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Le 8ème Rugiss' Hand
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30 mai 2009

ITW: Ah, Radek, tu vas nous manquer !

RadekAvant son dernier match dans les buts de Sélestat, à Aurillac, Radek Motlik explique les raisons de son retour à Mulhouse et revient sur ses deux saisons avec le SAHB.
. 
     S’il maniait plus aisément la langue de Molière, Radek Motlik aurait certainement pris la plume pour traduire sa peine de laisser les supporteurs des Violets en plan. Il s’est donc tourné vers notre journal pour donner libre cours à ses émotions à la veille du dernier match de Sélestat, ce soir à Aurillac.
     « Si je quitte Sélestat, ce n’est pas de gaîté de cœur. J’y ai passé deux saisons superbes malgré les mauvais résultats de cette année. Et j’aurai voulu y prolonger ma carrière. Pour continuer de jouer sous les encouragements de supporteurs extraordinaires. Franchement, je n’ai jamais vu un tel engouement depuis que je joue au hand. Et pourtant, j’ai bientôt 39 ans. Ces gens auraient pu nous lâcher car nous ne leur avons pas toujours présenté un spectacle digne de ce nom cette saison. Mais ils ont toujours été derrière nous. »
       C’est donc une véritable histoire d’amour qui s’est tissée au fil du temps entre le gardien et ses fans qui ont souvent scandé son prénom sur l’air des lampions. Surtout lors de la deuxième partie de cette saison quand l’ex international tchèque a retrouvé toutes ses capacités. Mais lui ne mesure pas sa saison à ses statistiques personnelles. Ce qu’il regarde, ce sont les résultats de l’équipe. « Cette saison est complètement ratée. Gagner seulement trois matches, c’est une situation que je n’avais jamais connue en plus de 20 ans de carrière. On m’a vu râler plus souvent que d’ordinaire car je suis un gagneur. Et quand tu prends une claque à chaque match, c’est dur, très dur. Après notre déroute de 10 buts contre Aurillac au match aller, j’ai même pleuré. La dernière fois que ça m’était arrivé, c’est lorsque ma mère est morte, il y a cinq ans. »
        Des explications sur cette déconfiture, il n’en a pas vraiment. « J’ai beau chercher, je n’en ai pas. C’est peut-être psychologique. Pourtant l’ambiance dans le groupe était saine. On est tous un peu responsables de ça : les joueurs, les entraîneurs et les dirigeants. Et puis on n’a pas été gâtés avec toutes ces blessures graves qui ont affaibli l’effectif. »
        Déçu par cette année terne, il était prêt à retrousser ses manches pour tenter de retrouver l’élite française qu’il avait d’ailleurs découverte avec Sélestat en arrivant il y a deux ans. Mais cela n’a pas pu se faire et Motlik a répondu à l’appel de son ancien club. « Sélestat constituait ma priorité. En avril, nous étions presque tombés d’accord. J’allais signer. Puis les choses se sont mises à traîner. Le dirigeant en charge des négociations a démissionné. Pendant trois semaines, je n’ai eu aucune nouvelle du club. C’était le flou le plus complet. Si bien que j’ai dit oui à une proposition mulhousienne. Car quand Jean-Paul Billig dit oui, c’est oui. Et j’avais besoin de savoir où j’allais. Ce n’est pas pour une question d’argent que je pars puisque les propositions étaient presque similaires. Maintenant j’espère que l’année prochaine Sélestat et Mulhouse monteront en D1. Ce serait bien. »

Christian Weibel
Source de l' ALsace

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20 mai 2009

Avec Radek et Tom ?

        Sélestat-Alsace handball n'a pas pesé lourd, samedi à Istres, face au vainqueur de la Coupe de la Ligue. Surtout, trop de joueurs n'ont pas fait honneur au maillot qu'ils portent.

L'ambiance n'est pas vraiment à la fête du côté du Sélestat-Alsace handball. Le coeur n'y est visiblement pas, la voix non plus, du moins pas pour pousser la chansonnette.
        Le seul refrain d'actualité est celui d'ordinaire entonné par les supporteurs pour chiner l'équipe d'en face : « Mais ils sont où, mais ils sont où ? »
        On peut effectivement se demander où ils sont, les Sélestadiens. Pas qu'ils aient toujours été là cette saison, loin de là, juste qu'il aurait été professionnel d'au moins terminer dignement une saison fadasse, une des pires que le club bas-rhinois a connu. Ce n'est malheureusement pas le cas.

Ceux qui ne sont plus là et les autres...
      
« A défaut d'âme, on était parvenu, au début du cycle retour, a un semblant de mobilisation autour d'un projet commun, lâche Jean-Luc Le Gall. Face à Ivry (31-31) ou à Chambéry (26-28), on avait montré un petit quelque chose de bien. Aujourd'hui, on est à nouveau loin, très loin du compte... »
      Ça n'avait pas été brillant il y a quinze jours devant Nantes, les Sélestadiens ont réussi l'improbable exploit de faire encore moins bien samedi à Istres. Et pas uniquement parce que la formation de Christophe Mazel surfe sur la vague de son succès en Coupe de la Ligue.
       « Ce week-end, il y a clairement eu ceux qui ne sont déjà plus Sélestadiens et les autres. Et parmi ces derniers, quelques uns ont montré leurs limites. »
Pour faire bref, si ce ne sont les gardiens, Omeyer et Huljina, tous ont failli. Les arrières notamment, Baran, Biloum, Boillaud et Ramel ayant rendu de désolantes feuilles de stats (6 buts pour 26 tirs !).

Radek_ParisMotlik, Huljina et... Malesevic ?
     
« En alignant ceux avec lesquels on pensait réussir quelque chose de bien, on s'est offert un début de match calamiteux (11-15 à la 16e), continue l'entraîneur sélestadien. On a vécu un match d'une platitude infinie qui présage d'une triste fin de saison. Longue surtout, très longue... »
      Le SAHB a visiblement bien du mal à tourner la page. A la tourner honorablement. Au moins les dirigeants alsaciens trouveront-ils dans le comportement de certains la certitude qu'un grand changement est nécessaire.Huljina
      « Une chose est sûre, termine Jean-Luc Le Gall, le groupe sera modifié en profondeur en fin de saison. On va tout faire pour reconstruire avec ceux qui ont toujours été impliqués, tenter d'attirer des joueurs intéressés par notre projet. »
      Reste à savoir quels seront ces joueurs-là. Lesquels le club voudra garder, lesquels il pourra garder, lesquels voudront rester ou le rejoindre.
      Radek Motlik et Tom Huljina devraient ainsi resigner en ce début de semaine et le club est en contact depuis quelque temps avec Nikola Malesevic (Nîmes, ex-Sélestat) qui ne serait pas contre un retour au club.
      Affaires à suivre, mais sacré chantier en perspective.

 

Source Dna (A.V.)

7 mai 2009

Radek Motlik de retour à Mulhouse

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   Depuis 2 saisons à Sélestat, le gardien Tchèque Radek Motlik vient de donner son accord pour revenir au MHSA pour la saison prochaine. A 39 ans ce devrait être son dernier baroud d’honneur et il pourrait former une sacrée paire de gardiens pour le moins expérimentée si il devait partager les buts de Mulhouse avec Francis Franck lui aussi né en 1970.
Source Handzone

   De très nombreux violets sont déjà tristes de son départ. Pour beaucoup d'entre eux, il est autant Tchèque que ''Alsacien'' ! (En tout cas dans nos coeurs).
Merci à Radek pour ce qu'il a représenté.  Nous quittons un ami !
Radek, nous te souhaitons bonne route et bonne fin de carrière.

Les violets37782325_p

18 février 2009

Sélestat perd son Paris

 

Sélestat perd son Paris

PARIS32/29SELESTAT

 

Paris HB/SELESTAT Alsace HB

Une équipe qui s'est battue et qui a bien joué !..
Mais battre l'équipe de la capitale relève pas forcément du jeu... Malheureusement !

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21 arrêts
Un Radek de feu encore ce soir!

24 octobre 2008

Joyeux anniversaire Radek

Tous les supporters des violets souhaitent:

 

 

Anniversaire_Radek

Il fête ses 38 ans aujourd'hui.

Radek c'est :
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Une énergie et des arrêts à revendre

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Mais c'est surtout :

Photo_015  Anniversaire_coco_2008

Beaucoup de gentillesse avec tout le monde

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5 octobre 2008

1/8 CdL : Le SAHB prend l'eau (2eme épisode)

8ème de finale : Coupe de la Ligue 2008

 

SELESTAT19/30TREMBLAY

Sélestat Alsace Handball / Tremblay en France

Suprenant !! Consternant !..
      Que s'est-il passé hier soir au Cosec ? Pourquoi notre équipe, si combative à son habitude, s'est-elle retrouvée à renoncer au match au bout de ... 10 minutes. Que se passe-t-il pour qu'un groupe complet passe à côté d'un match qu'il tenait par le bon bout !
    On ne le sait pas !

Quoi qu'il en soit, nous sommes et nous devons être, encore plus derrière eux à les soutenir !!!

     Radek MOTLIC, capitaine de l'équipe, a tenu à exprimer à tous les supporters du club des "Violets", au nom des joueurs toutes ses excuses pour ce non-match.

Radek_deception_Tremblay_08
Radek, très déçu !

26 septembre 2008

Photos SAHB - Paris

Pour le plaisir :pendant cette semaine sans compétition.
Revenons sur le premier match de la saison contre Paris au Cosec.

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Avant_match_Paris Baran_Paris

Gardien_Paris Defense_Paris

But_Paris Milan_paris supporters_Paris_05

Temps_mort_Paris_01 Radek_Paris

Remerciement_joueurs_01

22 septembre 2008

L'angoisse du gardien...

de hand devant le pénalty !

Il faut aimer:

   
MalikÊtre enfermé dans une cage de 3 mètres sur 2 et  recevoir pendant 60 minutes des projectiles lancés à forte vitesse, les ramasser puis les renvoyer pour que cela recommence, il faut aimer.
    
Il faut aussi aimer le bus, faire un trajet de 13 heures pour aller à Toulouse, repartir dans la nuit pour rejoindre Sélestat, il faut aimer.
    
Radek Motlik aime. Ce joli bébé de 100 kilos trouve des envolées de flamant rose pour contrer les obus que lui balancent des attaquants propulsés à des vitesses qui, ailleurs, relèveraient de l'attaque à main armée.
    
Mais non, au handball, c’est normal, et puis, ce Toulouse-Sélestat, c’est pour les Alsaciens, le premier match de la saison, alors Radek à faim.
    
Dans les cours de récréation, le gardien de but, c’est souvent la brelle, le naze que personne ne veut, quand on tire à paille-foin, la composition des équipes, les capitaines, optent souvent pour le plus gros, parce qu’il est incapable de courir, et parce qu’il obstrue un peu mieux la cage.

C’est la place du condamné. 

 

 

Radek Motlik, après un but encaissé Photo: DR

Hand Le haut niveau donne à ce poste ses lettres de noblesse et Radek prouve dès l’entame combien le gardien de but pèse sur le match. En contrant un penalty à la première minute, il met son équipe dans le sens du vent. En 5 minute, il réussit 3 arrêts explosifs. À la sixième, Sélestat mène  6 à 1 et l’entraîneur toulousain  demande un temps mort.

   La défense locale ne répond pas, le verrou saute, offrant des couloirs à des adversaires qui n’en demandent pas tant. Alors, Fabien Arriuberge, le portier toulousain s’énerve, invective ses arrières et prend un but.

    Dans la cage opposée, Motlik offre son corps à la cause. Du pied, de la main, du torse, il bloque, arrête, détourne. À 15 reprises, il  mettra en échec les tentatives toulousaines, offrant des balles de contre  dévastatrices. 32 fois, il ira chercher la balle au fond de ses filets et Radek n’aime pas ça. Chaque but encaissé est une souffrance, il joint les mains, lève les yeux au ciel, grimace et souffre et retrouve au bout du compte le sourire quand son équipe l’emporte par 3 buts d’écart.

  Après le match, Claude Onesta, entraîneur doré de l’équipe de France de Hand se prête avec une disponibilité confondante au jeu des autographes, des photos avec la petite sœur et la grande copine. On s’en veut de lui demander encore un peu de son temps, mais il s’exécute dans un sourire : c’est le revers de la médaille.

  «La performance du gardien met l’équipe en confiance et fait douter l’adversaire explique Onesta, En Chine, Thierry Omeyer à fait un parcours  exceptionnel, on ne peut pas gagner une grande compétition sans un grand gardien».
   
Du haut de son mètre quatre vingt quinze et de ses 18 ans, Wesley Pardin, l’autre gardien du Toulouse Handball, pose un regard  amusé sur sa vocation de gardien de but : «C’est inné, on se fait mal, on prend des coups mais c’est un boulot à part, tout part du gardien pour lui revenir, c’est un poste essentiel».

     Radek Motlik reste modeste quand on lui dit qu’il a fait gagner son équipe mais son sourire en dit plus long que ses discours. Adossé à la porte du bus qui va le ramener en Alsace, il fume clope sur clope.
Un peu de goudron, avant le macadam.

FREDERIC ARROU
(source: LibéToulouse)

21 septembre 2008

Après Match: Toulouse UHB- SAHB

Pour conclure cette 1ère ou 2ème journée (à vous de choisir) couronnée d'une victoire du SA-HB:

Voici de belles photos envoyées par le club de Toulouse HB.

THB_vs_SAHB_02

THB_vs_SAHB_01

 

THB_vs_SAHB_03 THB_vs_SAHB_05

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THB_vs_SAHB_07 THB_vs_SAHB_08

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Merci encore au Toulouse HB et bonne saison 2008/2009.

20 septembre 2008

Après Match: Toulouse - SAHB

 Un Radek des Plus ''MAGNIFIQUES''

Une équipe plus que solidaire !

De la part de tous les Supporters de Sélestat :

Bravo le SA-HB !

selestat_8

Retrouvez sur le site du SA-HB, le compte rendu du match.
Retrouvez aussi les réactions d'après match de Jean Luc Le Gall.

Ci-dessous, des articles avant et après match de la Dépeche le 19/09/2008 (Journal régional de Toulouse) et du club de Toulouse :

« Nous allons savoir si nous avons grandi »
vendredi 19 septembre 2008

Victorieux à Tremblay, le THB reçoit Sélestat, ce soir (20 heures), au Palais des sports.
Victorieux avec la manière, samedi dernier, sur le parquet du Tremblay-en-France (30-29), un outsider annoncé aux places européennes, le Toulouse Handball va recevoir deux fois en l’espace de six jours : Sélestat ce vendredi et Aurillac mercredi prochain. Deux formations qui devaient se rencontrer le week-end dernier en Alsace, pour la première journée de championnat, mais dont le match a été reporté au 15 octobre prochain car la salle de Sélestat prenait... l’eau.
Moins en jambes et moins bien rodées donc, moins fournies sur le papier, surtout, ces deux équipes sont indéniablement à la portée des Toulousains. Les premiers sortent de deux années pourries et viennent de changer d’entraîneur tandis que les seconds découvrent la L1 cette saison.

La dépeche du 19/09/08

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Course poursuite au Grand Palais des Sports !
score final 32/35


Deuxième journée de championnat, premier match à domicile, le THB recevait ce soir l’équipe de Sélestat.
Après une belle victoire à Tremblay, les Toulousains avaient à cœur d’offrir à leur public leurs premiers points et du beau spectacle mais très vite les affaires se sont compliquées.
Les coéquipiers d’Anouar Ayed produisent une très mauvaise entame de match ; stériles en attaque, les locaux sont en échec face au gardien Sélestadien très en forme [1/5 à la 6’]. Dans le même temps, la défense Toulousaine ne trouve pas ses marques et les visiteurs prennent rapidement le large au score [5/12 à la 18’].
Marouene Belhadj est le seul à tirer son épingle du jeu ; il trouve le chemin des filets avec efficacité et permet à ses coéquipiers de ne pas se noyer malgré tout [12/18 à la pause].
Toujours en grand forme après la mi-temps, l’arrière Marouene Belhadj continue son show et les Toulousains entament une folle course poursuite pour revenir au tableau d’affichage [20/25 à la 39’]. Les hommes de Laurent Bezeau trouvent plus de solutions offensives ; la défense Sélestadienne laisse des espaces et le THB en profite [27/30 à la 50’].
Sans jamais baisser les bras, les joueurs de la ville rose continuent à produire leurs efforts mais partis de trop loin, ils ne parviennent pas à accrocher cette victoire et s’inclinent à trois longueurs de leurs adversaires

[score final 32/35].
(source Club de Toulouse)

THB: complètement hors sujet

L
aurent Bezeau attendait de voir si son équipe avait franchi un cap après son succès au Tremblay, la semaine dernière. Depuis hier soir, il sait que ce n'est pas encore le cas (et loin de l'être) après l'ouverture complètement ratée à domicile que les Toulousains ont offert à leurs supporters. « Une vraie catastrophe «, dira même Gary Meunier, l'ailier du THB, abattu comme tous ses coéquipiers après la défaite face à Sélestat, pourtant pas un foudre de guerre, loin s'en faut. Mais que voulez-vous, les Toulousains n'ont récolté que ce qu'ils méritent : un zéro pointé. La faute à une entame catastrophique des coéquipiers d'Anouar Ayed, incapables de mettre leur jeu en place, malmenés en défense, transparents en attaque et qui ont fait en plus briller un Radek Motlik, l'excellent gardien sélestadien, qui n'en demandait pas tant (15 arrêts en première période !). Rapidement, on a eu la confirmation que la soirée allait être compliquée pour le THB, largué dès les premières minutes (4-9, 16e puis 6-14, 22e). Hormis Belhadj, le seul dans le coup en attaque, Toulouse n'avait rien d'autre à faire valoir. Surtout, on s'étonne que les Toulousains aient insisté dans l'axe au lieu de solliciter leurs ailiers (premier tir de Meunier à la… 13e) pour amener de la variété. Mauvais choix tactique mais également, une défense qui a pris l'eau tout au long de la rencontre et un Fabien Arriubergé visiblement pas dans le coup hier soir. Impossible dans ces conditions d'espérer quoi que ce soit, même si dans le final les Toulousains se sont rapprochés à trois longueurs (26-29, 47e), puis à deux (30-32, 58e) et enfin à une (32-33, 59e). Mais le mal était fait depuis longtemps et un nul aurait tenu du miracle. Reste désormais à bien analyser cet échec, à redresser la tête et à préparer la réception d'Aurillac, un promu, mercredi prochain. « Là, il ne faudra pas se louper», confirme Gary Meunier. « Après notre bonne opération à Tremblay, nous nous devions de réussir l'ouverture à domicile. « Pour le coup, c'est raté. Complètement raté…

De la Dépeche du 20/09/08

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