sur le plan comptable. Ils profitent  encore des tâtonnements d’une équipe de Dunkerque en échec à Tremblay et des matches nuls de Chambéry face à Sélestat et de Nantes face à Saint Raphaël.
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    Chambéry   35-35          Sélestat
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En milieu de semaine, Sélestat et Olivier Jung (notre photo) avaient tenu en échec Chambéry et fait le plein de confiance avant d'aborder en petit poucet qui n'aura rien à perdre, les finalités de la coupe de la Ligue. Peut-être d'ailleurs, qu'à la faveur d'un succès sur Nantes et Dunkerque (les deux autres demi-finalistes), Alsaciens et Savoyards se retrouveront en finale de la compétition, dimanche prochain à Toulouse ?
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Source Handzone
30 novembre 2012

Après Chambéry : Le SAHB chasseur de tête

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         Ce mois de novembre restera gravé dans les annales du SAHB comme celui des grandes premières. Car après avoir tenu Montpellier en échec, le SAHB a récidivé mercredi en prenant cette fois un point à Chambéry, validant ses progrès face aux gros bras de la LNH.

      Qu’on ne s’y trompe pas, Sélestat n’a pas changé de catégorie. Son objectif prioritaire reste toujours le maintien. Il n’empêche qu’on ressent depuis quelques semaines comme un petit frissonnement, à la lumière de ses prestations de plus en plus régulières depuis le début du championnat. À la vue de ses résultats, aussi, de plus en plus convaincants. Si on leur avait dit avant le début de la saison qu’ils allaient partager les points avec des gros bras comme Montpellier et Chambéry, les Sélestadiens auraient signé de suite.

      Car de tels résultats relevaient, jusqu’à il y a peu, du domaine du fantasme. Ou invitaient à un périple dans le temps puisqu’il faut remonter, dans les deux cas, douze ans en arrière pour trouver trace d’un autre résultat qu’une défaite contre le champion et le vice-champion de France. Bref, les deux points grappillés à Montpellier et Chambéry sont historiques. Et méritent d’être savourés comme tels. Ils valident aussi les progrès d’un groupe qui sort d’une saison où il a obtenu son maintien en prenant des points contre quasiment toutes les équipes de l’étage inférieur, sans jamais parvenir à accrocher une équipe du top 5 - à l’exception de Nantes à domicile. Cette année, Jean-Luc Le Gall avait fixé comme challenge à son groupe d’essayer d’être productif contre ce genre d’adversaires. Ses joueurs l’ont parfaitement relevé avec ces deux matches nuls contre les deux duettistes les plus réputés de la LNH. « Ces deux résultats sont dans la continuité de nos dernières sorties et confirment nos progrès, notamment dans la gestion de la balle, estime Jean-Luc Le Gall. Je sentais l’équipe prête à le faire. Encore fallait-il que le contexte lui soit favorable. Pour arriver à un tel résultat, il a fallu sortir un match complet. Tout le monde a été bon. Avec un gardien épatant qui a réussi des arrêts déterminants et quelques joueurs vraiment exceptionnels. »

    Cela commence par Obrad Ivezic impeccable dans les buts (17 arrêts), des défenseurs intraitables à l’image de Guynel Pintor ou Pawel Podsiadlo dissuasif sur Detrez et des arrières en verve : Podsiadlo, encore, qui finit avec 11 buts sur le côté gauche et Jordan François-Marie (8 buts) à droite. Sans oublier l’auteur du but égalisateur, Kevin Beretta, qui est parvenu à tromper Cyril Dumoulin sur un ultime face à face capital à la dernière seconde alors que Chambéry menait 35-34. « On travaille avec lui sur l’exercice spécifique des penaltys depuis deux semaines. C’est un garçon qui possède un gros poignet et qui ne doute pas », justifie son entraîneur.

    L’intéressé avoue qu’il n’était pas aussi sûr de lui au moment de s’élancer pour ce quitte ou double: « Je ne faisais pas le fier quand on m’a mis la balle dans la main. Le public me huait mais j’ai essayé de ne rien laisser paraître. Ce genre de situation m’était déjà arrivé mais dans des matches de jeunes aux conséquences moindres. Quand j’ai marqué le but égalisateur mon premier réflexe a été de me tourner vers le banc, le poing serré. Toute l’équipe m’est tombée dans les bras. Ce sont des sensations monstrueuses. »

    Le jeune ailier gauche et ses coéquipiers ont touché là la récompense d’une attitude parfaite et de choix judicieux qui leur ont permis de ne jamais sombrer, même menés de cinq buts (25-20) dans une ambiance hostile. Cette performance est de bon augure avant la demi-finale de la Coupe de la Ligue le 8 décembre contre Nantes. « On va nous prendre encore plus au sérieux alors que je misais sur l’effet de surprise, » plaisante Jean-Luc Le Gall. Ces deux résultats vont peut-être donner une autre étiquette à son équipe. Mais c’est tant mieux.

SOurce L'Alsace par Christian Weibel

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