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Le 8ème Rugiss' Hand
25 octobre 2014

Ils partent en sélection nationale

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Cristian Radu Ghita notre N° 13 jouera quant à lui 2 matchs contre le kosovo

1 match en roumanie le 29/10 et 1 second au kosovo le 1/11

Ces matchs correspondent à la 1ère phase de qualification pour l’euro 2018

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Olivier Jung le N° 3 violet participera au camp d’entraînement de l’équipe Nationale senior masculine de handball du Canada qui se déroulera du 24 octobre au 1er novembre 2014 à Mexico.

Ce camp fait partie du processus de sélection des joueurs qui représenteront le Canada à la prestigieuse compétition des Jeux Pan Américains qui auront lieu du 12 au 24 Juillet 2015 à Toronto au Canada.

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Enfin, Snorri Gudjonsson le N° 10 du SAHB jouera 2 matchs de qualification pour l’Euro 2016 qui aura lieu en Pologne 

1 match contre Israël le 29/10 et 1 contre le Monténégro le 2/11

Source SAHB

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24 octobre 2014

Joyeux anniversaire: Radek

Motlick

Aujourd'hui,

nous fêtons l'anniversaire

d'un ancien violet: Radek Motlick

Il fête ses 44ans.

L'inépuisable Radek joue toujours chez lui à Plzeň (Rep Tchèque)

 

Joyeux anniversaire

24 octobre 2014

Après Sélestat 24-27 Dunkerque; L’éclaircie Vujovic ...

stevan-vujovic-(8-sur-9-au-tir)-a-creve-l-ecran-contre-dunkerque-photo-dna-franck-delhomme

On le savait talentueux, mais aussi irrégulier. Contre Dunkerque, Stevan Vujovic (24 ans) a sans doute réalisé son meilleur match sous le maillot violet. Ça tombe bien, Sélestat aura aussi besoin de lui.

C’était tout simplement son jour, un de ceux où tout vous réussit, un de ceux où rien ni personne, pas même la défense dunkerquoise, pourtant la meilleure du championnat, ne peut vous arrêter.

C’est bien simple, on n’a presque vu que lui. Avec un Snorri Gudjonsson moins en réussite qu’à l’accoutumée (un seul but dans le champ), la lumière, en attaque, est (très) souvent de Stevan Vujovic, puisque c’est de lui dont il s’agit.

C’est pourtant à un poste d’arrière gauche inhabituel pour lui que le Monténégrin a fait parler la poudre : 8 sur 9 au tir, soit un tiers du total des buts marqués par Sélestat.

Igor Vujic toujours sur le flanc en raison d’un mollet récalcitrant et Frédéric Beauregard diminué par une douleur aux adducteurs, Jean-Luc Le Gall n’a pas hésité à décaler l’habituel demi-centre. Avec une efficacité maximale. « Stevan est polyvalent sur la base arrière », précise le coach sélestadien.

Vincent Gérard, le gardien dunkerquois, pourtant capable de donner la migraine à n’importe quel tireur, n’a jamais su résoudre l’équation Vujovic. Le Sélestadien n’a ainsi raté qu’un seul tir, en première période, inscrivant, entre la 23e et la 38e , six des neuf buts violets, pour permettre aux Alsaciens de revenir sur les talons du champion de France (16-17, 38e ).

On l’a encore vu écoper quand le navire commençait à prendre l’eau (18-23 à la 49e ). On l’a vu prendre ses responsabilités, sur penalty, alors que Gudjonsson et Clementia venaient tour à tour d’échouer dans le même exercice. Et le Monténégrin n’a pas tremblé, replaçant une nouvelle fois Sélestat tout près (21-23 à la 54e ).

Une irrégularité à gommer

Déjà performant à Nîmes (2/2), Stevan Vujovic, relégué dans l’ombre d’un Snorri Gudjonsson étincelant depuis le début de la saison, a montré, en l’espace de deux matches, tout le bien que l’on pouvait penser de lui, tout le potentiel qu’on lui prête, mais qu’il n’exprime que par intermittence.

Son talent n’est pas en cause, son irrégularité davantage. « Il vient de livrer deux prestations très intéressantes, il donne ce que l’on attend de lui », apprécie Jean-Luc Le Gall.

Des prestations à même de constituer un déclic ? « Ce n’est pas un joueur qui doute, ce n’est pas dans son caractère, nuance son coach. C’est surtout un “problème” de concentration. » Lors des deux dernières journées de championnat, l’ancien du Vardar Skopje l’a résolu et on a vu le résultat.

L’international monténégrin ne sera sans doute jamais un pur demi-centre organisateur. Mais ses qualités de tir et de débordement font de lui un joueur imprévisible, dangereux et déroutant pour l’adversaire.

Ce Stevan Vujovic-là, celui de Dunkerque, sera plus qu’utile à Sélestat. Jean-Luc Le Gall en est persuadé. « J’ai toujours pensé que c’est en impliquant tout le monde que l’on fera un bon championnat. »

Source Dna par Simon Giovannini

23 octobre 2014

j7: Selestat 24-27 Dunkerque; ça finira par sourire...

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Comme souvent, Sélestat n’a pas été loin de faire chuter Dunkerque. Mais le champion de France a parfaitement su exploiter les erreurs des Violets pour éviter le piège (24-27). Frustrant…

Les saisons, parfois, se suivent et se ressemblent. C’est en tout cas valable pour les confrontations entre Sélestat et Dunkerque. « C’est une grosse cylindrée du championnat, mais le résultat montre qu’on l’a embêtée », soufflait ainsi Jean-Luc Le Gall après la rencontre.

« Nous allons revenir plus forts »

L’entraîneur violet avait tenu, presque au mot près, le même discours lors des deux dernières venues des Nordistes en Alsace. Les coéquipiers de Djordje Pesic, encore une fois, ont tenu la dragée haute au champion de France en titre, qui, s’il a presque toujours fait la course en tête (2-1 à la 4e puis 3-2 à la 5e en faveur des Sélestadiens), n’a pas souvent brillé.

Il a même sans doute tremblé, quand tous ses efforts pour décrocher enfin de coriaces Violets se révélaient vains. Mais Jordan François-Marie et les siens ont mal négocié (beaucoup) trop de ballons d’égalisation. Et, à force de ne pas recoller, ils se sont essoufflés…

On passera rapidement, pour rester courtois, sur l’arbitrage, pas loin d’être incompréhensible hier. Juste pour dire que le foot n’est pas le seul sport en France à souffrir du niveau des hommes en noir… Et ce n’est pas là, même si cela a compté, l’unique raison de la défaite sélestadienne.

« Nous devons encore gommer quelques imperfections pour prendre des points face aux meilleures équipes du championnat », soulignait avec raison Jean-Luc Le Gall.

Le CSI, archi-plein et bouillant, avait d’abord apprécié le début de rencontre de son équipe. Et si Dunkerque devait s’en remettre à l’adresse sur penalty de l’ancien Violet Baptiste Butto, Sélestat répondait grâce à Seri et Lenne, ses virevoltants ailiers (3-2 à la 5e ).

Mais quand les Nordistes accéléraient, dans le sillage de Nagy (3-6, 12e ), les Sélestadiens touchaient du bois. Nagy, toujours lui, creusait l’écart (5-9, 17e ). L’interception de Seri, qui filait tromper Gérard en contre-attaque, remettait alors son équipe dans le bon sens (6-9 à la 19e puis 8-10 à la 23e ).

Fleurival, exemplaire en défense, manquait, seul à six mètres, l’opportunité de ramener les siens tout près. La première, malheureusement, d’une longue série… Et Dunkerque éloignait le danger (8-12 à la 24e ).

L’activité de Vujovic au poste d’arrière gauche et le bras de Ghita maintenaient Sélestat à portée (10-13, 26e ). Et les joueurs de Jean-Luc Le Gall, malgré quelques imprécisions coupables, étaient toujours bien placés à la pause (12-14).

La deuxième période allait, elle aussi, s’apparenter à une folle course-poursuite. Mais jamais les Violets n’allaient parvenir à inverser la tendance.

Stevan Vujovic, pourtant, se démultipliait en attaque. Le Monténégrin inscrivait ainsi trois des quatre premiers buts de son équipe. Et Sélestat revenait sur les talons de Dunkerque (16-17 à la 38e ).

Vujovic et Fulop avaient entretenu l’espoir

Mais il y avait toujours un coup de sifflet hasardeux, une passe mal assurée pour empêcher les Violets de passer devant (16-19, 41e ). Clementia, en contre-attaque, mordait la zone des six mètres alors que le tableau d’affichage indiquait 17-19. Et Dunkerque le faisait payer dans la foulée (17-21, 46e ).

Plus tard, c’étaient les deux penalties ratés par Gudjonsson et Clementia qui s’ajoutaient à la liste des regrets. Les Nordistes en profitaient, évidemment, pour prendre le large (18-23, 49e ). La victoire avait, semble-t-il, définitivement choisi son camp. Mais c’était sans compter sur l’orgueil violet.

Fulop, dans le but, signait plusieurs arrêts consécutifs. Vujovic continuait à tourmenter la défense dunkerquoise (21-23, 54e ). Mais les Sélestadiens, encore une fois, gâchaient au moment de recoller (21-24, 58e ). Le but de Pesic permettait bien un ultime rapproché (22-24), mais l’espoir avait vécu (24-27).

« On est tout proche, voulait retenir Jean-Luc Le Gall. Il n’y a pas de raison que ça ne paie pas à l’avenir. Il y a de la déception, de la frustration aussi pour les joueurs. Mais nous allons gommer ces imperfections et revenir plus forts. »

Ça finira bien par sourire…

Source Dna par Simon Giovannini

La réaction d'après match de Rudy SERI par Céline de Top Music : ici

22 octobre 2014

J7: Sélestat 24-27 Dunkerque

J7

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22 octobre 2014

Vu par Dunkerque; le handball reste la grande affaire à Sélestat ...

 

Battiste Butto, formé à sélestat

En France, on associe Guingamp à son club de foot. Cholet, à son équipe de basket. Et Sélestat, au hand. Seule ville de moins de 20 000 habitants dans l’élite, la cité alsacienne résiste. Mercredi soir, l’USDK est attendue par une équipe… et son public. Match à guichets fermés.

   On va se serrer, mercredi soir, au centre sportif de Sélestat. « Cet après-midi (mardi), il restait 16 places. On va jouer à guichets fermés demain, c’est sûr, expliquait Frédéric Antoine, le directeur marketing et communication du club. On était aussi plein contre Chambéry, mais il restait 150-200 places le soir du match. Là, je crois qu’il y a un double effet. On vient voir le champion de France et il y a l’effet vacances scolaires. »

Les 2 300 places de la salle ont trouvé preneur. Pourtant, s’il faut se garder d’enseignements définitifs en octobre, le glissement des matchs de championnat du week-end vers le milieu de semaine, cette saison (1), n’a pas favorisé les recettes au guichet. « On a ressenti une légère baisse du public familial. Par contre, pour les partenaires, venir en semaine, c’est plus intéressant. » Le week-end est alors libre pour les entrepreneurs.

Mais mercredi ou samedi, le handball reste la grande affaire à Sélestat. La concurrence est quasiment inexistante. Une équipe de rugby féminin au 2e échelon, une formation de volley-ball en N3 et des footeux à l’échelon… départemental. Circulez, le hand est roi.

Alors que Cesson s’est rapproché au fil des ans du grand voisin rennais, Sélestat fait figure d’irréductible village, dans la France du hand. Le club alsacien doit se battre. Il serait celui qui est le moins aidé par les collectivités locales, en D1. Pas étonnant : une ville de 19 000 habitants, une communauté de communes de 30 000 habitants. C’est maigre. À l’arrivée, selon nos confrères alsaciens, une aide de 300 000 €. « C’est dû à la taille de notre agglo. Pour le conseil général ou régional, on a comme les autres. La ville et la communauté de communes c’est différent. » Mais pas de reproches dans la voix de Frédéric Antoine. On lui parle d’un handicap actuellement. Il répond : « Oui, ça l’est, aujourd’hui. Mais ça peut devenir un avantage, si demain, les subventions viennent à baisser. C’est peut-être la tendance qui va arriver. Nous, on est prêts. » Le discours paraît empreint de sagesse puisque les caisses des collectivités semblent sonner le creux, en France. Ce qui signifie, en filigrane, que le modèle du financement du sport français sera peut-être bientôt à revoir.

Cette saison, Sélestat présente l’avant avant-dernier budget de D1 (2,57 M€), en progression de 15 %. Il doit se battre pour rester dans l’élite. Il est passé en société, il y a quatre ans. Le club alsacien s’est structuré avec l’arrivée à la fin de sa carrière, en qualité de directeur sportif, de Christian Omeyer, le jumeau de Thierry, le gardien des Bleus. Il entend durer.

Mais il rêve à court terme d‘épingler le champion, Dunkerque. La dernière fois, c’était en 2005.

(1) Décision prise par BeINSPORTS, le nouveau diffuseur télé

Source la voix du sport

22 octobre 2014

J7: Sélestat – Dunkerque; La confiance en plus ...

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Sélestat défie ce soir Dunkerque, le champion de France en titre. Avec une confiance reboostée par son dernier succès à Nîmes et l’appui d’un CSI à guichets fermés.

Ses débuts ont ressemblé à ceux de sa nouvelle équipe. Comme Sélestat, Cristian Radu Ghita a mis du temps pour trouver la bonne carburation. Mais le jeune arrière droit (23 ans) peut avancer quelques circonstances atténuantes.

« Je ne pensais pas que ce serait aussi difficile », souffle le Roumain. Il faut dire que deux blessures (au talon puis à la main) ont freiné son intégration durant la préparation. « Je voulais donner le meilleur de moi-même, mais je ne pouvais pas. »

« Je devais changer quelque chose »

C’était aussi la toute première fois qu’il franchissait les frontières de son pays, après avoir brillé avec le Stiinta Municipal Dedeman Bacau, le club de sa ville natale (trois fois vice-champion de Roumanie, 7e meilleur buteur du championnat la saison passée avec 139 réalisations).

« J’arrivais à la fin de mon contrat et je voulais jouer à l’étranger », explique-t-il. L’international roumain a choisi Sélestat, où il se « sent bien ». « C’est une super chance pour moi. » Mais avec autant de changements, sur le terrain comme en dehors, il fallait nécessairement attendre un peu pour voir le meilleur Cristian Radu Ghita.

Ce n’était pas une question de talent, ni de niveau, même si la LNH est évidemment plus relevée que la D1 roumaine. « J’ai déjà joué avec ou contre de très bons joueurs, en équipe nationale ou en Coupe d’Europe », avance l’arrière droit, demi-finaliste de la Challenge Cup en 2011 (34 buts inscrits dans la compétition, dont 14 lors de la double confrontation en demi-finale face au club slovène de Koper, futur vainqueur).

Et sa saison, comme celle de Sélestat, a véritablement commencé la semaine passée à Nîmes, où le Violet s’est montré inspiré (4 buts). « Je n’avais pas montré mon meilleur niveau jusqu’à maintenant. Je n’étais pas trop en confiance. Je devais changer quelque chose. »

« On peut battre Dunkerque »

Dans le Gard, l’arrière droit n’a pas hésité à prendre sa chance de (très) loin, à faire parler son sens du jeu (trois passes décisives). « Ça va chaque jour un peu mieux, estime le Roumain. J’en ai fini avec les blessures, je connais aussi davantage mes coéquipiers. »

Cristian Radu Ghita se sent désormais prêt à « aider au maximum l’équipe ». Au point de faire tomber le champion de France en titre ?

Le complémentaire compère de Jordan François-Marie sur le poste d’arrière droit y croit. « La victoire à Nîmes a renforcé notre confiance. Nous devons continuer sur cette lancée. On a montré que l’on est capable de bien jouer. On peut battre Dunkerque. »

Et après son intéressante performance contre l’Usam, Cristian Radu Ghita veut lui aussi confirmer à domicile. « C’est important pour moi de faire un bon match devant le public sélestadien, pour me donner encore plus de confiance. »

Face à la deuxième meilleure défense de LNH, Sélestat aura sans aucun doute besoin de son bras gauche pour faire sauter le verrou dunkerquois…

Source Dna

20 octobre 2014

Joyeux anniversaire Arnaud

 

Freeps

Aujourd'hui,

nous fêtons l'anniversaire d'un ancien violet : Arnaud Freppel

Il fête aujourd'hui ses 35 ans...  

      Depuis septembre, Arnaud joue à Strasbourg au club de L'ESSAHB, club qui évolue en Pro D2 depuis ce début de saison.  

Nous te souhaitons un
J
oyeux anniversaire Freeps

17 octobre 2014

J5: Nimes 26-32 Sélestat; Le match vu par Nimes

Au terme d'un match qu'ils n'ont cessé de subir, les Gardois ont logiquement encaissé leur quatrième défaite en six journées. Ce n'est pas de bon augure à une semaine du derby à Montpellier

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Après avoir perdu face à Dunkerque, Chambéry et Paris, Nîmes comptait profiter d'une accalmie dans son calendrier pour se refaire une santé. C'était le cas la semaine dernière à Istres (27-35). Mais ce probant succès n'a pas confirmé ce mercredi soir, au Parnasse, face à Sélestat qui restait pourtant sur trois défaites de suite mais qui a mené le match à sa main et à sa guise.

Nîmes, pour sa part, n'est jamais rentré dans cette rencontre. On l'a compris dès les premières minutes. En attaque, face à Kappelin qui s'est amusé de leur naïveté (19 arrêts), les Gardois ont le plus souvent fait les mauvais choix et ont perdu trop de ballons. En défense, ils ont trop laissé faire les Alsaciens. Presque trop gros pour être vrai.

Source Midi Libre

16 octobre 2014

J6: Nîmes 26-32 Selestat; Ça, c’est Sélestat !

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Le mieux entrevu la semaine passée contre Chambéry n’aura pas été un feu de paille. Sélestat est allé s’imposer à Nîmes, sur le parquet d’un concurrent direct (26-32). Et si la saison des Violets était lancée ?

Ça pourrait être le déclic tant attendu. « On était tous convaincu que l’on était sur la bonne voie, mais ce sont les points qui apportent de la confiance », rappelait hier Jean-Luc Le Gall.

Sur le parquet de Nîmes, Sélestat a fait coup double. Il a poursuivi le redressement entrevu la semaine passée contre Chambéry et il a surtout décroché deux points (très) précieux.

La remise en question après le non-match contre Cesson (4e journée) a payé. Elle n’avait pas été récompensée, sur le plan comptable, face à Chambéry, mais les Alsaciens en étaient persuadés, la roue allait finir par tourner. Il n’a pas fallu attendre très longtemps. « C’est une très belle victoire collective », apprécie le coach sélestadien.

« On va dans le bon sens »

On pourrait presque dire que de match, il n’y en a pas eu. Nîmes a bien mené deux fois au score en tout début de rencontre (1-0 puis 2-1 à la 3e ). Mais les Gardois n’ont ensuite (presque) jamais existé, étouffés par l’envie alsacienne.

Gudjonsson et Seri y allaient chacun de leur doublé (2-4, 5e ), Kappelin débutait son show (20 arrêts au total) et Sélestat, déjà, faisait le break (3-7, 10e ). Les Alsaciens gâchaient alors une balle pour prendre cinq buts d’avance (5-7, 12e ).

Qu’importe, Beauregard et Gudjonsson s’en chargeaient quelques instants plus tard (5-10, 15e ). Le retour gardois (10-11, 23e ) était aussitôt repoussé, dans le sillage d’un Seri multipliant les buts sur contre-attaque. L’ailier gauche donnait quatre longueurs d’avance à son équipe juste avant la pause (13-17).

On pensait que Nîmes sortirait survolté des vestiaires à l’entame de la seconde période. Il n’en a rien été. Le duo Ghita-Gudjonsson éteignait rapidement toute velléité de révolte gardoise (14-22, 36e ). Le Parnasse devenait silencieux après le but de Beauregard, qui donnait dix longueurs d’avance aux Violets (15-25, 41e ).

Il fallait maintenant gérer, empêcher la furia verte de se déclencher. Aguirrezabalaga, sur l’aile droite nîmoise, brillait, Idrissi détournait le penalty de Gudjonsson (19-26, 45e ). Mais Sélestat, cette fois, ne s’affolait pas. « On a mieux géré notre avance », souffle Olivier Jung. Ce que les Alsaciens, on s’en souvient, n’avaient pas su faire contre Chambéry.

Ghita, d’un missile à onze mètres, rassurait les siens (20-28, 49e ). Même un nouvel arrêt d’Idrissi, sur un penalty de Clementia, n’était pas de nature à priver les Violets d’un succès mérité (26-32). « C’est bon pour la confiance. On va dans le bon sens, avance le pivot sélestadien. Maintenant, il faut continuer à travailler pour aller plus haut. »

Après plusieurs désillusions, Sélestat savoure sa bonne opération. « On aurait pu être décroché en cas de défaite, apprécie Jean-Luc Le Gall. Sur le plan comptable, c’est important, mais cette victoire valide surtout le travail effectué ces derniers temps. »

Hier, Sélestat a mis fin à dix-huit longues années sans gagner à Nîmes (le dernier succès au Parnasse remontait à la saison 1996-1997), s’est imposé sur le parquet d’un concurrent direct, sortant également d’une zone de relégation qu’il squattait depuis la première journée. Une belle soirée, en somme…

Source Dna

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