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Le 8ème Rugiss' Hand
29 juin 2011

Retour en video sur le Sandball cru 2011

visuel_originalPetit retour en vidéo sur un week-end de folie lors du traditionnel Sandball de Sélestat.

 

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28 juin 2011

Cesson repêché en LNH.

Cesson_repech_Suite à la décision de Saint-Cyr de ne pas poursuivre son activité dans l’élite la saison prochaine, le comité directeur de la LNH a décidé de repêcher Cesson pour l’exercice 2011-2012.

Réuni ce mardi matin, le comité directeur de la LNH a décidé de repêcher Cesson pour la saison 2011-2012. Parmi les clubs ayant déposé une demande de repêchage (Cesson et Dijon), le club breton a été considéré comme celui présentant le plus de garanties matérielles, juridiques, économiques et sportives au regard des contraintes de la D1 Masculine. Cesson rejoint donc Montpellier, Chambéry, Dunkerque, Saint-Raphaël, Nantes, Tremblay, Istres, Ivry, Toulouse, Paris, Créteil, Nîmes et Sélestat dans la liste des clubs qui seront dans l’élite la saison prochaine, sous réserve qu’ils obtiennent du Comité Directeur de la LNH le statut de club professionnel.

Source LNH

 

Lnh 

 

24 juin 2011

Avec Pawel Podsiadlo, Sélestat a bouclé son recrutement

       L’effectif du SAHB est désormais au complet grâce à la signature de sa quatrième et dernière recrue, l’arrière gauche polonais, Pawel Podsiadlo, un habitué des compétitions européennes.

Les documents sont arrivés hier au siège du SAHB. Le Polonais Pawel Podsiadlo a paraphé son contrat qui le lie pour deux ans (un + un reconductible) à Sélestat. Avec cette quatrième recrue, un arrière gauche de 25 ans issu du champion de Pologne Kielce, le promu en D1 a bouclé son recrutement.

Après le pivot serbe Djordje Pesic (Etoile Rouge de Belgrade), le gardien hongrois Laszlo Fulop (Saint-Cyr) et le demi-centre ukrainien Yuri Petrenko (Paris), il complète un effectif qui aura comme principal objectif de se maintenir au sein d’une élite où les places seront chères.

Le nouvel arrivant, qui était venu faire un essai il y a quelques semaines à Sélestat, est conscient de la mission que son équipe s’est fixée. « Je vais quitter Kielce dont je suis très fier d’avoir porté le maillot pour faire mes classes dans un championnat particulièrement relevé, a-t-il confié au site internet du champion de Pologne. De toutes les propositions que j’ai eues, c’est celle de Sélestat qui était la plus sérieuse. Ce club dispose de belles infrastructures et me paraît ambitieux. L’équipe s’est renforcée et va tenter d’assurer son maintien avant d’essayer de grimper dans la hiérarchie. »

Le duo Bobo - Olo

Sur les bords de l’Ill, celui qu’on surnomme « Olo » (un pseudonyme qu’on va certainement préférer à son nom) partagera son temps de jeu avec Frédéric Beauregard, alias Bobo, pour essayer de percer les défenses adverses. « Il va apporter un peu plus d’assise à notre jeu », estime le coach Jean-Luc Le Gall qui a pu le visionner à loisir dans les matches de Ligue des champions qu’il a disputés ces deux dernières saisons (40 buts en 2009/2010 et 13 en 2010/2011, avec une pointe à 7 buts contre Hambourg en mars 2010 en 8 es de finale et 5 face au Rhein Neckar Löwen en phase de poule). « C’est un joueur complet qui sait aussi bien défendre que tirer de loin. Il me semble très fiable. Il n’y a pas de mauvaise surprise à attendre. En revanche, il n’a pas la maturité d’un grand joueur. Il ne va pas terminer meilleur buteur de la Ligue. »

Salami à ses côtés

Pour sa première expérience à l’étranger, ce grand gabarit (1,95 m comme Beauregard pour 95 kilos) pourra bénéficier de l’aide de son compatriote Michal Salami. L’ailier gauche, qui entamera sa cinquième saison à Sélestat, a d’ailleurs croisé son futur partenaire à Kielce, ayant lui aussi porté le maillot jaune du plus grand club de Pologne. Pour avoir affronté des clubs du championnat de France lors de ses campagnes européennes (notamment Chambéry en Ligue des champions cette année), le futur Sélestadien (dès la reprise de l’entraînement fixée au 24 juillet) ne pose pas ses valises en terre inconnue. Il devra simplement s’adapter à des défenses quelquefois plus étagées que dans son championnat et poursuivre sa progression.

 

Christian Weibel
Source L'Alsace

23 juin 2011

ITW Micro Violet: Robin Foubert: Les pompiers, j'écoute...

       Après Nico il y a trois semaine, Tom il y a une semaine, voici un dernier volet sur nos joueurs violets qui s'en vont vers d'autres horizons.

       Robin Foubert en partance pour US Saintes,  nous dit à sa manière ''au revoir'' non sans glisser une petite note humour et un clin d'oeil sur un métier qu'il connaît bien.

       Robin, nous te souhaitons tout le meilleur à toi et à ta petite famille.
       Bonne continuation.

 
       Par ce clin d'oeil, le 8eme Rugiss'hand se permet
de rendre hommage aux pompiers qui sacrifient
leur vie pour celle des autres. 

  

 

22 juin 2011

SAHB : Vers une nouvelle ère

Le Sélestat Alsace Handball va passer en SASP

nt_Momper__a_droite__a_presente_les_projets_du_club_en_presence_des_dirigeants_de_la_LNH_Philippe_Bernat_Salles_et_Etienne_Capon___Photo_DNA_Franck_Delhomme_       À l’occasion de la venue en Alsace de Philippe Bernat-Salles, le président de la Ligue Nationale de Handball, le SAHB a annoncé sa volonté de devenir prochainement une société anonyme professionnelle (SASP), pour mieux accompagner son développement vers le haut niveau.

       Dans quelques semaines, le Sélestat Alsace Handball va changer d’ère. Rien de bien spectaculaire au demeurant, puisque cela concerne quasi exclusivement le domaine extra-sportif. Mais l’évolution lancée par les dirigeants sélestadiens s’avère néanmoins indispensable pour que le club continue à se professionnaliser.

        « La montée en D1 n’est pas un aboutissement, mais une étape, rappelle Vincent Momper, le président du SAHB. Notre ambition est d’installer Sélestat en D1, et de jouer une place européenne dans les cinq ans à venir. Pour atteindre ces objectifs, nous procédons actuellement à des ajustements. »

Thierry Omeyer futur actionnaire

      Au cours de l’été, le club va donc changer de statut et devenir une société anonyme sportive professionnelle (SASP). Il y aura donc un conseil d’administration, un conseil de surveillance, un directoire et le capital du club sera ouvert à l’actionnariat.

    Une convention liera (pour une durée de trois ans) la SASP à l’association “support”, laquelle détiendra la “marque” et engagera l’équipe professionnelle en championnat. Autant de “détails” en cours de réalisation à l’heure actuelle et qui seront précisés dans les prochaines semaines.

    On sait déjà que l’ancien gardien sélestadien Thierry Omeyer sera l’un des actionnaires de ce SAHB new look. « Les actionnaires auront le cœur violet, sourit Vincent Momper. On veut aussi garder notre identité. C’est une fierté de voir que Thierry croit en notre projet. »

    Le budget augmentant (de 1,3 million d’euros à 1,7), le passage en SASP s’imposait. « Au-delà d’un certain montant de recettes et de masse salariale, la loi nous oblige à passer en SASP », explique Vincent Momper, convaincu par ailleurs de la pertinence de cette évolution. « On espère à terme aller vers deux millions de budget. Un club se gère aujourd’hui comme une entreprise. Il y a des professionnels sur le terrain, il doit désormais y en avoir en dehors. »

    De passage en Alsace hier, Philippe Bernat-Salles a salué le retour de Sélestat en D1 et sa volonté de grandir. « La LNH a besoin de clubs ambitieux comme Sélestat. En passant en SASP, le SAHB se dote des moyens pour évoluer au plus haut niveau. Les clubs doivent conserver leur identité, leurs bénévoles. Mais il existe aujourd’hui une nécessité de se structurer et de se professionnaliser, notamment en ce qui concerne la communication et le marketing. »

    C’est donc ce saut qualitatif que le club bas-rhinois est en train d’effectuer. Pour atteindre ses autres objectifs – continuer à augmenter le budget, donc attirer de nouveaux partenaires, et « faire de Sélestat le porte-drapeau du handball alsacien » –, le SAHB a confirmé son intention de délocaliser deux matches au Rhenus. « Nous avons l’accord de la Ville de Strasbourg », indique Vincent Momper.

    L’impact en terme de recettes billetterie ne sera pas négligeable (le Rhenus peut accueillir 5 500 spectateurs). Ces deux affiches seront aussi l’occasion de courtiser de nouveaux partenaires privés. « Nous devons désormais aller au-delà du Centre Alsace. Nous avons déjà réussi à attirer des entreprises de Strasbourg », explique Vincent Momper. C’est d’ailleurs l’une des conditions sine qua non pour que Sélestat, plus petite ville de D1, puisse exister.

    « Pour avoir un bon championnat, il faut des grands et des soi-disant petits, souffle Étienne Capon, directeur général de la LNH. Sélestat doit élargir sa zone de chalandise et c’est ce que le club est en train de faire en allant jouer à Strasbourg. »

Au Rhenus et à la télé

    Ces matches à Strasbourg devront d’ailleurs faire parler de Sélestat dans toute la France puisque la télévision sera de la partie. Avant de “visiter” l’Alsace, Philippe Bernat-Salles, président de la LNH depuis juin 2010, a en effet signé un accord avec Canal + pour les droits télé (un contrat de quatre ans à hauteur de 1,2 million d’euros par saison, les matches seront diffusés sur Canal + Sport).

   « Nous avons un bon produit, assure le président de la LNH. La Ligue essaie de se donner les moyens de ses ambitions pour aider les clubs à se développer. Si nous avançons ensemble, nous avons tous les atouts » pour continuer à faire grandir le handball.

    L’ancien ailier du XV de France voit, lui aussi, d’un bon œil ces deux matches au Rhenus (Sélestat espère bien sûr pouvoir y recevoir Montpellier et Chambéry si le calendrier le permet).

    « Il y a une réelle détermination à exposer le handball en Alsace. Au moins une de ces deux rencontres sera télévisée, c’est une évidence », assure Philippe Bernat-Salles. Le rendez-vous est pris.

Simon Giovannini
Source DNA

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20 juin 2011

Des nouvelles de nos anciens violets : Baptiste Butto promis à un bel avenir

  Butto : De la graine d’Expert

Butto_B     Baptiste Butto a vécu une saison merveilleuse sous le maillot de Dunkerque. Meilleur buteur de l’élite, révélation du championnat, le natif d’Algrange gravite à une altitude qui pourrait le mener parmi les Experts.

     Baptiste ? Ah Baptiste, comment dire, il a tellement fêté notre victoire en Coupe de France qu’il en a arrosé la plage de Dunkerque. Mais pas qu’avec de l’alcool… » La confidence provient de Vincent Gérard qui ne pouvait, décemment pas, ne pas égratigner son partenaire, ami d’enfance et camarade de chambrée de Dunkerque.

     Baptiste Butto est l’homme de tous les excès. Surtout devant le but, là où son appétit gargantuesque s’est pleinement rassasié la saison dernière. A tout juste 24 ans, le natif d’Algrange a inscrit son nom en haut de la liste des buteurs de la Ligue Nationale de Handball. Son total ? Gare au vertige : 178 réalisations, 91 penaltys. Réputé pour son expertise, le quotidien sportif L’Equipe en a fait sa révélation de l’élite.

   Pas de quoi flatter l’ego de l’ailier gauche, imperméable aux effets pervers du narcissisme : « Franchement, c’est bien, ça fait plaisir. Ce titre est une satisfaction, pas une fin en soi. Ce qui compte, c’est d’être rentré dans l’histoire du club avec cette victoire en Coupe de France à Bercy face à Chambéry et avec cette troisième place en championnat. » Le plaisir collectif prime, les compliments glissent sur cet Algrangeois de naissance qui a toujours baigné dans le handball. Les plus anciens se souviendront de son père, Mario Butto, cette forte tête qui a exploré jusqu’en 2007 à Rombas, tout ce que la Moselle comptait de clubs : « Il a joué dans je ne sais combien d’équipes. Il ne m’a pas forcé à jouer au hand, mais il m’en a donné le goût. » Et aussi un bras, le paternel ayant été sacré champion de Lorraine de lancer de javelot dans sa prime jeunesse.

« Du beau monde »

      Après avoir débuté à Thionville, Baptiste Butto a effectué une petite parenthèse à Metz, avant de rejoindre le pôle espoirs de Strasbourg et de mettre le cap sur Sélestat, pensionnaire de l’élite : « De belles années. Ensuite Dunkerque est venu me chercher, le club a racheté mes deux dernières années de contrat. »

      Une pratique guère répandue dans l’univers désargenté du handball et qui traduit bien le potentiel du joueur : « La première saison n’a pas été mauvaise mais je revenais de six mois de blessure. Cette année, j’étais prêt ». Prêt à dynamiter les défenses les moins permissives du championnat – « je passe mes journées à décortiquer mes adversaires à la vidéo » –, prêt à battre de l’aile sur son côté gauche, prêt à soulever des montagnes pour ce club ch’ti auquel il s’identifie pleinement : « Ce sont des gens chaleureux, si vous les aviez entendus à Bercy… »

     Est-il prêt, aujourd’hui, à intégrer les Experts du chef étoilé Claude Onesta ? Son pedigree l’y autoriserait, pas forcément la raison : « A mon poste, il y a du beau monde avec Michaël Guigou, Honrubia et Bingo. Ils ont pour eux d’être champions du monde… Disons que j’aimerai juste y goûter. » Pour l’heure, aucun signe n’est venu du sélectionneur national : « J’ai serré la main de Monsieur Onesta. Je ne sais pas s’il m’a reconnu (rires). »

     Ses rêves sont plus rationnels : « Disputer un jour la Ligue des Champions, se battre pour le titre de champion de France. » Et surtout, poursuivre sa carrière avec excès, sans se soucier du regard des autres : « Lors du dernier match face à Chambéry, avec Vincent Gérard on est rentré sur le terrain en exhibant un drapeau de la Lorraine. » Le numéro 57 de Dunkerque – « un clin d’œil à la Moselle » – n’a pas fini d’arroser les plages du Nord…

Jean-Michel CAVALLI.
REPUBLICAIN LORRAIN.

 
18 juin 2011

Yuri Petrenko signe au SAHB pour deux ans

      apres-avoir-joue-a-dunkerque-et-paris-l-international-ukrainien-yuri-petrenko-s-est-engage-hier-pou Pour faire face à la retraite sportive de Christian Omeyer, le SAHB a misé sur Yuri Petrenko. Le transfuge du Paris HB, qui va sur ses 34 ans, possède une longue expérience du haut niveau qu’il espère mettre au service de Sélestat.

À Zaporodje, une ville industrielle de près de 800 000 habitants dans le Sud-Est de l’Ukraine, Yuri Petrenko a rapidement tracé son chemin. Passé très tôt à l’école de handball locale, il a mis en lumière ses qualités qui lui ont permis de briller aux championnats du monde juniors en 97 où l’Ukraine est sortie vice-championne du monde. « À 16 ans, j’ai signé mon premier contrat avec Zaporodje. Mais comme le championnat ukrainien n’est pas très dense, j’avais envie de connaître une expérience à l’étranger. Dunkerque m’a contacté au bon moment et c’est ainsi que j’ai débarqué en France. »

C’était à l’été 2005. Il restera quatre saisons sur les bords de la mer du Nord avant d’émigrer vers la capitale où l’attendait une autre mission : celle de faire remonter Paris en D1. L’objectif rempli, le retour en LNH a donné lieu à une saison difficile où le maintien n’a été obtenu qu’au cours de la dernière journée. « Nous avons dû faire face à une cascade de blessés en début de saison et faire sans Nyokas et Filla notamment, justifie l’ancien demi-centre parisien. Du coup, il a fallu changer beaucoup de choses dans notre jeu. Mais cela n’a pas été dur à vivre. D’abord parce que je sais très bien qu’il n’y a jamais de matches faciles en D1 et parce que j’arrive à faire abstraction des choses en montant sur le parquet. »

Malgré une bonne prestation individuelle et une centaine de buts à son actif cette saison (3 e marqueur du club derrière Ortega et Claire), Petrenko n’a pas pu se mettre d’accord avec les dirigeants parisiens. Sélestat a donc sauté sur l’aubaine en lui proposant un contrat de deux ans. « Pour équilibrer l’équipe et pallier le départ et l’expérience de Christian Omeyer, Yuri avait le profil du poste », se réjouit le président du SAHB, Vincent Momper qui cherche encore un arrière gauche pour boucler le recrutement.

« L’équipe me semble prometteuse avec son mélange de joueurs expérimentés et de jeunes au potentiel à développer, constate le néo-Sélestadien. Je vais essayer de lui apporter mon savoir-faire et aider le club à réaliser son projet. J’ai souvent joué à Sélestat et j’ai toujours apprécié son public chaud et connaisseur. J’ai envie d’y jouer un rôle et j’espère contribuer à lui permettre de développer du bon jeu. Je jouerai comme l’entraîneur me le demandera. Je suis quelqu’un qui aime faire jouer les autres, organiser le jeu et je ne compte pas mes buts. »

Avec ses treize années au sein de la sélection ukrainienne et ses six saisons dans le championnat de France, Petrenko va donc endosser le rôle du grand frère tenu jusque-là par Christian Omeyer. Presque du sur-mesure.

16 juin 2011

ITW Micro Violet: Tom Huljina dit '' Au revoir '' aux supporters Sélestadiens

      Et oui tout à une fin. Tom nous quitte mais pas sans dire au revoir à ses fidèles supporters, à tous ses amis...

      Fidèle à lui même, Tom ouvre son coeur... Un vrai moment d'émotion et d'humilité...

      Tom, Tu vas nous manquer énormement. A bientôt, on l'éspère...

 
Nous te souhaitons à toi et ta famille tout le meilleur pour l'avenir.

Merci à notre envoyée spéciale Marjo.
Merci également à Sylvain pour la vidéo.

16 juin 2011

Trophée Jean André; Bobo à nouveau récompensé

            Sophie Marangé (Achenheim) et Frédéric Beauregard (Sélestat) sont les lauréats du 25 e Trophée Jean André, qui récompense les meilleurs handballeurs alsaciens de la saison.

        Pour leurs pairs, comme pour les journalistes sportifs alsaciens, il n’y avait guère de surprises quant aux noms des deux nouveaux lauréats du Trophée Jean André. Les avis étaient d’ailleurs unanimes au moment de mettre à l’honneur l’arrière gauche sélestadien Frédéric Beauregard, symbole de ce SAHB qui retrouve l’élite, et la capitaine et demi-centre d’Achenheim/Truchtersheim Sophie Marangé, qui range ses baskets au placard après avoir passé bon nombre d’années dans le club bas-rhinois. Un duo royal de choc élu au cours d’une élection qui a fait la part belle aux gardiens et aux gauchers.

Chez les masculins, en Pro D2, on ne pouvait passer à côté de Frédéric Beauregard. Le Martiniquais de Sélestat a éclaboussé de son talent et de sa puissance le championnat et a été le moteur, tant au niveau du jeu que de l’état d’esprit, d’une équipe qui retrouve sa place en LNH. Le dauphin de « Bobo » est le portier mulhousien Slavisa Stojinovic, véritable révélation du Mulhouse Handball Sud Alsace cette saison. Ses performances de premier choix ont grandement contribué au succès du MHSA, 3 e de D2 et demi-finaliste de la Coupe de France. À la 3 e place, on retrouve deux ailiers droits gauchers : Sébastien Gallotte qui a pris une part prépondérante dans le renouveau du club haut-rhinois, et le Sélestadien Arnaud Freppel convaincant comme à son habitude.

Kolonics, évidemment

En Nationale 1/Nationale 2, c’est encore un gardien - et c’est loin d’être une surprise - qui a réuni tous les suffrages : Gabor Kolonics. Le dernier rempart cernéen a guidé son équipe jusqu’au titre de N2 et sera encore l’un des cadres du CWH l’an prochain en N1. Derrière lui, l’artificier de la Robertsau Mohamed Habacha et un duo composé d’Antoine Vaesken (ASCA) et Kévin Beretta (SAHB II) complète le podium.

En Nationale 3, c’est un véritable plébiscite pour l’ailier droit - encore un gaucher -, de Haguenau Vincent Gilbert qui devance largement son dauphin Valy Cissé (Altkirch) et le Schilikois Romain Zaepfel.

Marc Calogero
Source L'Alsace

15 juin 2011

Pas de coupure estivale pour le 8eme Rugiss'hand

 

    C'est la fin de saison 2010/2011

 

         vacances02

          Et oui, tout à une fin. Le championnat 2010/2011 ferme ses portes sur une saison riche en émotion pour le SAHB et ses supporters. Elle dit surtout; adieu à la D2 et bonjour à la LNH. 


         
Mais avant ce come-back dans l'élite française du handball, il faudra patienter jusqu' au mois de septembre, histoire de se refaire ''du jus''. Il en sera de même pour le site qui va tourner en mode ''Récup'', histoire de souffler un peu. Pour autant, on ne déroge pas à la règle: Ainsi, jusqu’à la reprise, il y aura tout le temps des infos à se mettre sous la dent, des stats en pagaille, des Interviews, des photos, des vidéos et bien sûr à compter de juillet la traditionnelle présentation des équipes du championnat de LNH version 2011/2012.
.

      Bref, il se passera toujours quelque chose sur le site du 8ème Rugiss'Hand.

     Et comme les congés vont arriver très rapidement, le 8ème Rugiss'Hand vous souhaite de bonnes vacances.

Rugiss'Hand

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