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Le 8ème Rugiss' Hand
vu du cote ...
17 novembre 2012

Vu côté Ivry: l’équipe la plus difficile à manier du championnat.

    Nouveau beau match à domicile pour les Rouge et Noir ce samedi soir avec la réception de Sélestat. Une partie importante qui peut permettre de se relancer dans le haut de tableau.

615-12_11_16Leandri

     « C’est un des tournants de cette fin de première partie de saison. » Les mots sont lâchés, sans ambiguïté par le coach d’Ivry, Pascal Léandri, au moment d’évoquer la rencontre de cette 9e journée de D1. Pourquoi ? Tout simplement parce que face à cette équipe alsacienne « qui jouera gros aussi », les partenaires de François-Xavier Chapon ont l’occasion de faire un bon coup contre une équipe moins bien classée et qui leur réussit plutôt bien en LNH (6 victoires, 3 nuls et 1 défaite depuis 2005). Pour autant, Pascal Léandri reste vigilant et prévient : « Sélestat est pour moi l’équipe la plus difficile à manier du championnat. Ce groupe développe un niveau homogène et régulier avec très peu de temps faibles. Ils font très bien ce qu’ils savent faire. Ce qui fait qu’il faut être très régulièrement au dessus pour pouvoir gagner. Un peu comme lors des matchs de Coupe d’Europe où si tu as un coup de moins bien tu peux t’en prendre 3 ou 4 d’un coup. Ils ont de surcroît un bel esprit d’équipe avec à chaque fois, un joueur qui tire l’équipe vers le haut. Ils sont dangereux de partout. Et s’ils n’ont jamais gagné en LNH chez nous, je n’oublie surtout pas que la saison dernière, ils ont obtenu un bon nul avec quasiment la même composition. »

    Assurément Sélestat est une des équipes sûre de ce championnat puisque les hommes de Jean-Luc Le Gall se sont par ailleurs qualifiés pour le Final 4 de la Coupe de la Ligue. Mais Ivry a de sérieux arguments à faire valoir puisque les Val-de-Marnais possèdent la 2e défense de l’élite et ont démontré lors de leurs dernières sorties qu’ils étaient capables de rivaliser avec les meilleurs : « on était pas loin à chaque fois » enchaîne Pascal Léandri, « et cela doit nous servir sur ce match que l’on a coché sur notre calendrier face à un concurrent direct. Il faudra sortir notre meilleur match possible pour gagner, jouer avec plaisir car c’est dans cela que l’on peut s’épanouir. »

Avec un groupe quasi au complet même si « avec l’hiver, ça grince un peu plus, surtout après la semaine internationale », il y aura de quoi en prendre, du plaisir, à Delaune, surtout avec un public mobilisé derrière ses troupes. A ne pas manquer !

Source US Ivry

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21 septembre 2012

2ème journée : Saint Raphael - Sélestat

      

St Raphael selestat

    Battus en ouverture du championnat à Dunkerque, les Varois espèrent reproduire le même volume de jeu pour ouvrir leur compteur face à Sélestat

     Le Saint-Raphaël Var Handball n'aura aucun droit à l'erreur, ce soir, sur son plancher du Palais des Sports, où Sélestat lui rend visite (20 heures) pour le compte de la deuxième journée du championnat de D1.
     Battus de pas grand-chose à Dunkerque (31-28) pour l'ouverture de la saison, à l'issue d'une prestation convaincante, les Varois doivent désormais marquer...

Etre «européens»

      Voilà une équipe de Sélestat qui paraît donc tomber à point nommé pour permettre au SRVHB de repartir du bon pied, mais que le coach varois, Christian Gaudin, ne veut surtout pas prendre par dessus la jambe : « Nous avons réalisé un bon match à Dunkerque, qui méritait mieux qu'un échec, mais à l'arrivée, nous avons fait chou blanc au niveau comptable. Alors, ce soir, nous devons absolument nous imposer. En renouvelant si possible notre prestation dans le Nord, où nous avons produit beaucoup de jeu. Et en faisant attention à cette équipe alsacienne, très disciplinée et à ne pas mésestimer. Surtout pas... »

     Les Raphaëlois auront donc tout intérêt à se montrer « européens » et à rentrer le plus vite possible ....

Lire la suite sur Var Matin

30 mai 2012

Vu du côté Nîmes: ce soir, l’Usam dit au revoir à l’élite

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      Miraculeusement sauvé l’an dernier au soir de l’ultime journée, maintenu en 2010 lors de l’avant-dernière après un passage durant l’été précédent devant le CNOSF afin d’éviter une relégation administrative en raison de problèmes financiers, l’Usam n’a cette fois pu éviter le couperet. Avant même la venue de Sélestat, la descente des Nîmois est actée...

      Ça devait arriver et probablement que cette saison était celle des changements. Jamais depuis 2001 et la remontée en élite, la maison verte n’avait remporté un derby.

      Ce fut réussi le 26 avril dernier. Mais cette dernière victoire en date n’a pas été suivie d’effet positif. Ni à Toulouse ni surtout à domicile contre Paris, trop ravi de refiler aux Nîmois la lanterne rouge, ni à Nantes. Ces deux derniers matches perdus d’un but (27-26). Sur ses 17 revers subis cette saison, cet Usam relégué en a encaissé 13 de moins de trois buts...

      Autre changement : lors de la Feria de Pentecôte, les Usamistes étaient généralement libres parce que leur saison terminée. Avec la fin reportée du championnat, ils remettront, ce soir (20 h 45), le couvert et l’ambiance ne sera pas à la fête au Parnasse.

     Contre Sélestat, large vainqueur à l’aller (35-26), avec qui l’Usam a souvent lutté pour le maintien ou l’accession, certains pourraient disputer leur dernier match sous le maillot. En D1 bien sûr, mais pas seulement. C’est le cas notamment de Franck Junillon à qui le club ne proposera pas de surplus.

Qui, d’Istres, Paris ou Ivry accompagnera l’Usam en D2 ?

Source Midi libre

12 mai 2012

Vu côté d'Ivry: Cette fois, on ne doit pas se poser de questions ...

512-502-Loupadiere_cedric_01_PillaudUne semaine après la courte défaite à Saint-Raphaël (27-26), les Rouge et Noir disputent un match très important pour le maintien face à Sélestat, ce samedi, à Delaune.

Le revers enregistré la semaine dernière à Saint-Raphaël (27-26) n’a pas entaché le moral des Ivryens. Perdre chez le 3e du classement d’un petit but après une belle prestation n’a en effet rien de honteux. Au contraire. « On a bien joué, mais on a perdu sur des petits détails : des pertes de balle, des situations en supériorité numérique mal négociées… », se souvient Cédric Loupadière (en photo). Bref, c’était une défaite "encourageante", si on peut dire. Surtout qu’il s’agissait de la première après 4 victoires de suite en championnat. La forme et la confiance sont donc toujours là chez les finalistes de la Coupe de France. « C’est pour ça qu’on est rapidement passé à autre chose en se projetant sur ce match contre Sélestat », ajoute l’ailier gauche, plutôt en réussite ces derniers temps.

Effectivement, les esprits sont désormais tournés sur cette rencontre de samedi (20h) face aux Alsaciens. Un match capital pour les Rouge et Noir plus que pour les visiteurs, déjà assurés de se maintenir. Pour l’USI, 11e avec 1 point d’avance sur le premier relégable, rien n’est encore acquis. « On doit donc continuer à se battre pour marquer des points », reprend Cédric Loupadière. « Au match aller, on avait perdu de peu (22-21). Cette fois, on ne doit pas se poser de questions et essayer de nous imposer d’entrée de jeu. Jouer le maintien, c’est une pression supplémentaire, mais aussi un surplus de motivation, surtout quand on évolue à Delaune ».

Encore une fois, les joueurs de Pascal Léandri pourront compter sur le soutien de leurs supporteurs. A trois journées de la fin, l’enjeu est important, et ces derniers répondront évidemment présent pour cette occasion. « Une victoire contre Sélestat, ce serait un bon pas de fait vers le maintien », précise le joueur de 24 ans. Avec 18 points, Ivry serait effectivement bien parti pour se maintenir. Mais, avant d’en être là, il reste un match à jouer. Un match à gagner.

Source US Ivry

20 mars 2012

Vu du côté de St Raphel: L'inquiétude est de mise avant la reception de Sélestat

Megannem_nimes_11-12Très probablement éliminés de la coupe d’Europe après leur sévère revers contre Dunkerque (23-31), les Raphaëlois misent tout désormais sur le championnat. Mais avec quel effectif ?

       ...

Cinq joueurs sur le flanc

     Mais Gaudin a su, intelligemment, ne pas tirer sur ses joueurs au terme de ce match. A l'image du public, d'ailleurs, qui a soutenu son équipe jusqu'au coup de sifflet final. Car cette formation du SRVHB, même si elle est incontestablement passée à côté de son sujet, avait ce week-end bien des circonstances atténuantes.

     Quand un joueur de la classe de David Juricek est sur le flanc, que des hommes clés comme Aurélien Abily ou Yohann Ploquin (dont l'absence contraint quasiment Slavisa Djukanovic à rester dans les cages toute la partie), sont également absents, que Grégoire Sanssouci, lui aussi relevant de blessure ne peut soulager l'aile gauche quand celle-ci est défaillante, il est bien difficile au SRVHB d'offrir un visage homogène. Et pour noircir le tableau, l'entorse de la cheville d'Alexandre Tomas en tout début de rencontre (lire ci-contre) a un peu plus déséquilibré le jeu varois.

Samedi soir, on jouait un quart de finale de coupe d'Europe et pourtant, il fallait se frotter les yeux pour s'en convaincre, notamment en seconde période avec la présence de trois joueurs du centre de formation. Tous talentueux, mais encore tendres à ce niveau de la compétition.

Centre de formation à la rescousse

Face à un adversaire de la trempe de Dunkerque, au jeu bien huilé, à la défense agressive, à l'expérience affirmée, la barre était placée bien trop haut. « Même si on a pris un coup sur la tête, il va falloir très vite faire le vide et se reconcentrer sur le championnat et la venue, mercredi de Sélestat », a insisté le coach varois. Le problème est de savoir avec quel effectif le SRVHB va pouvoir préparer cette importante échéance. Car Juricek, touché à l'aine, ne sera pas rétabli (et n'ira vraisemblablement pas à Dunkerque en fin de semaine), pas plus que Tomas. Ploquin et Sanssouci, eux, ne reprendront pas avant le mois d'avril, et Abily (béquille) boîte encore bas.

Christian Gaudin et son adjoint, Pascal Bourgeais, vont donc se tourner, plus que jamais, vers le centre de formation. Pour la venue des Bas-Rhinois, actuels 8es, on pourrait donc voir des joueurs comme Bonnefoi, Guillermin bien sûr, mais aussi Claire, Boschi ou Herbulot.

Epaulés évidemment par les cadres de l'équipe, les Djukanovic, Krantz, Fortuneanu ou Megannem et Stehlik. Après Sélestat, il y aura encore le vendredi 30 un déplacement difficile à Nîmes. Si au soir de ce match, le SRVHB est toujours sur le podium de la LNH, tous les espoirs seront permis !

Source Journal Var Matin

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27 février 2012

Vu côté Saintes: Saintes créé la sensation !

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       Saintes a créé l'exploit samedi soir en s'offrant le scalp de Sélestat (24-23) en coupe de France. Une qualification logique tant les hommes de Franck Maurice ont livré une remarquable prestation.

Six ans après l'histoire se répète. En s'imposant de la plus belle des manières sur le score de 24-23 sur un ultime jet de 7 mètres de Sylvain Kieffer qui délivra tout un peuple au bord de la crise de nerfs, l'US Saintes Handball a de nouveau réalisé l'exploit de se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de France en endossant au passage, le costume du petit poucet. Seul club de pro D2 à parvenir à ce stade de la compétition après l'élimination de Billère, les Maritimes auront, peut-être, l'opportunité de faire rêver, une fois de plus, leur si fidèle public du Grand-Coudret mais aussi toute une région. Des supporters nombreux, hier soir, malgré les vacances scolaires pour fêter l'exploit des leurs qui se seront comportés en véritables costauds pour venir à bout du Sélestat Alsace Handball. Des héros ces costauds surtout que leur maitre à jouer, François Woum-Woum, n'était pas sur le parquet pour cause élongation. Une salle du Grand-Coudret aux trois-quarts pleine avec 1200 spectateurs à l'unisson poussant les leurs pour croquer les Alsaciens qui l'avaient envisagé mais n'avaient pas effectué 1000 kilomètres pour repartir la tête basse. Un seul leitmotiv : La qualif' pour les quarts. OK mais le leitmotiv était le même chez les locaux donc, forcément, il y en avait un de trop. Comme en 2006 où les Saintais s'étaient imposés 29-27contre les Sélestadiens leur permettant de recevoir un certain Jackson Richardson et Chambéry.

Ils n'allaient pas la refaire les petits bleus quand même. Mais si, en effet ce sont bien les Saintais qui disputeront les quarts de finale de cette compétition les 9 et 10 mars avec, pourquoi pas, le bonheur de recevoir un certain Nikola Karabatic et Montpellier. Malgré leur statut d'outsiders, les bleus la méritent leur qualification dans une rencontre qu'ils auront dominé de bout en bout grâce à une énorme solidarité défensive. Une défense de fer taillée dans la pierre au point de se demander qui était la formation de Pro D2 et qui était la formation de LNH samedi soir. "On a pas su gérer la pression et on perd 18 ballons alors qu'habituellement on en perd qu'une dizaine" lâchait un Jean-Luc Le Gall dépité et colère après ses joueurs. Un technicien alsacien qui concluait "Saintes nous était supérieur, c'est incontestable". Les Sélestadiens n'auront fait illusion que durant les deux premiers tiers de la 1ère période menant 8-7 au bout de 20 minutes de jeu avant que les Saintongeais ne regagnent les vestiaires, sous les ovations d'un public aux anges,avec un but d'avance.13-12 pour des bleus qui compliquaient énormément la tâche d'alsaciens cause défense étagée mise en place par Franck Maurice.

Cette défense compacte et solidaire facilitait la tâche de Jérémie "Callard" Sargenton auteur d'une prestation de grande classe dans ses cages mais qui préférait mettre sa défense en pleine lumière plutôt que de tirer la couverture à lui. "Quand ça défend comme ça devant, c'est un régal d'être gardien derrière. Les gars ils ont vraiment fait un super match devant". Et quand ça défend comme ça, c'est aussi un régal pour le public qui commençait à sérieusement y croire quand ses protégés sortirent des vestiaires pour coller, d'entrée de jeu, un 3-0 à des visiteurs surpris par le niveau de jeu des Maritimes. Quatre buts d'avance pour la bande à Johann Kiangébéni, ce dernier a d'ailleurs fait des étincelles avec une feuille de stats impeccable et un 9 sur 13, bien secondé par l'ex alsacien Robin Foubert qui se sera rappelé au bon souvenir de ses anciens coéquipiers à qui il aura collé un 5 sur 6.

A l'entame du money time et, en partie aussi, grâce à Sargenton auteur de 15 arrêts, Sélestat courait toujours après le score puisque les Saintais n'étaient toujours pas décidés à redescendre de leur petit nuage et voir le rêve s'envoler. 22-18 pour les hommes de Franck Maurice qui ne lâchaient absolument rien et montraient que leurs ambitions de Top 5 de Pro D2 n'étaient vraiment pas utopiques malgré quelques loupés. Même pas peur quand les alsaciens égalisèrent à 4 minutes du terme faisant pourtant penser que le hold-up était pourtant encore possible grâce à un Ivezic, entré dans les buts pour les 30 dernières minutes, auteur de 11 arrêts et qui aura failli briser l'espoir saintongeais. Mais non, les bleus tinrent bon et Robin Foubert sut provoquer la faute fatidique qui permit à Kieffer de délivrer les siens sans trembler. "Tu vois,aujourd'hui dimanche, avec du recul, même si on avait perdu, j'aurais été fier de mes joueurs je te jure car prendre 23 buts seulement contre une LNH c'est fort" savourait Franck Maurice au lendemain de cet exploit. "Les mecs ont fait une grosse prestation et une grosse production. L'accent est vraiment à mettre sur la qualité de la défense et sur la rigueur. Physiquement, Sélestat était pourtant plus fort. On avait beaucoup de kilos et de puissance à leur rendre". Heureux, l'entraineur de l'US Saintes souhaite désormais poursuivre la belle aventure avec la réception d'un gros morceau : "Montpellier ? Oui pourquoi pas. Mais, en tout cas, qu'on joue à la maison, c'est vraiment ce que je souhaite". En attendant le tirage au sort, les Saintais vont pouvoir profiter de ce moment de douce euphorie.

 Source Sport17

17 février 2012

Vu côté Créteil: Le talent n'attend pas ...

        C’est incontestablement la grande révélation de la saison. À tout juste 19 ans, Hugo Descat réalise des débuts fracassants en D1. Le jeune ailier gauche de Créteil, prochain adversaire de Sélestat, a tout d’un futur (très) grand.

      En quinze petits matches de D1, Hugo Descat est déjà devenu la terreur des gardiens de l’Hexagone, faisant éclater au grand jour tout le talent que l’on pouvait lui prêter. À tel point que le jeune ailier gauche de Créteil (19 ans) incarne pour beaucoup l’avenir du handball français. « Cela ne fait que six mois que je joue en D1, tempère le Cristolien, comme pour dissiper toutes les attentes que ses prestations suscitent. Je dois encore confirmer. »

     Utilisé avec parcimonie par Dragan Zovko la saison dernière en Pro D2 (26 buts en 16 matches), Hugo Descat a profité de l’arrivée sur le banc de Benjamin Pavoni pour voir son temps de jeu grimper en flèche. Au départ numéro 2 à l’aile gauche derrière Frédéric Bakekolo, l’international junior a rapidement bouleversé la hiérarchie.

    « Avant que le championnat ne commence, j’espérais juste apporter à l’équipe. J’ai eu davantage de temps de jeu au fur et à mesure des matches et j’ai pris confiance. » Si bien qu’il est aujourd’hui l’atout offensif numéro 1 de l’US Créteil, en même temps qu’un joueur déjà reconnu en LNH.

    Élu meilleur joueur du mois de novembre (il avait ainsi inscrit 12 buts face à Nantes lors de la 7 e journée), Hugo Descat fait preuve d’une maturité étonnante pour un joueur de son âge. Et c’est sans trembler qu’il est devenu le tireur de penalty attitré de son équipe (32 buts dans cet exercice depuis le début de la saison). « Je les tire depuis que je suis tout petit. J’aime beaucoup le jeu avec le gardien. »

« J’avais confiance en mes qualités »

      S’il savoure sa réussite actuelle, le Cristolien la considère comme la conséquence logique de tous les efforts consentis pour se hisser au sommet. « Je travaille beaucoup à l’entraînement. Et j’avais confiance en mes qualités, souffle-t-il sans prétention. On me fait confiance. La meilleure chose que je peux faire en retour, c’est de m’en montrer digne. »

     Même si tout le monde la présume brillante, le jeune ailier gauche n’en est bien sûr qu’aux prémices de sa carrière. Celui qui vient tout juste de signer son premier contrat pro sait qu’il doit encore « beaucoup progresser ». « De nombreux joueurs ont réalisé ce que je viens de faire, sans pour autant confirmer. »

      Confirmer, le mot revient sans cesse dans la bouche d’Hugo Descat. Malgré son jeune âge, le fan de Lars Christiansen (l’ailier gauche danois) sait pertinemment que la gloire peut être éphémère. « Je garde les pieds sur terre. De toute façon, ma famille et mes amis sont là pour m’y aider. »

     Si lui brille sur son aile gauche, Créteil ne connaît pas la même réussite (10 e). Le collectif val-de-marnais espérait mieux pour son retour en D1. « C’est sûr que nous sommes un peu déçus. C’est parfois frustrant, parce que l’on a souvent perdu de très peu. On va essayer d’éviter le pire. »

    Créteil sait pouvoir compter sur son ailier pour garder la maîtrise de son destin. Une nouvelle fois impressionnant contre Nantes le week-end dernier (8 buts à 100% de réussite), Hugo Descat ne semble pas décidé à retomber de son nuage.

     Tout le monde ou presque lui promet déjà un avenir en équipe de France. Le Francilien préfère ne pas prêter une trop grande attention au concert de louanges dont il est l’objet. « Je ne veux être “parasité” par tout ça… » Le pur produit de la formation cristolienne n’entend pas se laisser griser. Il n’en nourrit pas moins des rêves propres à n’importe quel jeune talent. « J’espère qu’il va m’arriver de belles choses. Mais je me concentre surtout sur mon jeu, je ne m’attarde pas trop à rêver. »

    S’il continue de briller aussi intensément, Hugo Descat sera à n’en pas douter l’une des prochaines étoiles du handball français.

Source journal Dna.

17 février 2012

La phrase du jour: Sélestat mérite sa place actuelle


dsc_61032     Gueric Kervadec, actuel directeur technique de l' US Creteil analyse la prochaine rencontre Creteil - Sélestat sur USC TV.

 

Source US Creteil

3 février 2012

Vu côté Toulouse: La rentrée du FENIX à Sélestat, sans Doudou Karaboué !

         Selestat-FENIX 

              Après une longue trêve hivernale en raison de l’Euro et de la Coupe d’Afrique des Nations, le Championnat de D1 reprend ses droits cette semaine. Pour leur premier match officiel en 2012, les joueurs du FENIX Toulouse Handball se rendent à Sélestat (samedi 4 février, 20h30).

          Avec 12h de voyage en bus, ils effectuent leur plus long déplacement de la saison. Mais pour Joël Da Silva cela ne pose pas de problème car « la semaine et le déplacement ont été organisés en conséquence. De plus, cela permet aux joueurs de passer du temps ensemble, de recréer des affinités et des liens interrompus pendant la trêve et cela nous aidera demain si nous sommes en difficulté ».

          Privés de plusieurs internationaux pendant le mois de janvier, Joël Da Silva et ses joueurs n’ont eu que peu de temps pour travailler collectivement. « C’est la problématique des clubs qui ont la chance d’avoir des internationaux. Nous n’avons pas pu travailler avec tous les joueurs, mais nous avons fait un travail plus spécifique et individualisé avec les autres. J’ai pu aussi donner du temps de jeu à certains ». Malgré tout, l’entraîneur se dit satisfait des quelques séances collectives réalisées depuis le retour des internationaux.

        Les joueurs du FENIX sont pressés de reprendre la compétition, mais il faudra se méfier d’une bonne équipe de Sélestat à égalité de points au classement (12 points), qui avait battu les Toulousains au Palais des Sports. « Nous avons l’intention de faire un bon match et de récolter les deux points de la victoire, mais Sélestat a fait un bon début de Championnat et est en confiance. Nous allons jouer dans une salle compliquée, il va falloir travailler dur, mais nous avons des armes à faire valoir. A nous d’essayer de tirer notre épingle du jeu »

       L’effectif sera quasiment au complet demain soir, Joël Da Silva devant se passer des services de Daouda Karaboué. « C’est le seul absent, une douleur s’est réveillée à l’adducteur et nous préférons ne pas prendre de risques. Il doit passer des examens ce vendredi. Wesley et Fabien ont donné des garanties, c’est l’avantage d’avoir trois gardiens, on peut laisser Daouda se soigner pour pouvoir compter rapidement sur lui je l’espère ».

Source Fenix Toulouse HB

19 décembre 2011

Vu du côté Dunkerque: L'USDK joue à se faire (un peu) peur mais continue sur sa lancée !

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      Et de six ! Hier, Dunkerque a ajouté une sixième victoire à sa (belle) série en championnat en battant Sélestat. À peu de choses près, il aurait même pu être troisième ce matin. Saint-Raphaël, longtemps poussé au match nul, a fini par s'imposer contre Toulouse d'un but (31-30). L'USDK reste quatrième mais elle est en embuscade à un point, prête à sauter sur le moindre faux pas des Varois pour leur passer devant, avant la trêve, après un dernier match à Toulouse, mercredi ou plus tard, à la reprise. Et vu d'où elle vient, c'est l'essentiel.

    Hier, il s'agissait de poursuivre la série, entamée par un match nul à Nantes il y a près de deux mois. Depuis, les Dunkerquois n'ont perdu qu'à Balatonfüred, en coupe EHF, et encore, la qualification était bien en poche... « Cette victoire est importante. Quelle que soit la manière, il nous la fallait, insiste Patrick Cazal. Même si on n'est pas troisièmes à la trêve, il faut qu'on soit dans les starting blocks pour la deuxième partie de saison. » Ce succès-là témoigne d'une confiance retrouvée qui a permis de gérer sans panique les retours successifs d'un promu accrocheur et auteur d'une belle première partie de saison. Les Alsaciens, en effet, n'ont jamais lâché l'affaire. S'ils n'ont jamais mené, ils sont revenus à trois reprises à un but, alors que l'USDK croyait en avoir fini avec eux (5-1, 10e à 8-7, 19e 16-12 à la mi-temps à 18-17, 37e et encore 25-19, 45e à 26-25, 53e). « On est beaucoup plus sereins qu'au début du championnat, explique William Annotel, très présent dans les buts en seconde période. On est plein de confiance, ça nous permet de ne pas douter quand on se fait quelques frayeurs et de continuer à proposer du jeu. » « Malgré tout, enchaîne Baptiste Butto, déchaîné face à son ancien club (10 buts), on a eu la mainmise sur toute la partie. On a toujours réussi à gérer les ballons chauds. » Oui, mais les Dunkerquois se sont exposés inutilement aux foudres de Sélestat qui a souvent trouvé des solutions au centre. Capables de séquences défensives très intenses pour empêcher Yuri Petrenko de distribuer le jeu ou bloquer les arrières, ils le sont tout autant d'en faire trop en attaque, de gâcher... « S'il y a un bémol, c'est celui-là, peste Patrick Cazal. Sans faire injure à Sélestat, c'est nous qui lui avons permis de revenir. On fait des actions de très haute classe et on fait le geste de trop. On devient inefficaces au tir car on a l'impression que le match est plié. Il n'y a pas besoin d'en rajouter pour que la salle se lève. Mais je suis content de gagner, ça me va. » Reste à conclure l'année en beauté à Toulouse.

La voix des sports

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