Coupe de la Ligue, Sélestat peut voir la vie en rose
Qualifié pour la première fois de son histoire dans le dernier carré de la Coupe de la Ligue, qui se déroulera en décembre à Toulouse, Sélestat peut continuer de rêver durant les six semaines à venir.
Si la Coupe de la Ligue ne faisait pas partie des objectifs du SAHB, elle l’est devenue par la force des choses grâce à deux succès sur Tremblay et Créteil qui l’ont propulsé dans un dernier carré plutôt inattendu. En effet, les deux grosses écuries au départ de la saison, Montpellier et Paris, manqueront à l’appel lors du final four qui se déroulera à Toulouse le week-end des 8 et 9 décembre. Si bien que les Violets, qui ont décroché pour la première fois de leur histoire une qualification pour une demi-finale de cette compétition réservée aux clubs de l’élite, y côtoieront Nantes, Dunkerque et Chambéry. Ces trois adversaires rêvent certainement de tomber sur l’équipe alsacienne lors du tirage au sort puisqu’elle est, sur le papier, celle qui semble la plus abordable.
De son côté, Sélestat a désormais une belle carte à jouer dans une compétition qu’il abordera sans aucune pression. Il y a quinze jours, elle a su tenir tête jusque dans les dernières secondes du match à Dunkerque, ne cédant que de deux buts (25-27) contre la seule équipe désormais invaincue depuis le mois de septembre puisque le PSG est tombé hier, à la surprise générale, face à Nantes.
L’exemple de Jordan François-Marie
Yuriy Petrenko et ses coéquipiers ne disposeront, certes, pas de l’avantage de jouer à domicile, mais ils compenseront ce handicap par un état d’esprit et une combativité qui peuvent leur permettre de croire en leur chance et de créer une surprise afin de se hisser jusqu’en finale. Ce sera le prochain objectif d’une équipe qui, si elle joue désormais sur deux tableaux, sait que la priorité reste toujours le championnat.
Novice à ce stade de l’épreuve, le SAHB peut demander la recette à son arrière droit, Jordan François-Marie, qui a remporté cette coupe en 2009 avec Istres. Cette année-là, du côté de Miami où la Ligue s’était décentralisée, le rêve américain était devenu réalité pour le Petit Poucet qui s’était permis de battre Montpellier en finale. Le meilleur marqueur sélestadien va-t-il pouvoir réaliser une surprise aussi énorme trois ans plus tard ? Rien n’est moins sûr. Mais son expérience peut permettre à tout le groupe de croire en sa bonne étoile.
Maintenant que le train est lancé qui sait où l’aventure peut s’arrêter ? Brutalement, au stade des demi-finales, comme en avril 2008 lorsque Sélestat a raté la dernière marche pour accéder à la finale de la Coupe de France en perdant ses moyens lors d’une première période catastrophique au Palais des sports de Mulhouse contre Paris ? Ou alors dans l’euphorie, comme en juin 1995, lorsque le SCS d’alors, s’était hissé jusqu’en finale de la Coupe de France où il avait tenu tête au grand OM-Vitrolles de l’époque, en faisant match nul à domicile avant de céder de cinq buts chez l’ogre marseillais ?
Toutes les coupes laissent toujours une grande part au rêve. Les Sélestadiens ont désormais six semaines pour continuer de voir la vie en rose avant de tenter leur chance à Toulouse où ils ont, soit dit en passant, toujours bien réussi en championnat en y ramenant des succès contre le club local lors de leurs deux derniers passages. Mais avant ce petit extra qu’ils se sont octroyé au prix de deux prestations abouties contre Tremblay et Créteil, il leur faudra assurer en championnat. Dans deux semaines, ils défieront Montpellier au Rhénus (dimanche 11 novembre à 16 h) avant d’aller à Ivry, de recevoir la lanterne rouge Billère et de se déplacer à Chambéry. S’ils négocient bien ce rude programme, le dessert du final four toulousain n’en sera que plus savoureux.
Résultat 1/4 de finale: Sélestat - Créteil : 34 - 19; Sélestat est en demi-finale
À la table des grands
C’est une grande première dans l’histoire du Sélestat Alsace Handball. En écrasant Créteil, hier en quart de finale (34-19), les Violets se sont qualifiés pour le Final Four de la Coupe de la Ligue, qui se disputera en décembre à Toulouse.
« Pourquoi pas rêver ? », soufflait dans un large sourire Jean-Luc Le Gall, quelques secondes après le coup de sifflet final. C’est peu dire que l’entraîneur sélestadien a savouré la qualification de son équipe pour le Final Four de la Coupe de la Ligue, au terme d’un match presque parfait face à Créteil.
« On voulait montrer que Sélestat fait partie du paysage de la LNH »
Une qualification qui permet aux Violets de s’inviter à la table des grands : Chambéry, vainqueur de Toulouse hier, en attendant les résultats des deux derniers quarts de finale aujourd’hui, Dunkerque-Montpellier et PSG-Nantes.
Ce n’est pas minorer la performance des coéquipiers de Yuriy Petrenko de dire qu’ils avaient été gâtés par le tirage au sort. Encore fallait-il se débarrasser d’une équipe de Créteil en net regain de forme, mais orpheline hier de son capitaine et cerveau Fabrice Guilbert, dont l’absence s’est cruellement fait ressentir dans les rangs franciliens. Les Sélestadiens ont franchi l’obstacle avec maestria, livrant un match sérieux de bout en bout.
« L’adversaire a raté son match, mais nous avons fait le nôtre de A à Z. Nous n’avons pas eu de creux, appréciait Jean-Luc Le Gall. J’espère que l’on rééditera ce genre de performance en championnat. »
Dans le sillage d’un duo de gardiens une nouvelle fois brillant (12 arrêts chacun pour Fulop et Ivezic), le Sélestat Alsace Handball a fait la course en tête d’un bout à l’autre de la rencontre. Au quart d’heure de jeu, Créteil était déjà nettement distancé (8-3, 16 e’), dépassé par la vista des tireurs alsaciens (sept joueurs à 100 % de réussite).
Le coach violet pouvait pianoter sur son banc, sans que l’allant de son équipe n’en soit perturbé. Beretta, dans un angle complètement fermé, trompait Tabarand pour maintenir l’écart (10-6, 20 e’). Aman ne gâchait pas les offrandes de ses coéquipiers et Sélestat prenait le large dans les dernières minutes de la première période (15-8 à la pause).
L’idéal scénario se poursuivait en seconde période. Le 5-0 initié par Jung repoussait Créteil très loin (20-9, 39 e’). Rien ne semblait pouvoir empêcher les Cristoliens de sombrer, d’autant que Podsiadlo et consorts ne fléchissaient pas (24-12, 44 e’). Si Jerkovic se signalait enfin dans le but francilien, Créteil n’y croyait plus vraiment, en dépit d’un léger rapproché (26-17, 51 e’).
Invité surprise
Ce n’était pas vraiment une alerte, mais les Violets réagissaient très vite pour finir la rencontre en trombe (8-2 dans les huit dernières minutes, 34-19 au final).
Le Sélestat Alsace Handball est ce matin qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue. Il en sera l’invité surprise, même s’il a largement mérité sa place.
Et si le Final Four n’est pas idéalement placé dans le calendrier, juste avant deux rencontres importantes pour le maintien en D1 contre Aix-en-Provence et Toulouse, c’est tout un club qui ne boude pas son plaisir. « Cela ne tombe pas très bien, mais on ira à Toulouse (théâtre du Final Four, ndlr) avec le maximum d’ambitions, assurait hier le coach violet. Il n’y aura que des clients et cela peut-être l’occasion pour nous de franchir un nouveau palier. »
Voir le SAHB remporter la Coupe de la Ligue serait une énorme sensation. Mais là n’est pas le plus important. Le club violet ne cesse de consolider sa place dans l’élite du handball français. « On voulait montrer que Sélestat fait partie du paysage de la LNH », indiquait Jean-Luc Le Gall. Qui en doutait ?
Source Dna
1/4 de finale CdL: Sélestat - Créteil; La vie en rose ?
Sélestat peut ajouter un glorieux chapitre à son histoire, ce soir face à Créteil. Les coéquipiers de Jordan François-Marie veulent se qualifier pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue et apporter une touche de violet dans la ville rose, lors du Final Four à Toulouse début décembre.
Il est seul Sélestadien à avoir remporté la Coupe de la Ligue. C’était en 2009 et Jordan François-Marie, même pas 20 ans à l’époque, avait contribué à la victoire surprise d’Istres aux dépens de Montpellier (quatre buts en finale). « C’est forcément un bon souvenir. Mais j’étais arrivé en cours de saison (prêté par… Montpellier, ndlr) et je n’avais pas participé à la qualification pour le Final Four. Le meilleur reste la montée en D1 avec Sélestat », souffle l’arrière droit.
« On a eu de la chance lors du tirage au sort. À nous d’en profiter »
Au-delà du titre, Jordan François-Marie se souvient surtout de sa découverte des États-Unis (le Final Four s’était déroulé à Miami, ndlr). « C’est une ville qui fait rêver. Je suis fan de NBA et j’avais pu voir un match entre Miami et La Nouvelle-Orléans. C’était énorme ! »
Toulouse, théâtre du Final Four de cette édition 2012, ne manque pas de charme, mais fait sans doute moins travailler l’imaginaire de Jordan François-Marie et de ses coéquipiers. « Ça reste un Final Four, souligne le Sélestadien. Et il y aura plus de monde dans la salle (sourire). » La finale 2009 s’était en effet jouée devant à peine 1 000 spectateurs dans la somptueuse American Airlines de Miami. Un flop intégral.
L’ambiance promet d’être beaucoup moins confidentielle dans le Palais des Sports toulousain, les 8 et 9 décembre. Et le Sélestat Alsace Handball n’entend pas laisser passer l’occasion de s’inviter au Final Four de la Coupe de la Ligue pour la première fois de son histoire. « Ce serait super pour le club », lance “Jojo”, artisan majeur de la qualification contre Tremblay lors du tour précédent (5 buts).
L’arrière droit brûle également d’envie de s’inviter dans le dernier carré et de retrouver les meilleures équipes de l’Hexagone. « Une défaite contre Créteil en Coupe de la Ligue serait moins importante qu’en championnat, explique-t-il avec la franchise qu’on lui connaît. Mais on veut se qualifier pour les demi-finales de cette compétition où on ne nous attendait pas vraiment. Cela prouverait qu’il faut compter avec Sélestat en LNH. »
Créteil, en net regain de forme après un début de saison compliqué (victoire contre Toulouse et match nul face à Chambéry lors des deux dernières journées), voudra forcément contrarier les desseins violets. « Il y a encore un match à gagner ! », rappelle Jordan François-Marie, en affichant toutefois sa confiance.
« On a eu de la chance lors du tirage au sort. C’était le meilleur possible. À nous d’en profiter. Nous avons battu Créteil à l’extérieur en cha mpionnat (25-28 le 3 octobre, ndlr). À domicile, on doit gagner. »
C’est une évidence, Sélestat a été gâté, en recevant d’abord,... la suite
Source Dna
Résumé de la 7ème journée : Paris lâche Dunkerque qui piétine à Montpellier
Le PSG commence à faire le vide autour de lui
Résultat 7eme journée: Paris 42-27 Sélestat; Le tarif parisien
Il n’y a pas eu de miracle, hier soir à Paris. Comme Cesson, Montpellier et Toulouse avant lui, le Sélestat Alsace Handball, en dépit de son opiniâtreté, a été balayé par le rouleau compresseur parisien (42-27).
« C’est une équipe de Ligue des champions… », soufflait Valentin Aman, quelques secondes après le coup de sifflet final. Ce n’est plus un secret pour personne, Sélestat et Paris ne jouent pas dans la même cour. Le temps où les Alsaciens venaient s’imposer dans la capitale (pas plus tard que la saison dernière) est désormais révolu.
Le PSG n’a même pas eu besoin de ses deux stars, Hansen et Abalo, laissés sur le banc par Philippe Gardent, pour venir à bout de Violets accrocheurs, mais trop brouillons (23 balles perdues) pour espérer faire mieux que Cesson, Montpellier et Toulouse, également balayés dans la capitale.
« On s’est battu, mais cette équipe nous est supérieure »
On retiendra, pour la petite histoire, que les Violets auront mené dix minutes au score (0-3 à la 4 e puis 2-4 à la 7 e). Mais le 5-0 initié par Gunnarsson allait rapidement remettre le PSG en selle (7-4, 12 e).
Le jeu léché des coéquipiers de Bojinovic (seulement quatre balles perdues en première période) prenait souvent de court la défense sélestadienne (10-5, 14 e).
Mais l’entrée de Posdsiadlo faisait du bien à une équipe de Sélestat volontaire (10-7, 17 e). Les joueurs de Jean-Luc Le Gall s’accrochaient pour atteindre la pause avec “seulement” cinq longueurs de retard (20-15).
La seconde période allait, logiquement, s’avérer plus difficile pour les Violets.
La moindre erreur était sanctionnée par un PSG parti pour survoler le championnat (25-17, 38 e).
Salami et Podsiadlo s’employaient à limiter les dégâts (27-20, 42 e), mais le rouleau compresseur parisien allait se mettre en route. Cinq minutes plus tard, Sélestat était loin, très loin (33-20, 47 e).
La fin de match n’avait d’autre intérêt pour les coéquipiers de Yuriy Petrenko que de colmater les brèches pour empêcher l’écart d’enfler démesurément. Ce qu’ils parvenaient à faire, tant bien que mal (42-27 au final).
« C’est dur de prendre 42 buts, soupirait Valentin Aman, le pivot sélestadien. On s’est battu, mais cette équipe nous est supérieure. Le PSG a des joueurs de niveau international, vise des titres. Mais on aurait quand même aimé finir moins loin au score. On a perdu beaucoup de ballons et Paris a su concrétiser derrière. »
Sélestat a résisté avec ses moyens, bien inférieurs à ceux du PSG. Telle est la réalité de ce championnat.
Le rayon de soleil pour les Violets est venu des défaites de Billère et d’Aix-en-Provence, ce qui permet aux joueurs de Jean-Luc Le Gall de garder leurs distances avec le duo de relégables (quatre et cinq points).
Les Alsaciens doivent maintenant rapidement tourner la page de cette défaite, relevant finalement de la plus élémentaire des logiques.
Car le match le plus important de la semaine, c’est samedi au CSI face à Créteil, où le Sélestat Alsace Handball a l’opportunité de s’inviter pour la première fois de son histoire au Final Four de la Coupe de la Ligue.
Source Dna
Présentation de la 7ème journée: Paris - Sélestat ; Intouchables ?
Il n’aura fallu que six journées au Paris Saint-Germain pour s’installer seul au sommet de la LNH. Que peut espérer Sélestat, ce soir, face au plus que probable futur champion de France ?
Cela ne fait déjà presque plus aucun doute, après seulement six journées. Le PSG sera champion de France au soir du 6 juin 2013. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement avec une telle constellation de stars ? « Je ne vois pas qui peut les arrêter », souffle Jean-Luc Le Gall.
L’entraîneur du Sélestat Alsace Handball n’est pas vraiment surpris de voir les Parisiens aussi haut, aussi vite. « Il y a tout ce qu’il faut pour faire une “Dream Team”. » L’arrivée des Qataris à Paris a propulsé le PSG à des hauteurs jusque-là seulement fantasmées par le monde du handball hexagonal. Et les résultats sur le terrain n’ont pas traîné…
Montpellier ? Balayé, certes dans un contexte particulier pour le club héraultais. Chambéry ? Écarté avec autorité la semaine passée. Si bien que l’intérêt pour le titre de champion a déjà du plomb dans l’aile.
« C’est un peu comme un premier amour : tout est nouveau et tout beau, image le coach violet. Il y a une fraîcheur énorme dans ce groupe. Je pense que Paris est capable de réaliser une saison parfaite et de remporter les vingt-six matches de championnat, mais également les deux Coupes. Cette équipe n’a rien gagné ensemble, ses joueurs ont faim de victoires. »
Seul le manque d’automatismes – dix nouveaux joueurs sont arrivés cet été – aurait pu freiner le PSG en ce début de saison. Mais le club parisien a franchi cet écueil sans frémir. Il faut dire que le talent facilite grandement les choses. Avec Hansen, Abalo, Dinart, Kopljar ou Honrubia, Paris compte dans ses rangs quelques-uns des meilleurs joueurs du monde. Et le jeu proposé par les coéquipiers de Bojinovic laisse parfois rêveur. La patte Philippe Gardent, incontestablement.
Des stars au service de l’équipe
L’ancien “Barjot” a su trouver l’alchimie, comme cela a été le cas lors de ses seize saisons à la tête de Chambéry, aussi réputé pour son jeu chatoyant. La patte Gardent, c’est aussi l’état d’esprit affiché par les étoiles de la capitale. « C’est une équipe de stars, mais qui ne se prennent pas pour des stars. Tous les joueurs sont au service de l’équipe. Je trouve ça très fort », lance Jean-Luc Le Gall.
Affronter cette équipe représente aujourd’hui un superbe défi autant qu’un incroyable casse-tête. Difficile, en effet, de déceler la moindre faille dans ce PSG. « Ils sont forts quand ils défendent en 0-6, ils le sont également avec Abalo devant, énumère l’entraîneur sélestadien. Les joueurs respectent le projet de jeu, participent tous au repli défensif… » Avec un artiste tel que Mikkel Hansen, pour ne citer que lui, c’est sans surprise que Paris présente la meilleure attaque de LNH, quand la défense se montre tout aussi solide autour du “spécialiste” en la matière, Didier Dinart.
Déjà surdimensionné pour la LNH (plus de 9 millions d’euros de budget), le PSG est encore amené à grandir lors des saisons à venir. De quoi régner sans partage sur la France et l’Europe ? « Cette saison, Paris est intouchable, mais c’est positif pour le championnat, estime Jean-Luc Le Gall. Cela va booster les autres. Dunkerque va continuer de se rapprocher, Montpellier va se reconstruire… »
Et le match de ce soir dans tout cela ? « On s’organise pour le gagner », indique sobrement Jean-Luc Le Gall, conscient néanmoins, et ce n’est absolument pas une quelconque forme de défaitisme, que les chances de Sélestat sont faibles (le SAHB s’était imposé la saison dernière à Paris, 24-31, lors de la 13 e journée). En handball comme ailleurs, les millions mettent souvent à mal la glorieuse incertitude du sport.
Source Dna
Les stats d'avant match : Paris - Sélestat
A l'occasion du déplacement de nos violets à Paris , voici les stats d'avant-match. Des stats surprenantes, qui restent favorables à Sélestat depuis quelques années...
C'est la 16ème rencontre à l'exterieur de Sélestat à Paris depuis la saison 1993/1994.
Paris s'est imposé 10 fois
Il y a eu 4 matchs nuls
Sélestat a remporté 2 victoires
Il aura fallu attendre 10 saisons pour voir Paris perdre son premier point contre Sélestat, c'était un 29/11/03 (26-26)
Il aura fallu attendre 4 saisons supplémentaires pour voir Paris s'incliner contre Sélestat, c'était un 17/03/07 (24-26)
La dernière victoire de Sélestat remonte à la saison dernière lors de la 13ème journée (24-31)
La dernière victoire de Paris dans sa salle remonte à la saison 2008/09 lors de la 15ème journée (32-21).
Le plus gros écart de buts en faveur de Sélestat: +7 lors de la saison dernière à la 13ème journée: (24-31).
Le plus gros écart de buts en défaveur de Sélestat: -15 lors de la saison 1997/98 à la 6ème journée: (37-22).
Sélestat reste sur 1 nul et 1 victoire.
La dernière défaite de Sélestat à Paris remonte au 18/02/2009 lors de la saison 2008/09.
Sélestat est donc invaincu à Coubertin en compétition officielle depuis 1343 jours.
et demain, que vont raconter les stats après le match: Paris - Sélestat
Sources stats à partir de la saison 93/94
Résumé de la 6ème journée: Montpellier en reconquête, Dunkerque dauphin de Paris
Journée 7: Mercredi 24/10/12: Paris (1er) - SAHB (9ème)