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Le 8ème Rugiss' Hand
istres
16 septembre 2014

Avant Sélestat - Istres; Quentin Eymann de retour à la maison

      Une rencontre particulière pour Quentin Eymann demain soir, l'istréen retourne en Alsace, il retrouvera son ancien club Sélestat.

      C'est le premier déplacement de la saison pour les joueurs de Gilles Derot, les deux formations se sont inclinées lors de la première journée. A noter les forfaits des deux istréens Cismondo et Peronneau.

Découvrez en vidéo: l'istréen Quentin Eymann.
(interview Manuel Danloy Maritima Médias)

 Source Maritima info

Quentin Eymann de retour...

 

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16 septembre 2014

Avant Sélestat - Istres; Le duel des VUJIC

igor-vujic-se-sent-bien-a-selestat-et-espere-reussir-ses-debuts-a-domicile-contre-istres-photo-dna-michel-kurst

Igor Vujic a posé ses valises à Sélestat cet été. Demain contre Istres, pour son premier match à domicile avec son nouveau club, le Croate croisera son petit frère Stefan, arrière gauche comme lui. Rencontre.

Il est arrivé à Sélestat précédé d’une flatteuse réputation : deuxième meilleur buteur de la dernière SEHA League avec le RK Nexe Nasice (100 buts en 15 matches à 66% de réussite au tir) et tout frais international croate (il a étrenné ses premières sélections lors de la Swiss Handball Cup en avril).

Les études, puis une blessure avant de se révéler l’an passé

À bientôt 27 ans (il les fêtera le 28 septembre), Igor Vujic se sentait prêt à faire le grand saut, à montrer toute l’étendue de son talent en France, dans l’un des deux meilleurs championnats européens.

L’arrière gauche aurait pu le faire plus tôt. « J’ai eu des opportunités par le passé. » Mais une opération à l’épaule « il y a quatre ans » a ralenti son éclosion. « Cette blessure m’a fait perdre du temps. » Il l’a bien rattrapé depuis.

Igor Vujic est donc allé crescendo, sans doute aussi parce qu’il n’a jamais voulu tout sacrifier pour le handball. À l’âge de 18 ans, il choisit de filer en Slovénie, au Slovan Ljubljana, parce que le club lui propose de prendre en charge ses études.

« J’ai obtenu un diplôme en économie, explique ainsi le Croate. C’était très important pour moi. Et je reprendrai les études après ma carrière. » Après quatre saisons à Ljubljana, avec au passage une demi-finale de la Challenge Cup en 2009-2010, sa route le mènera à Maribor, toujours en Slovénie, puis chez lui, en Croatie, à Umag, Rijeka et enfin Nasice.

Déjà séduit par les vins alsaciens

Pour donner un élan supplémentaire à sa carrière, Igor Vujic a choisi Sélestat. « C’est une superbe opportunité », estime-t-il. Celle de voir s’il peut briller dans un championnat plus relevé que ceux qu’il a connus jusqu’à présent, pour continuer à taper dans l’œil du sélectionneur. « L’équipe nationale est mon grand objectif. »

Il le sait, il devra briller avec Sélestat pour atteindre son but. Le Croate s’épanouit déjà dans son nouvel environnement. « Je préfère les petites villes. Je viens d’une région, l’Istrie, où on fait de bons vins. Alors ici en Alsace, c’est parfait », sourit celui qui avoue une préférence pour le pinot noir et le gewurztraminer.

Bien sûr, c’est sur le plan sportif qu’il est davantage attendu, plus que sur ses connaissances en œnologie. Sa première sortie, la semaine dernière contre Créteil, n’a pas été emballante (2 sur 7 au tir), à l’image de la prestation collective. Mais l’arrière gauche ne devrait pas attendre longtemps pour se montrer performant.

« Je lui ai déjà dit qu’il devra prendre des points contre une autre équipe ! »

Dès demain contre Istres, lors de la 2e journée où il croisera la route de son frère Stefan ? Comme il le fait depuis toujours, il l’appellera avant le match. « Je lui ai déjà dit qu’il devra prendre des points contre une autre équipe ! »

L’aîné a beau être « très proche » de son cadet (23 ans), il n’entend absolument pas le laisser repartir vainqueur du CSI. Ce ne sera pas tout à fait une première. « C’est déjà arrivé en Croatie, quand je jouais à Rijeka et lui à Porec. Mais ce sera la première fois en France. Ce sera spécial. »

Leurs parents suivront avec attention le résultat de leur “duel”. « Je viens d’une famille de handballeurs, souffle Igor Vujic. Mon père a joué en Croatie, au Luxembourg, en Italie aussi. Il était arrière gauche comme nous. Avec Stefan, on s’entraîne avec lui l’été. Il est très sévère (sourire). »

Sévère, Igor Vujic voudra l’être avec Istres demain. Parce que Sélestat a absolument besoin de se rassurer après sa sortie de route cristolienne. « L’équipe est nouvelle, on va avoir besoin d’un peu de temps. Mais j’ai confiance. »

6 juin 2014

Transfert : Thierry Fleurival devient Sélestadien

Thierry Fleurival

     Voilà, c'est fait, Sélestat a finalisé son recrutement avec la signature du défenseur Thierry Fleurival en provenance d’Istres. Il remplacera poste pour poste Guynel Pintor parti à Créteil.

       Né le 06 juillet 1982 à Cayenne en Guyanne. Thierry Fleurival était l'un des piliers du club d'istres, au sens propre comme au figuré. Avec 1.90 et 105kg, il était le dernier rempart de la défense provençale. Mais Thierry Fleurival, ce n'est pas qu'un physique, Il s'agit aussi d'un joueur fidèle aux couleurs qu'il porte. Il a fait le bonheur de l'IOPHB depuis les années 2000. Il a tout connu là-bas, les hauts comme les bas avec la descente en pro D2 il y a deux ans. Son point d'orgue aura été cette magnifique victoire en coupe de la Ligue en 2009 à Miami ... en compagnie d'un certain Jordan François-Marie...

      Avec ses 12 années passé à Istres, il était devenu "l'ancien" de l'équipe. Il en était en quelque sorte l'âme du groupe. C'est un joueur de valeur qui arrive à Sélestat tant pour ses qualités dans, autour et à l'exterieur du terrain.

Thierry Fleurival
Formé à Istres
Débute à Istres avec les Pro lors de la saison 2002/2003
Vainqueur de la coupe de la Ligue 2009 avec Istres
Depuis ses débuts:
A passé 12 saisons à Istres dont 9 en LNH.
A joué 173 matchs en LNH
A marqué 94 buts en LNH

Nous lui souhaitons la bienvenue.

 

5 mars 2012

Après Istres: De la nécessité de se relever

En s’inclinant vendredi à Istres (34-23), les Violets n’ont pas rassuré, loin s’en faut, sur la crise de confiance qu’ils traversent actuellement. Cette 3 e défaite consécutive en championnat place Sélestat devant l’obligation de redresser rapidement la barre, sous peine de dilapider le bénéfice de sa belle première partie de saison.

L’arrière gauche Frédéric Beauregard n’imaginait pas une défaite d’une telle ampleur face à Istres.  Photo archives DNA – Franck Delhomme

     Le retour en bus a été long pour Frédéric Beauregard et ses coéquipiers. Difficile en effet de trouver le sommeil après la déroute en Provence (34-23). Hier, l’arrière gauche violet avait encore du mal à s’expliquer une telle contre-performance.

« On a déjoué dans tous les domaines », soupire un Frédéric Beauregard « en colère ». « C’était vraiment le jour sans. Il y a de la fatigue depuis le début de l’année en raison des longs déplacements, mais ça n’explique pas cette large défaite. On n’a peut-être pas joué avec suffisamment d’intensité, on a peut-être manqué de solidarité, je ne sais pas… Ce que je sais, c’est que ça fait mal. »

La dynamique n’était déjà pas vraiment positive avant ce déplacement à Istres, les Violets restant sur trois défaites consécutives (dont une à Saintes en Coupe de France). Mais les Sélestadiens avaient à cœur, à en croire le Martiniquais, de faire un pas important vers le maintien.

« On a réalisé une très bonne semaine d’entraînement. Tout le monde était confiant, tout le monde voulait faire un gros match. Je ne pouvais imaginer que l’on joue comme cela… », souffle “Bobo”, avouant « un sentiment d’impuissance ».

Largués à la pause (18-9), les Sélestadiens n’ont jamais été en mesure d’espérer s’imposer face à Istres. Le 5-1 encaissé au retour des vestiaires a très vite annihilé leurs maigres espoirs de revenir au score.

« Deux victoires d’avance, ce n’est rien du tout »

« Les Istréens ont fait leur match. Ils ont été très bons et très agressifs sur le plan défensif. » Tout le contraire de Violets étonnamment “passifs” défensivement. « On les regardait tirer à neuf mètres », lâche, dépité, Frédéric Beauregard.

En cas de victoire, le Sélestat Alsace Handball pouvait « prendre le large au classement ». Le scénario s’est finalement révélé totalement contraire en raison des victoires de Paris et de Nîmes. À première vue, la situation des Violets au classement pourrait ne pas paraître alarmante, avec quatre points d’avance sur les Parisiens, premiers relégables.

« On n’a plus que deux victoires d’avance, ce n’est rien du tout », souligne l’arrière gauche. Alors qu’il ne reste plus que neuf journées et au moins deux victoires à décrocher pour assurer le maintien, la fenêtre de tir s’est quelque peu refermée. Et qu’en sera-t-il dans quinze jours après les rencontres face à Dunkerque (4 e) et Saint-Raphaël (3 e) ?

« Si on joue comme on l’a fait à Istres, on ne perdra pas de onze buts, mais on va battre le record de la LNH, ironise-t-il. Ces deux matches seront compliqués. Le mot d’ordre sera de se rassurer, de retrouver l’équipe de la première partie de saison. Sinon, on ne pourra rien obtenir. »

L’état d’urgence n’est pas encore décrété sur le plan comptable. Il doit l’être en revanche sur le plan du jeu. Car ce Sélestat-là, s’il continue de déjouer ainsi, se dirige sans aucun doute vers des jours sombres. « Les gens se posent des questions. C’est normal par rapport à l’image que l’on montre depuis plusieurs matches. On doute un peu, c’est certain, mais on ne doit pas s’apitoyer sur notre sort. On doit passer outre. J’ai confiance dans ce groupe », assure Frédéric Beauregard.

La belle unité affichée lors de la phase aller doit permettre aux joueurs de Jean-Luc Le Gall de tenir bon dans la tempête. « Est-ce que l’on va se relever ?, s’interroge le Sélestadien. Oui. Nous en sommes obligés. Il faut maintenant que tout le monde tienne le coup dans la difficulté. »

Frédéric Beauregard refuse en tout cas de céder à la fatalité. « Je ne pourrais pas comprendre que l’on s’écroule, surtout après notre belle première partie de championnat. On ne peut pas avoir perdu toutes nos qualités. On doit retrouver cette envie de jouer ensemble, se remettre vraiment en question pour repartir de l’avant. »

S’ils parviennent à convertir ces paroles en actes, les Sélestadiens se sortiront de cette mauvaise passe. Sinon…

Source Dna

Lire également l'article de L'Alsace : Une remise en question s’impose

3 mars 2012

Résultat Istres 34-23 SAHB: Balayés !!!

djordje-pesic-peut-lever-les-yeux-au-ciel-le-sahb-n-avance-plus-photo-archives-dna-franck-delhoLa défaite à Saintes n’était donc pas un accident. Les Sélestadiens ont lourdement chuté, hier à Istres (34-23).   Au-delà de la défaite, la quatrième consécutive, c’est la manière qui interpelle.

C’est comme si les Sélestadiens avaient perdu leur handball en l’espace de quatre semaines. Solides début février contre Toulouse pour la reprise du championnat (31-28), les coéquipiers d’Olivier Jung ont depuis cumulé quatre défaites, signant à chaque fois des prestations de plus en plus inquiétantes. Le revers à Saintes, la semaine dernière en Coupe de France, n’était pas un simple accident de parcours.

S’il avait encore six points d’avance sur la zone rouge avant cette 17 e journée, le Sélestat Alsace Handball a vu son pécule se réduire hier soir.

Ce dixième revers de la saison constitue une bien mauvaise affaire au classement, Nîmes et Paris s’étant imposés dans le même temps. Mais c’est surtout le doute et le manque de confiance qui habitent cette équipe qui semblent le plus problématique.

Cinq minutes. C’est le temps, très court, trop court, durant lequel les Sélestadiens auront rivalisé avec Istres. Après l’égalisation de Petrenko (1-1, 5 e’), Sélestat a plongé, multipliant les balles perdues (14 à la pause, 18 au final) et les échecs au tir. Les Istréens n’en demandaient pas temps pour s’envoler au score (9-2 à la 13 e’, 12-6 à la 20 e’).

La suite n’aura été qu’un long chemin de croix pour les joueurs de Jean-Luc Le Gall, dépassés par l’engagement provençal. Symbole des malheurs alsaciens, ce but de Derbier depuis son propre camp, qui lobait un Fulop avancé (18-9, 30 e’).

« C’est une défaite collective, que  l’on assume tous ensemble »

La révolte espérée en seconde période n’a pas eu lieu, Istres continuant de profiter des erreurs sélestadiennes (23-10 à la 35 e’, 30-17 à la 52 e’). « Il n’y a pas grand-chose à dire sur ce match, soupire Valentin Aman. Nous n’avons pas été bons. »

Le pivot violet assure que son équipe n’a pas manqué d’envie. « On l’avait, assure-t-il. Mais on n’a pas réussi à trouver de solutions, on a eu des échecs au tir et ensuite, c’est la spirale négative… »

Les Sélestadiens parviendront-ils à se relever rapidement de ce revers, le plus lourd de la saison ? « C’est une défaite collective, que l’on assume tous ensemble. Et on va s’en sortir tous ensemble. On doit retrouver la solidarité que l’on affichait durant la première partie du championnat », lance Valentin Aman.

Sélestat n’a bien évidemment pas compromis ses chances de maintien hier. Mais c’est aujourd’hui une équipe en plein doute. Un doute symbolisé par un jeu offensif en panne totale d’efficacité. Les Violets vont devoir très vite retrouver de la confiance pour inverser la tendance, sous peine de s’acheminer vers une fin de saison stressante.

Source Dna

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2 mars 2012

Ce soir: Istres - SAHB: Sélestat doit se remettre sur le bon chemin ce soir à Istres

        Pour ne pas se mettre dans le rouge après deux défaites de suite en championnat, Sélestat espère mettre un terme à cette mauvaise série ce soir (20 h) sur les bords de la Grande Bleue.

Si au match aller, Frédéric Beauregard et les Sélestadiens avaient facilement dominé les Istréens Boultif et Fleurival, le match retour en Provence s’annonce plus délicat ce soir.Photo d’a rchives Denis Werwer

   Même si Sélestat possède toujours six points d’avance sur les deux équipes relégables de la LNH, une réaction s’impose pour ne pas que la situation se complique. Mais aussi pour mettre un terme à une série de trois défaites (deux en championnat et une autre en Coupe de France) qui commence à faire tâche. S’imposer en déplacement n’est pas la chose la plus aisée à ce niveau, mais il faudra se faire violence et passer outre.

Conscient qu’une réaction s’impose, Frédéric Beauregard avoue que lui et ses coéquipiers visent les deux points à Istres. « Ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour affronter Istres qui est dans une phase dynamique après son succès à Dunkerque et sa victoire en coupe sur Tremblay, estime l’arrière du SAHB. On est conscient que ce sera très, très dur d’affronter une équipe dont le moral a dû remonter en flèche. Mais on a envie de faire un bon match pour essayer d’assurer le maintien le plus vite possible et effacer notre boulette de Saintes. Il faudra, d’entrée de jeu, leur mettre une grosse pression défensive pour faire douter leurs attaquants et nous permettre de retrouver notre confiance aux shoots. »

Le secteur défensif a d’ailleurs honorablement tenu le coup lors des deux dernières défaites : 10 buts encaissés en seconde période à Créteil et 24 à Saintes. C’est surtout dans l’efficacité que les Bas-Rhinois ont pêché. D’où l’effort effectué pour dynamiser ce secteur. « On a beaucoup travaillé dans ce domaine, principalement sans ballon, souligne le coach Jean-Luc Le Gall. Mais ce n’est pas parce que nous connaissons un coup de moins bien que notre jeu s’est soudainement envolé. Il y a une dimension psychologique dans tout ça car nous perdons aussi davantage de ballons que d’habitude. À Istres, il faudra être en tenue de combat. Être efficace au-delà du beau jeu. Et se méfier d’un adversaire dont les derniers résultats montrent qu’il s’annonce particulièrement difficile. Par rapport au match aller, sa ligne arrière a changé aux deux tiers. »

La passe de trois ?

Les arrivées à l’intersaison du Tchèque Martin Hrstka et du Grec Spyridon Balomenos ont fait glisser le Ludovicien Sassi Boultif à droite où il reste sur 16 buts lors des deux derniers matches de championnat. « Il faudra être particulièrement attentif à leur base arrière mais aussi à leurs ailiers qui excellent en contres. Ils visent la passe de trois et nous, on ne voudrait pas perdre une troisième fois. Alors pour qui la passe de trois ? Ça ferait un bon titre pour l’article ! » Frédéric Beauregard a le sens de la formule. Il faut souhaiter que lui et son équipe, qui enregistre le retour de Pesic, la trouveront aussi sur le terrain ce soir à partir de 20 h.

Lire plus ici:

Source L'Alsace par Christian Weibel
2 mars 2012

Vu du coté d'Istres : Et maintenant, SELESTAT

selestatVoilà le championnat de D1 qui poursuit à la Halle Po' d'Istres.

       Avec, en matière d'invité, l'équipe de Sélestat, un groupe alsacien actuel 7ème du championnat... après avoir battu Créteil, Ivry, Toulouse (2 fois), Nîmes, Paris et ... Istres.

       Des clients, donc, avec un groupe de qualité : des joueurs expérimentés comme Freppel et Petrenko, des puncheurs comme Beauregard et Podsiadlo, des rusés comme leur pivot Pesic.

Pour les istréens, pas de questions à se poser : les points ce soir-là seront cruciaux ; pour poursuivre sa vie en D1, il faudra à notre équipe défendre chèrement la peau du club provençal! Et à la Halle en premier lieu, sur leur parquet, avant d'aller chercher d'autres points à l'extérieur.

Alors, un seul mot d'ordre pour les 60 minutes de ce vendredi 2 mars : combattre, ne rien lâcher, s'arracher sur le moindre ballon ; ce sera le passage obligé pour pouvoir engranger les points ... et, dans tous les cas, ne rien regretter.

Tous à la Halle ce vendredi, venez crier haut et fort, venez supporter les provençaux dans leur salle, il faut la VICTOIRE !

Source Istres Handball

1 mars 2012

Présentation de la 17ème journée: La réalité du championnat...

 
Istresvs130_selestat
 
         
    derbier_carl
         Dans la série « victoire qui vaut cher », l’opposition entre Istres et Sélestat est à prendre très au sérieux. Les Provençaux en panne de victoires depuis huit rencontres, viennent d’aligner deux beaux succès. Le dernier en éliminant Tremblay de la Coupe de France et surtout il y a une petite quinzaine, en allant s’imposer à Dunkerque. Ces deux performances coïncident notamment avec l’entrée en jeu du grec Spyridon Balomenos. Solide défenseur, ce globe trotteur du handball européen a notamment démontré qu’il savait se montrer très utile en attaque. Avant de se déplacer à Chambéry, les partenaires de Raphaël Tourraton (notre photo - 9 buts en coupe, la semaine dernière) ont inscrit les Alsaciens à leur tableau de chasse. Le parcours de Sélestat est en dents de scie. Il y a bien-sûr l’élimination de la Coupe par Saintes, l’actuel 8ème de la Pro D2 mais aussi les deux revers consécutifs en championnat, à Chambéry et à Créteil. Trois matches et trois défaites… à l’extérieur. En coupe, samedi, les Sélestadiens ont pris leur match à l’envers perdant pas moins de 18 ballons. Avec le retour dans l’effectif de l’ancien istréen Jordan François-Marie, cinq mois après son dernier match officiel en championnat (il a été opéré entre temps du poignet), Sélestat qui conserve six longueurs sur Paris, le 1er relégable compte sur ce déplacement pour marquer ses deux premiers points de l’année. 
 
 
Source Handzone
1 mars 2012

Avant Istres – Sélestat: Boultif S'est libéré...

       Sassi Boultif et Istres ont retrouvé le sourire à la faveur d’un exploit à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27). L’ancien Sélestadien compte extraire définitivement son club de la zone rouge.

Sassi Boultif (ici en défense face au Sélestadien Frédéric Beauregard lors du match aller)  et Istres sont sortis de la zone rouge.  Photo archives DNA – Franck Delhomme
 
Comment oublier ? Sassi Boultif a conservé précieusement tous « les bons souvenirs » de ses années sélestadiennes (2000-2003). « C’est le club qui m’a lancé en D1. J’y ai côtoyé de grands joueurs », sourit l’arrière gauche istréen.

Certes, l’effectif violet a beaucoup changé depuis son départ – « il ne reste plus qu’Arnaud Freppel » –, mais le Ludovicien jette un regard attendri sur ses jeunes années. « La première fois que j’ai été appelé en équipe première, c’était pour un match de Coupe d’Alsace contre l’ASCA Wittelsheim. J’étais tout jeune et je donnais le ballon à Marc Wiltberger, qui jouait en équipe de France ! »

« On manquait de solidarité, il y avait des tensions… »

Avec Villefranche ou Istres, Sassi Boultif a souvent recroisé son ancien club. Ce sera encore le cas demain et ces retrouvailles ne seront pas sans enjeu pour l’Istréen. Avec un seul petit point d’avance sur le premier relégable (Paris), les Provençaux sont loin d’avoir assuré leur maintien en D1.

« On a raté notre début de saison », n’hésite pas à dire Sassi Boultif. Le départ de Robert Lis, qui a laissé « un gros vide en défense », quelques blessures et les défaites se sont enchaînées du côté d’Istres. Surtout, ce groupe, vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2009, sixième du championnat la saison dernière, n’avait pas retrouvé son alchimie.

« On était très loin de notre niveau, explique celui qui effectue sa quatrième saison dans les Bouches-du-Rhône. On manquait de solidarité, il y avait des tensions… » La trêve de janvier est tombée à point nommé pour permettre aux Istréens de se ressourcer et de se dire leurs quatre vérités.

Les défaites contre Tremblay (31-28) et Montpellier (31-40) ont ainsi amorcé le renouveau istréen. « L’ambiance a changé. On a montré un autre visage, un autre état d’esprit. Et on s’est dit qu’en continuant comme cela, ça paierait tôt ou tard. Aujourd’hui, on prend à nouveau du plaisir », souffle Sassi Boultif.

20 buts en trois matches

La victoire à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27) a permis aux Provençaux de sortir de la zone rouge en LNH. « Un bel exploit » confirmé le week-end dernier avec un succès face à Tremblay (33-29) en huitièmes de finale de la Coupe de France.

L’arrière gauche de 29 ans n’est pas étranger à cette embellie. Pas vraiment à son aise durant la première partie de championnat, Sassi Boultif a profité de la Coupe d’Afrique des Nations en janvier pour retrouver de la confiance. Finaliste avec l’Algérie, élu meilleur arrière de la compétition, l’ancien Sélestadien flambe depuis son retour dans l’Hexagone (20 buts en trois matches).

« La CAN m’a vraiment libéré. Je suis bien dans ma tête, je me régale sur le terrain. Je fais de bons matches, c’est bien pour moi et pour l’équipe », confie le Ludovicien.

Istres aura bien besoin d’un Sassi Boultif performant pour gérer au mieux un mois de mars décisif. « On n’a pas le droit de lâcher des points à domicile si l’on veut se sauver. En cas de victoire contre Sélestat, on revient à trois points, ce n’est pas grand-chose », lance-t-il plein d’espoir.

Lire plus : une confiance retrouvé...

Source Dna

3 janvier 2012

Sélestat, un promu sans complexe !

C'est l'heure des bilans de la première partie du championnat et du tour des clubs.

 

3141-PT-Fulop_laszlo_06_PillaudAprès deux saisons passées en D2, Sélestat a signé un retour remarqué en D1. Malgré les blessures prématurées de joueurs clés, le club alsacien a terminé cette phase aller à une belle 8e place.

      Pour son retour parmi l’élite, Sélestat ne pouvait rêver meilleur départ. Premier match, première victoire contre Créteil (26-24). La saison de l’équipe était lancée. Car, si cette victoire a permis de débloquer tout de suite le compteur, elle a surtout décomplexé tout le monde. Les Alsaciens ont en effet tenu la dragée haute à tous leurs adversaires, y compris les cadors du championnat contre lesquels ils ont joué la gagne jusqu’au bout. A Chambéry, par exemple, malgré une courte défaite 31-29.
      Mais ces belles résistances contre les « gros » n’ont pas rapporté de points. Alors il fallait partir les chercher ailleurs, malgré le manque d’expérience d’une partie du groupe et surtout les blessures précoces de joueurs clés comme Michal Salami et Jordan François-Marie. Cette mission, les troupes de Jean-Luc Le Gall (éliminés dès le 1er tour de la Coupe de la Ligue par Tremblay) l’ont parfaitement réussie en s’appuyant notamment sur deux recrues : Pawel Podsiadlo (5 buts par match) et Laszlo Fulop (10e gardien de D1, en photo). La régularité a payé, le sang froid en fin de match aussi. Le promu a ainsi enregistré deux précieuses victoires au buzzer contre Ivry (22-21) puis à Toulouse (28-27), point de départ d’une belle série de 4 succès lors des 6 dernières journées de cette phase aller.
      En terminant aussi fort, avec au passage une qualification pour les 8e de la Coupe de France, Sélestat a pu accrocher en championnat une 8e place méritée avant la trêve. Le club compte désormais 5 points d’avance sur les relégables. Une avance insuffisante pour assurer le maintien, mais confortable malgré tout. Et, si l’équipe conserve lors de la phase retour la même solidité (8e attaque et 7e défense de D1), elle pourra même regarder devant elle, et non plus derrière.

Bilan de la phase aller du championnat (13 matches) :
8e place au classement, 12 points
6 victoires, 0 nul, 7 défaites
Buts marqués : 355 (8e)
Buts encaissés : 360 (7e)

9èmes
Tremblay en quête de régularité
Troisième du championnat en 2009 et 2010, Tremblay cherche depuis l’année dernière à retrouver ces sommets. Cette fois encore, ce n’est pas très bien parti ... (Lire la suite ici)
10èmes
Créteil, le savant mélange

Grâce à la bonne osmose entre les cadres et les jeunes pousses du club, Créteil a longtemps flirté avec le haut de tableau. Avant de connaître un coup de mou à la fin... (lire la suite ici)
11èmes
Paris, la défense en chantier

En délicatesse avec sa défense, Paris n’a pas su exprimer tout son potentiel dans cette première phase. 11e à la trêve, le club de la Capitale devra hausser son niveau... (lire la suite ici)
12èmes
Istres sur le fil du rasoir

Malgré un groupe restreint et le départ d’Ibrahima Diaw après quelques journées, Istres a su s’appuyer sur une attaque efficace pour éviter (de peu) la zone rouge avant... (lire la suite ici)
13èmes
Nîmes, entre hauts et bas

Malgré la présence de 2 des 4 meilleurs buteurs de D1 dans son effectif, Nîmes a eu du mal à être régulier en championnat. Victime d’une fin de première phase... (lire la suite ici)
14èmes
Ivry, le mauvais sort

Pas épargné par les blessures depuis le début du championnat, Ivry a souvent eu du mal en fin de match. Malgré sa dernière place au classement, l’USI a tout de même réussi... (lire la suite ici)

Source LNH

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