Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le 8ème Rugiss' Hand
16 novembre 2012

Présentation de la 9ème journée: Déplacement des violets à Ivry

bataille_carl

Dumoulin replace Chambéry dans la course
 
 

IVRYvs401i_logos_sahb_a_coeur_caroussel

     US IVRY    Vs      Sélestat Alsace HB

A Ivry, où on aime les défis autant sur le parquet qu'en coulisses avec une nouvelle lutte de pouvoir entre la présidente sortante Béatrice Barbusse et l'ancien gardien de buts Marc Olivier Albertini qui a annoncé sa candidature à la fonction suprême, l'équipe poursuit sa route et accueille Sélestat. Les camarades de Mathieu Bataille (notre photo) marquent le pas après trois matches sans victoire. La venue des Alsaciens qui eux, viennent d'accrocher Montpellier (30-30) pourrait être une bonne occasion de repartir sur des bases un peu plus solides d'autant qu'à l'issue du déplacement en terre nantaise, Pascal Léandri a qualifié la défaite "rageante mais pas alarmante". En tout cas, Sélestat est un adversaire direct dans la course au maintien et la saison passée, les deux équipes avaient quitté Delaune au terme d'un match nul (29-29) au cours duquel les deux gardiens Chapon (pour Ivry) et Ivezic (pour Sélestat) s'étaient parfaitement neutralisés. 
 
Source Handzone.
 
Dernier rencontre: le 13 mai 2012 Ivry 29-29 Sélestat
 
Meilleur buteur de la rencontre: Pawel Podsiadlo avec 7 réalisations
 
Publicité
14 novembre 2012

SAHB confidentiel : SAHB vs MAHB

 

Top Music

 
12 novembre 2012

Retour sur l'extraordinaire performance Sélestadienne contre Montpellier

     Grâce à un but de Yuriy Petrenko à la dernière seconde, Sélestat a contraint le grand Montpellier au match nul (30-30). Une juste récompense, aux allures de succès, pour des Violets qui ne méritaient pas moins.

la-joie-intense-des-selestadiens-heroiques-hier-contre-montpellier-photos-dna-jean-christophe-d

Ils ont sauté, crié, exulté, communié avec un Rhenus lui aussi ivre de bonheur. Les Sélestadiens ont fait chavirer le public alsacien, recevant sitôt le match terminé une ovation à la hauteur de leur prestation : énorme !

Avec les retours hier de Karabatic, Tej et Gajic, Montpellier retrouvait une équipe plus conforme à son statut de champion de France en titre. C’était écrit, les Héraultais à nouveau (presque) au complet allaient reprendre sans trembler leur marche en avant.

« Sur l’ensemble du match, le nul est logique »

« Quand tu affrontes le PSG ou Montpellier, tu peux imaginer que cela se passe mal, souffle Jean-Luc Le Gall, l’entraîneur sélestadien. Il y a toujours une peur qui s’installe. » Visiblement (on s’en doutait déjà un peu), les Violets ne connaissent pas ce sentiment.

La peur avait changé de camp hier. Et c’est longtemps Montpellier, malmené par des Alsaciens héroïques, qui a cru voir le sol se dérober sous ses pieds. « C’était un match intéressant, souligne Patrice Canayer, le coach montpelliérain. Sélestat a livré une très bonne prestation. J’ai des regrets car on domine le final, mais sur l’ensemble du match, le nul est logique. »

L’honnêteté n’est pas la moindre des qualités de Patrice Canayer, à qui il n’a certainement pas échappé que son équipe était encore menée à la 54 e, après le 4 e but de Pawel Podsiadlo (28-27). Sélestat est passé tout près d’une victoire de prestige, la première de son histoire en D1 face à Montpellier.

Jean-Luc Le Gall, lui, n’oublie pas non plus que le spectre de la défaite s’est un moment promené au-dessus du Rhenus, quand les coéquipiers d’Issam Tej, en supériorité numérique, ont repris l’avantage à 45 secondes du coup de sifflet final (29-30). « Il n’y a aucune frustration, assure le coach violet. C’est plutôt un bon point. C’est nous qui avons inscrit le dernier but. »

Cela aurait été cruel, injuste (n’ayons pas peur des mots), tant les Violets ont bousculé leurs adversaires. La première période a même constitué un petit chef-d’œuvre.

Si Nikola Karabatic s’illustrait pour son retour en LNH en inscrivant les trois premiers buts montpelliérains, c’est bien Sélestat qui prenait d’emblée les devants au score (6-3, 9 e). Le sursaut héraultais (8-8, 15 e) n’entamait pas la confiance de Sélestadiens qui terminaient en trombe ce premier acte (16-13 à la pause).

Le réveil montpelliérain

Les 5 500 spectateurs se prenaient à rêver d’un exploit plus que jamais possible. Les joueurs de Jean-Luc Le Gall ne faiblissaient pas en début de seconde période. Et l’ambiance montait encore d’un cran quand Djordje Pesic donnait quatre longueurs d’avance aux siens (21-17, 38 e). Mais même fragilisé par le contexte extra-sportif que l’on sait, Montpellier n’en reste pas moins une formidable équipe.

Le 0-5 initié par Cristian Malmagro plaçait le champion de France en tête pour la première fois dans cette rencontre (24-25, 48 e). La résistance violette allait-elle, comme la saison dernière, rendre les armes ? C’est mal connaître l’orgueil des coéquipiers de Kevin Beretta, lequel mettait fin à sept minutes de disette offensive (25-25, 51 e). Le bras de fer semblait même tourner en faveur des Alsaciens après le but de Podsiadlo (28-27, 54 e). Un avantage qui se transformait en chimère quelques instants plus tard, quand Guynel Pintor écopait d’une sévère exclusion temporaire à la 58 e (29-29). La solidarité sélestadienne allait une nouvelle fois payer et c’est cette fois Yuriy Petrenko qui endossait le costume du héros pour s’en aller inscrire, à trois secondes de la fin, le but de l’égalisation (30-30).

yuriy-petrenko-a-inscrit-au-buzzer-le-but-de-l-egalisation-photo-dna-jean-christophe-dorn

Petrenko sur le fil

Les larges sourires qui illuminaient les visages alsaciens traduisaient leur grand bonheur. « J’avais beaucoup aimé notre match contre Dunkerque (défaite 25-27, ndlr) et je place celui contre Montpellier sur le même plan. Sauf que là, c’était au Rhenus, devant 5 500 spectateurs. Et là, nous avons pris un point », indique Jean-Luc Le Gall, entraîneur comblé.

Un point pas vraiment prévu dans le tableau de marche violet et qui en dit long également sur les progrès enregistrés par cette équipe par rapport à la saison dernière. « Quel que soit l’adversaire, on se prépare toujours pour gagner. Même s’il n’y a qu’une demi-chance, il faut savoir la saisir. Nous avons réussi à le faire. »

La fête du handball alsacien a tenu ses promesses. Et même un peu plus…

Source Dna

11 novembre 2012

Résultat 8ème journée: Selestat 30-30 Montpellier


 

Hand-D1-Selestat-Montpellier-retour-aigre-doux-pour-Nikola-Karabatic_reference

Montpellier coince encore

Malgré les retours plus qu’attendus de I. Tej, D. Gajic et N. Karabatic, sur les parquets de la LNH, Montpellier n’a pu empêcher les alsaciens d’arracher le match nul. Le n° 22 français a pu mesurer que sa cote restait intacte auprès du public français en étant accueilli triomphalement  par le public du Rhénus. Sélestat avec ce match nul effectue une bonne opération et se replace en 10ème position.

Comme une réponse aux interrogations dont il est l’objet, c’est N. Karabatic qui a pris les trois premiers tirs montpelliérains couronnés par trois buts (3-3 7ème min). Avec le retour de trois de ses cadres, Montpellier retrouve de la percussion dans son jeu et des automatismes. Pour autant, les hommes de Jean Luc Le Gall prennent le contrôle du match (8-6 13ème min). Dans le sillage d’un D. Pesic souvent sollicité (5 buts) les alsaciens proposent un jeu séduisant et virent en tête à la pause (16-13).

En seconde période, les locaux s’appuient sur une défense efficace et sur les arrêts déterminants d’un L. Fulop encore une fois impeccable (14 arrêts). Sélestat creuse un petit écart (19-16 35ème min puis 24-20  43ème). Mais en champion Montpellier s’accroche dans une ambiance surchauffée. I. Tej, D. Gajic et N Karabatic vont démontré leur amour pour leur club en étant largement à la hauteur de leur réputation. Compilant à eux trois plus de la moitié des buts de leur équipe, en faisant preuve d’ abnégation et d’une efficacité redoutable, ils vont permettre à Montpellier de combler le retard accumulé et de prendre le contrôle du match dans le money-time (28-29 57ème min). Les dernières minutes sont étouffantes. D. Gajic (11 buts dont 6/6 au penaltys) et ses coéquipiers pense tenir la victoire en entamant la dernière minute avec un but d’avance mais c’est l’expérimenté Y.Petrenko, sur un dernier rush à l’ultime seconde qui offre à son équipe le match nul (30-30).

Ce score de parité peut satisfaire les deux équipes. Sélestat d’un point de vue comptable se retrouve dans le ventre mou du classement. Pour Montpellier,  la prestation et la forme de ses cadres est un vrai message d’espoir qui présage des jours meilleurs…

Source Handnews

8 novembre 2012

Présentation de la 8ème journée: Et si Dunkerque s'installait en tête ?

 

.

SAHB 2010vsMONTPELLIER

    Sélestat vs  Montpellier

tej530_dasr

Quelle meilleure terre que l'Alsace pour permettre à Issam Tej (notre photo) de faire son retour parmi l'élite. Comme Nikola Karabatic, le pivot de Montpellier a été écarté des terrains depuis le 30 septembre dernier. Le temps d'un contrôle judiciaire très strict qui l'empêchait de côtoyer ses coéquipiers et qui a été levé depuis, le Tunisien a repris l'entraînement. C'est face à Sélestat qu'il renoue avec la D1. Un club qu'il connait pour y avoir débuté sa carrière française entre 2003 et 2006. Le match est de gala puisque les dirigeants alsaciens ont mis les petits plats dans les grands et comme la saison passée face à Montpellier, ils vont réussir leur pari de remplir le Rhénus de Strasbourg (5500 spectateurs). Nikola Karabatic sera également présent. Il a fait sa rentrée dimanche en Turquie avec l'équipe de France. Et cela a été plutôt concluant puisqu'au-delà du succès des Tricolores, le demi-centre héraultais a inscrit 4 buts et surtout offert de bons ballons à ses partenaires. C'est une bonne nouvelle pour Montpellier qui devra se passer de William Accambray (fracture du nez lors de France-Lituanie) et qui sera indisponible pendant un mois. Le MAHB a également réintégré Dragan Gajic qui à l'instar de Nikola Karabatic et Issam Tej n'a jamais avoué avoir parié sur le match Cesson-Montpellier. L'ailier droit est apparemment en excellente forme puisqu'avec la sélection slovène, il a participé aux matches qualificatifs à l'Euro 2014 et inscrit 8 buts. La décision de faire jouer tous ces revenants appartient désormais à Patrice Canayer. 

SELESTAT ALSACE HANDBALL - MONTPELLIER HANDBALL
Pronostic Handzone: Montpellier
Lieu :
HALL RHENUS
PLACE DE LA FOIRE-EXPOSITION BOULEVARD DE DREODE 67000 STRASBOURG
Date :
Le 11/11/2012 16h00
Arbitres :
PICHON STEVANN
REVERET LAURENT

Source Handzone

Publicité
7 novembre 2012

Avant le match de Gala Sélestat - Montpellier: Zumba pour tous...

26 octobre 2012

Résumé de la 7ème journée : Paris lâche Dunkerque qui piétine à Montpellier

 

 
 

 

 

 

PSG 42/27401i_logos_sahb_a_coeur_caroussel

 

Le PSG commence à faire le vide autour de lui 

Le PSG handball va-t-il faire un sans faute jusqu'à la fin du championnat ? La question est légitime tant la maîtrise des parisiens face à leurs adversaires de D1 parait sans faille. Ce mercredi contre Sélestat, Luc Abalo qui se ressent toujours de son choc avec le chambérien Nocar n'a pas été utilisé, Mikkel Hansen a été ménagé. Le rendement de l'équipe n'en a pas été trop affecté même si les Alsaciens ont entretenu l'illusion durant les neuf premières minutes. Samuel Honrubia (notre photo - meilleur buteur de la rencontre avec 9 réalisations) a été dans la lignée de sa prestation à Chambéry, Antonio Garcia prouve qu'il est autre chose qu'une doublure et que son bagage est... européen. Car c'est bien cela qu'il manque à cette équipe parisienne cette saison, des adversaires plus conformes à son standing. Le PSG joue juste, appuie là où ça fait mal et personne ne voit l'équipe de Philippe Gardent se retrouver un jour en difficulté. Ce dimanche, elle sera mise à l'épreuve de Nantes en quart de la Coupe de la Ligue. Coup d'arrêt ou 9ème succès officiel d'affilée ? 
 
Classement après 7 journées: Sélestat 10ème avec 5pts
 
Source Handzone

665161_200272716773778_1874973820_o

25 octobre 2012

Résultat 7eme journée: Paris 42-27 Sélestat; Le tarif parisien

pawel-podsiadlo-(droite)-s-est-employe-a-limiter-les-degats-photo-archives-dna-franck-delhomme

Il n’y a pas eu de miracle, hier soir à Paris. Comme Cesson, Montpellier et Toulouse avant lui, le Sélestat Alsace Handball, en dépit de son opiniâtreté, a été balayé par le rouleau compresseur parisien (42-27).

« C’est une équipe de Ligue des champions… », soufflait Valentin Aman, quelques secondes après le coup de sifflet final. Ce n’est plus un secret pour personne, Sélestat et Paris ne jouent pas dans la même cour. Le temps où les Alsaciens venaient s’imposer dans la capitale (pas plus tard que la saison dernière) est désormais révolu.

Le PSG n’a même pas eu besoin de ses deux stars, Hansen et Abalo, laissés sur le banc par Philippe Gardent, pour venir à bout de Violets accrocheurs, mais trop brouillons (23 balles perdues) pour espérer faire mieux que Cesson, Montpellier et Toulouse, également balayés dans la capitale.

« On s’est battu, mais cette équipe nous est supérieure »

On retiendra, pour la petite histoire, que les Violets auront mené dix minutes au score (0-3 à la 4 e puis 2-4 à la 7 e). Mais le 5-0 initié par Gunnarsson allait rapidement remettre le PSG en selle (7-4, 12 e).

Le jeu léché des coéquipiers de Bojinovic (seulement quatre balles perdues en première période) prenait souvent de court la défense sélestadienne (10-5, 14 e).

Mais l’entrée de Posdsiadlo faisait du bien à une équipe de Sélestat volontaire (10-7, 17 e). Les joueurs de Jean-Luc Le Gall s’accrochaient pour atteindre la pause avec “seulement” cinq longueurs de retard (20-15).

La seconde période allait, logiquement, s’avérer plus difficile pour les Violets.

La moindre erreur était sanctionnée par un PSG parti pour survoler le championnat (25-17, 38 e).

Salami et Podsiadlo s’employaient à limiter les dégâts (27-20, 42 e), mais le rouleau compresseur parisien allait se mettre en route. Cinq minutes plus tard, Sélestat était loin, très loin (33-20, 47 e).

La fin de match n’avait d’autre intérêt pour les coéquipiers de Yuriy Petrenko que de colmater les brèches pour empêcher l’écart d’enfler démesurément. Ce qu’ils parvenaient à faire, tant bien que mal (42-27 au final).

« C’est dur de prendre 42 buts, soupirait Valentin Aman, le pivot sélestadien. On s’est battu, mais cette équipe nous est supérieure. Le PSG a des joueurs de niveau international, vise des titres. Mais on aurait quand même aimé finir moins loin au score. On a perdu beaucoup de ballons et Paris a su concrétiser derrière. »

Sélestat a résisté avec ses moyens, bien inférieurs à ceux du PSG. Telle est la réalité de ce championnat.

Le rayon de soleil pour les Violets est venu des défaites de Billère et d’Aix-en-Provence, ce qui permet aux joueurs de Jean-Luc Le Gall de garder leurs distances avec le duo de relégables (quatre et cinq points).

Les Alsaciens doivent maintenant rapidement tourner la page de cette défaite, relevant finalement de la plus élémentaire des logiques.

Car le match le plus important de la semaine, c’est samedi au CSI face à Créteil, où le Sélestat Alsace Handball a l’opportunité de s’inviter pour la première fois de son histoire au Final Four de la Coupe de la Ligue.

Source Dna

24 octobre 2012

Présentation de la 7ème journée: Paris - Sélestat ; Intouchables ?

 

apres-dunkerque-yuriy-petrenko-va-affronter-un-autre-de-ses-anciens-clubs-photo-dna-franck-delh

Il n’aura fallu que six journées au Paris Saint-Germain pour s’installer seul au sommet de la LNH. Que peut espérer Sélestat, ce soir, face au plus que probable futur champion de France ?

Cela ne fait déjà presque plus aucun doute, après seulement six journées. Le PSG sera champion de France au soir du 6 juin 2013. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement avec une telle constellation de stars ? « Je ne vois pas qui peut les arrêter », souffle Jean-Luc Le Gall.

L’entraîneur du Sélestat Alsace Handball n’est pas vraiment surpris de voir les Parisiens aussi haut, aussi vite. « Il y a tout ce qu’il faut pour faire une “Dream Team”. » L’arrivée des Qataris à Paris a propulsé le PSG à des hauteurs jusque-là seulement fantasmées par le monde du handball hexagonal. Et les résultats sur le terrain n’ont pas traîné…

Montpellier ? Balayé, certes dans un contexte particulier pour le club héraultais. Chambéry ? Écarté avec autorité la semaine passée. Si bien que l’intérêt pour le titre de champion a déjà du plomb dans l’aile.

« C’est un peu comme un premier amour : tout est nouveau et tout beau, image le coach violet. Il y a une fraîcheur énorme dans ce groupe. Je pense que Paris est capable de réaliser une saison parfaite et de remporter les vingt-six matches de championnat, mais également les deux Coupes. Cette équipe n’a rien gagné ensemble, ses joueurs ont faim de victoires. »

Seul le manque d’automatismes – dix nouveaux joueurs sont arrivés cet été – aurait pu freiner le PSG en ce début de saison. Mais le club parisien a franchi cet écueil sans frémir. Il faut dire que le talent facilite grandement les choses. Avec Hansen, Abalo, Dinart, Kopljar ou Honrubia, Paris compte dans ses rangs quelques-uns des meilleurs joueurs du monde. Et le jeu proposé par les coéquipiers de Bojinovic laisse parfois rêveur. La patte Philippe Gardent, incontestablement.

Des stars au service de l’équipe

L’ancien “Barjot” a su trouver l’alchimie, comme cela a été le cas lors de ses seize saisons à la tête de Chambéry, aussi réputé pour son jeu chatoyant. La patte Gardent, c’est aussi l’état d’esprit affiché par les étoiles de la capitale. « C’est une équipe de stars, mais qui ne se prennent pas pour des stars. Tous les joueurs sont au service de l’équipe. Je trouve ça très fort », lance Jean-Luc Le Gall.

Affronter cette équipe représente aujourd’hui un superbe défi autant qu’un incroyable casse-tête. Difficile, en effet, de déceler la moindre faille dans ce PSG. « Ils sont forts quand ils défendent en 0-6, ils le sont également avec Abalo devant, énumère l’entraîneur sélestadien. Les joueurs respectent le projet de jeu, participent tous au repli défensif… » Avec un artiste tel que Mikkel Hansen, pour ne citer que lui, c’est sans surprise que Paris présente la meilleure attaque de LNH, quand la défense se montre tout aussi solide autour du “spécialiste” en la matière, Didier Dinart.

Déjà surdimensionné pour la LNH (plus de 9 millions d’euros de budget), le PSG est encore amené à grandir lors des saisons à venir. De quoi régner sans partage sur la France et l’Europe ? « Cette saison, Paris est intouchable, mais c’est positif pour le championnat, estime Jean-Luc Le Gall. Cela va booster les autres. Dunkerque va continuer de se rapprocher, Montpellier va se reconstruire… »

Et le match de ce soir dans tout cela ? « On s’organise pour le gagner », indique sobrement Jean-Luc Le Gall, conscient néanmoins, et ce n’est absolument pas une quelconque forme de défaitisme, que les chances de Sélestat sont faibles (le SAHB s’était imposé la saison dernière à Paris, 24-31, lors de la 13 e journée). En handball comme ailleurs, les millions mettent souvent à mal la glorieuse incertitude du sport.

Source Dna

23 octobre 2012

Les stats d'avant match : Paris - Sélestat

       

Sélestat Paris

           A l'occasion du déplacement de nos violets à Paris , voici les stats d'avant-match. Des stats surprenantes, qui restent favorables à Sélestat depuis quelques années...
      
       
C'est la 16ème rencontre à l'exterieur de Sélestat à Paris depuis la saison 1993/1994.

        Paris s'est imposé 10 fois
       
 
Il y a eu 4
matchs nuls
        Sélestat a remporté 2 victoires 

        Il aura fallu attendre 10 saisons pour voir Paris perdre son premier point contre Sélestat, c'était un 29/11/03 (26-26)
        Il aura fallu attendre 4 saisons supplémentaires pour voir Paris s'incliner contre Sélestat, c'était un 17/03/07 (24-26)


        La dernière victoire de Sélestat remonte à la saison dernière lors de la 13ème journée (24-31)
        La dernière victoire de Paris dans sa salle remonte à la saison 2008/09 lors de la 15ème journée (32-21).

        Le plus gros écart de buts en faveur de Sélestat: +7 lors de la saison dernière à la 13ème journée: (24-31). 
        Le plus gros écart de buts en défaveur de Sélestat: -15 lors de la saison 1997/98 à la 6ème journée: (37-22). 

         Sélestat reste sur 1 nul et 1 victoire.
           La dernière défaite
de Sélestat à Paris remonte au 18/02/2009 lors de la saison 2008/09.

         Sélestat est donc invaincu à Coubertin en compétition officielle depuis 1343 jours.  

    et demain, que vont raconter les stats après le match: Paris - Sélestat

Sources stats à partir de la saison 93/94

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Le 8ème Rugiss' Hand
Publicité
Archives
Publicité