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Le 8ème Rugiss' Hand
12 novembre 2013

1/4 finale CdLigue: Paris... Un autre monde ...

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Sélestat n’a pas fait le poids, dimanche en quart de finale de la Coupe de la Ligue. Le PSG évolue dans un monde auquel les Violets ne peuvent pas prétendre.

Le public du CSI a pu voir quelques-uns des meilleurs joueurs de la planète handball (même si Daniel Narcisse et Marko Kopljar avaient été laissés au repos et même si Mikkel Hansen n’a pas foulé très longtemps le parquet sélestadien).

Sur ce plan-là, ce quart de finale a comblé les attentes des amoureux de la petite balle ronde. Sur le plan sportif, il est évident que le tirage au sort “condamnait” les Violets à une maigre espérance. S’ils ont parfois tenu tête à certains cadors du championnat, « le PSG, c’est encore différent », souffle Quentin Eymann.

Contre Cesson, Nantes, Chambéry, Dunkerque, Saint-Raphaël et dans une moindre mesure Montpellier, les joueurs de Jean-Luc Le Gall auraient pu prétendre à une qualification pour le Final Four. Face au PSG, leurs illusions ont vite été balayées.

« Je ne suis pas petit, mais Vori et Gojun sont impressionnants »

Plus riche, plus grand, plus costaud, plus précis, plus efficace, le Paris Saint-Germain a donné le tournis aux Alsaciens en seconde période. « Quand ils lancent la machine, c’est dur… », reconnaît l’arrière droit.

La défense parisienne n’a ainsi laissé que des miettes à des Sélestadiens parfois en panne d’inspiration. « Comme pas mal d’équipes contre le PSG, on s’est retrouvé en manque de solutions, explique Quentin Eymann. Leur axe central est vraiment costaud. Je ne suis pas petit (1,97 m, ndlr) , mais Vori et Gojun sont impressionnants. J’ai essayé une fois de tirer par-dessus, j’ai été contré. Il aurait fallu se montrer plus patients, les faire bouger jusqu’à ce qu’ils commettent une petite erreur… »

Et si Sélestat a parfois enrayé la belle mécanique adverse, essentiellement durant les trente premières minutes, il n’a pas pu suivre le rythme infernal dicté par le PSG. « À un moment, on se dit qu’on n’est pas loin. Mais Paris a beaucoup de joueurs expérimentés. Ils n’ont jamais paniqué. »

Pas même quand Sélestat s’est rebiffé pour revenir à deux longueurs (10-12, 22e ). Les champions de France ont au contraire écarté le danger sans forcer. « Ensuite, quand tu as sept ou huit buts de retard contre une équipe comme celle-là, c’est difficile de revenir », indique Quentin Eymann.

L’arrière droit, malgré le monde qui sépare les deux clubs, s’est efforcé de profiter du moment. « Tu prends toujours du plaisir à jouer, même si c’est dur quand tu regardes le score. Même si on s’y attend, on joue toujours pour gagner. »

La logique a souvent raison des espoirs les plus fous.

Source Dna

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7 novembre 2013

Resultat Sélestat 30-27 Nimes; Sélestat fait le plein de points et de confiance contre Nîmes

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Sélestat a mis fin à trois défaites consécutives en championnat en remportant une convaincante et importante victoire, hier soir, aux dépens de Nîmes (30-27). Un succès qui permet aux Alsaciens de reprendre de l’air au classement et d’aborder de la meilleure des façons le choc contre Paris.

Les Sélestadiens ont renoué avec la victoire en s’imposant hier soir face à Nîmes (30-27). Un succès qui n’a, certes, été validé que dans les dernières minutes de la rencontre, mais qui s’est dessiné très vite, néanmoins, puisque les Alsaciens ont toujours mené au score de la première à la dernière minute. Les dix premières ont même laissé croire que la victoire des Violets serait plus facile à cueillir que ne le laissaient supposer les précédents résultats des Gardois.

Un départ en trombe

Mais les visiteurs, qui avaient laissé leur meilleur atout offensif, Saurina, à la maison, n’étaient visiblement pas dans leur assiette. Car s’ils ne gaspillaient pas de trop nombreuses montées de balle, ils échouaient très souvent sur un Fulop bien planté au milieu de la cage sélestadienne. Le score de 6 à 2 au bout de la 10e minute aurait même pu être plus lourd en faveur de Sélestat tant leur adversaire paraissait emprunté et sans grande imagination.

Et si le 4e but visiteur tombait vers le quart d’heure de jeu, le SAHB en profitait pour creuser l’écart pour le porter à +7 (11-4) à la 18e. Côté sélestadien, la balle circulait bien et tout le monde en profitait, notamment Salami, Jung et Petrenko qui étaient déjà crédités de doublés.

Est-ce que les Sélestadiens ont alors inconsciemment relâché la pression ou sont-ce leurs adversaires qui ont remonté leurs manches pour ne pas être ridicules ? Toujours est-il que la fin de la première période allait marquer le retour dans le match des Nîmois. Avec Mourioux et Gallego comme détonateurs, ils passaient un 7-2 à des Sélestadiens tout heureux de garder trois longueurs d’avance grâce à un but au buzzer de Pesic (14-11).

L’esprit libéré face à Paris

Au retour des vestiaires, les locaux allaient rassurer leurs supporters en reprenant rapidement leurs aises. En marquant quatre buts en cinq minutes, Beauregard, Jung (qui finira la soirée avec un parfait 5/5) et Freppel relancent leurs coéquipiers (18-12). Et comme Fulop était toujours aussi précieux dans les bois (son total d’arrêts s’arrêtera à 17), le SAHB a passé la deuxième partie du match à gérer son avance face à des Nîmois fidèles à leur réputation, puisqu’ils n’ont jamais renoncé. Même s’ils ne sont jamais parvenus à réduire l’écart à moins de trois buts (22-19, 48e ), ils sont toujours restés menaçants à l’image de leur jeune Alsacien, Nicolas Zens, qui s’est fait remarquer avec un 5/5 au tir et une grosse activité offensive au cours de la seconde période.

Les Sélestadiens ont bien résisté à cette pression constante en s’évitant des frayeurs inutiles en fin de match. Cette troisième victoire de la saison leur permet de remonter à la 10e place et de préparer au mieux leur match de gala contre Paris, dimanche en Coupe de la Ligue.

Le plus important cette semaine consistait à renouer avec la victoire en championnat. Maintenant, Yuriy Petrenko et ses coéquipiers pourront se faire plaisir dimanche et jouer leur va-tout l’esprit libéré contre la valeur étalon du handball français.

Source Journal L'Alsace

7 novembre 2013

La phrase du jour : ''Ceux qui connaissent... ...Sélestat, ça parle !''

     

Jerome chauvet

     Jérôme Chauvet, l'entraineur de Nimes, ne croyait pas si bien dire lorsqu'il se confiait au journal du midi libre d'hier... En pleine confiance, les gardois voulaient prendre leur revanche sur la décullotée prise il y a deux ans... (35-26) 

     Le coach a dû se remémorer cette phrase qui a pris tout son sens à la fin du match:

                 "Ceux qui connaissent ce sport savent qu’en handball, Sélestat, ça parle."

6 novembre 2013

8ème journée: Sélestat - Nimes; Le SAHB veut renouer avec la victoire face à Nîmes

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Au cours d’une semaine particulière qui se termine par la réception de Paris dimanche en Coupe de la Ligue, Sélestat doit avant tout se remettre à gagner dès ce soir en championnat, même si la réception de Nîmes n’a rien d’une sinécure.

     Cela va bientôt faire deux mois que le SAHB n’a plus offert une victoire à son public. Et ça commence à faire long. Sans que la situation soit catastrophique, il est néanmoins urgent de remettre des provisions dans le garde-manger de la maison violette. La venue de Nîmes, ce soir au CSI, est une occasion à ne pas manquer surtout après trois défaites de rang.

Une nouvelle donne

Seulement voilà, le promu a joliment réussi son retour au sein de l’élite au point de faire partie des bonnes surprises du début de championnat. Avec trois points de mieux que leur hôte alsacien, les Gardois ont marqué les esprits en occupant la 8e place de la LNH en compagnie de Chambéry. « C’est une équipe qui joue bien et qui a changé depuis la dernière fois qu’on l’a rencontrée , prévient Pawel Podsiadlo. Je la connais moins puisqu’on ne l’a pas plus croisée depuis deux ans. Mais sur ce que j’ai vu en vidéo, c’est fort. Et ses résultats le prouvent. Ce match sera difficile. On le sait mais on est obligé de gagner. » Si l’arrière polonais du SAHB renouvelle la prestation qu’il avait livrée deux ans plus tôt contre ce même adversaire, il donnerait un bon coup de main à son équipe. Le 19 novembre 2011, Pawel Podsiadlo avait flambé comme rarement depuis son arrivée en Alsace. Ses 10 buts sur 11 tirs rien qu’au cours de la seconde période avaient permis à son équipe de faire sauter le verrou nîmois en s’imposant 35-26. Les 12 réalisations du buteur des Violets, qui a fini à chaque fois dans le top 10 des meilleurs marqueurs du championnat, associés aux 10 autres de Frédéric Beauregard avaient été les détonateurs du feu d’artifice alsacien.

« Un affront à laver »

Une claque que les Nîmois n’ont pas oubliée, surtout leur entraîneur Jérôme Chauvet qui a confié son envie de revanche au site officiel de l’USAM. « La dernière fois qu’on est venu ici on a pris 13 buts (NDLR : en fait 9 seulement). On a tous des défaites derrière nous mais celle-là est mémorable. On a un affront à laver. » Nîmes qui s’était imposé trois fois de suite à Sélestat depuis 2006, va puiser dans ses souvenirs pour reprendre ses bonnes habitudes.

« Les Nîmois ont aussi une nouvelle défense en homme à homme qu’il faudra pouvoir contourner , redoute Pawel Podsiadlo. C’est plutôt inhabituel mais nous avons les armes pour y arriver. Et nous devons aussi défendre très fort pour nous mettre sur le chemin de la victoire. Avant Montpellier notre défense était plutôt hermétique. Il faut que nous retrouvions ces vertus. A Toulouse, nous avons été dans le coup pendant 45 minutes. Ce n’est que parce qu’on a connu un trou de 5 minutes durant lesquelles on encaisse 4 ou 5 buts qu’on perd. J’espère qu’on tiendra 60 minutes cette fois. Car il faut le gagner ce match. »

Un match pour lequel le sélectionné sélestadien pour le premier Hand Star Game en décembre à Bercy a décliné un stage avec la sélection polonaise. « J’ai préféré rester à Sélestat et travailler pour le championnat qui est plus important qu’un rassemblement de l’équipe réserve de Pologne ». Le meilleur bras sélestadien depuis le début de la saison (34 buts à 55 %) mesure l’importance de ce premier rendez-vous de la semaine. C’est un tournant pour la suite qui peut relancer son équipe vers le haut. « Contre Nîmes, il faudra prendre des points et on aura alors le temps de se projeter sur le match de coupe contre Paris où notre but sera de montrer à tout le monde qu’on est une bonne équipe. » Ce soir, le SAHB compte sur son All Star pour lui permettre de décoller.

SÉLESTAT - NÎMES
ce soir à 20h Salle Germain Spatz.
Arbitres : MM. Reveret et Pichon.

Sélestat :
Aux buts:  12. Ivezic et 69. Fulop 
Les joueurs: 3. Jung, 5. Petrenko (cap.), 6. Pesic, 7. Beretta, 8. Podsiadlo, 9. Beauregard, 11. Freppel, 15. Pintor, 17. Salami, 19. Rechal, 20. François-Marie, 68. Eymann.
Entraîneur : Jean-Luc Le Gall.

Nîmes :
Aux buts:1. Idrissi et 92. Desbonnet 
Les joueurs: 2. Mourioux, 3. Haon, 4. Gallego, 6. Rebichon, 7. Massard-Chenet, 10. Saurina, 11. Zens, 15. Fernandez, 17. Waeghe, 23. Ferreiro, 27. Tesoriere (cap.), 28. Kovac.
Entraîneur : Jérôme Chauvet.

Source journal L'alsace

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