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Le 8ème Rugiss' Hand

12 mars 2012

Les mascottes... à l'Euro et au mondial...

Chabala      En ce début de semaine, continuons notre petit tour d'horizon sur les mascottes en prenant celles qui ont participé à un championnat d'Europe ou bien Mondial. Qui se rappele de ''Ruski'' ou bien peut être ''Chabala"" ?

 Euro 2006

                                    Euro 2010

               Ruski

 

    Merci aux clubs pour l'envoie de photos de leur mascotte...   
    
Si vous aussi, vous avez en votre possession une photo d'une mascotte connue ou moins connue, n'hésitez pas à me la fournir, elle figurera bien entendue dans la longue liste des mascottes du hand.

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9 mars 2012

Nos amis les mascottes...

     N1 Bordeaux Blacky

      Avec cette petite semaine d'accalmie dans le monde du handball, voici un petit tour d'horizon sur nos amis les mascottes.     

     Ce ne sont pas moins de trente-huit mascottes qui vous seront présentées aujourd'hui et les prochains jours... Trente-huit mascottes provenant des quatre coins de la France mais aussi de pays étrangers comme l'allemagne...

      Merci aux clubs pour l'envoie de photos de leur mascotte...
     Si vous aussi, vous avez en votre possession une photo d'une mascotte connue ou moins connue, n'hésitez pas à me la fournir, elle figurera bien entendue dans la longue liste des mascottes du hand.

N1 Hazebrouck Pinpin  D0 Saint Cyr Tourraine

 

Prochainement, place aux mascottes des grands évenements...

A bientôt...

8 mars 2012

Des nouvelles de : “Mika” rêve d’arrêts !

Huit mois après une grave blessure aux ischio-jambiers, Mickaël Robin a retrouvé la compétition avec Montpellier. La fin d’un long tunnel pour le gardien alsacien.

Après huit mois d’absence, Mickaël Robin a repris sa place dans le but de Montpellier.  Photo maxppp 

Son ascension s’était jusque-là déroulée sans heurts. Lancé en D1 à 17 ans avec Sélestat, Mickaël Robin a vite montré qu’il avait l’étoffe d’un grand. Son talent l’avait ainsi conduit à Chambéry (en 2008), pour connaître les sommets de la D1 et s’enivrer du doux parfum de la Ligue des champions.

« Je m’accroche au fait qu’il reste deux mois et demi de compétition »

Puis ce fut Montpellier (en 2010) et une première saison réussie, couronnée par ses deux premiers titres (champion de France et vainqueur de la Coupe de la Ligue). Une trajectoire parfaite jusqu’à ce maudit 24 mai 2011 et cet accident de scooter.

Touché aux ischio-jambiers, le Strasbourgeois a dû se résoudre à l’opération et une longue indisponibilité. Une souffrance pour un joueur jamais blessé ou presque auparavant. « On se pose forcément des questions : “Si je n’arrive pas à revenir, qu’est-ce que je vais faire de ma vie ?” Mais cela m’a seulement traversé l’esprit, pas plus », assure Mickaël Robin.

Le bon déroulement de sa convalescence l’a rapidement rassuré sur sa capacité à redevenir le joueur qu’il était. « Un mois après mon opération, je pouvais faire du vélo, deux mois après je reprenais la course. »

Le plus dur à vivre aura finalement été l’éloignement contraint et forcé de ses coéquipiers. « J’étais un peu en marge du groupe. C’est normal, j’avais mes propres programmes d’entraînement et de rééducation. » Ou de devoir suivre les matches depuis les tribunes. « C’est insupportable ! Même si tu veux toujours soutenir tes copains, je n’avais parfois pas envie d’y aller… »

La délivrance s’est esquissée en décembre, quand “Mika” a retouché ses premiers ballons. Elle est devenue réalité en janvier, quand il a pu reprendre l’entraînement normalement.

« Cela a été un soulagement, souffle l’ancien Sélestadien, car mon corps m’a rassuré. Le poste de gardien demande de la souplesse et de l’explosivité, et je me demandais au début si mon ischio allait tenir. Aujourd’hui, je n’ai plus aucune douleur, plus aucune appréhension. »

Trois gardiens pour deux places

Un soulagement donc, mais aussi et surtout « un commencement ». Le Slovaque Richard Stochl et le Slovène Primoz Prost, recruté cet été pour pallier son indisponibilité, brillent dans le but héraultais et il ne sera pas facile pour lui de les en déloger.

Depuis son retour à la compétition le 5 février, Mickaël Robin n’a pas beaucoup été sollicité par l’entraîneur héraultais Patrice Canayer (deux entrées en jeu en Ligue des champions contre Copenhague et Belgrade, 19 arrêts contre Belfort en 8 es de finale de la Coupe de France, mais aucun match en LNH).

« C’est difficile de revenir dans une équipe constituée et au moment où la saison se joue (*). Le choix de Patrice de ne pas forcément me faire jouer peut se comprendre. »

“Mika” s’attendait cependant à mieux. S’il a regoûté à la Ligue des champions, le Montpelliérain espérait retrouver le but héraultais à temps plein. « Cela n’a pas été le cas. À tort ou à raison, j’y croyais. » D’autant qu’il assure avoir retrouvé son niveau. « Les sensations sont bonnes, je suis à l’aise sur le terrain. Je n’ai pas progressé puisque j’ai été arrêté, mais je n’ai rien perdu. Je suis le même qu’avant ma blessure. »

S’il savait que sa saison 2011-2012 serait obligatoirement tronquée, Mickaël Robin n’a pas envie qu’elle soit « blanche ». « Nous sommes déjà en mars. Je ne sais pas s’il sera possible de bouleverser la hiérarchie. Je m’accroche au fait qu’il reste deux mois et demi de compétition. Chaque début de semaine, je travaille pour faire partie des deux gardiens le week-end. J’espère qu’il y aura des opportunités, notamment contre Sélestat (le 21 avril) ! »

À bientôt 27 ans, Mickaël Robin regarde de nouveau vers l’avenir. « Je suis conscient de faire partie des plans du club car j’ai encore deux ans de contrat (il formera un duo 100% alsacien puisque Thierry Omeyer sera de retour à Montpellier en 2013). J’ai envie de tout casser la saison prochaine. »

(*) Quasiment assuré d’être champion de France, Montpellier est encore engagé en Ligue des champions et en Coupe de France.

Source Dna

5 mars 2012

Après Istres: De la nécessité de se relever

En s’inclinant vendredi à Istres (34-23), les Violets n’ont pas rassuré, loin s’en faut, sur la crise de confiance qu’ils traversent actuellement. Cette 3 e défaite consécutive en championnat place Sélestat devant l’obligation de redresser rapidement la barre, sous peine de dilapider le bénéfice de sa belle première partie de saison.

L’arrière gauche Frédéric Beauregard n’imaginait pas une défaite d’une telle ampleur face à Istres.  Photo archives DNA – Franck Delhomme

     Le retour en bus a été long pour Frédéric Beauregard et ses coéquipiers. Difficile en effet de trouver le sommeil après la déroute en Provence (34-23). Hier, l’arrière gauche violet avait encore du mal à s’expliquer une telle contre-performance.

« On a déjoué dans tous les domaines », soupire un Frédéric Beauregard « en colère ». « C’était vraiment le jour sans. Il y a de la fatigue depuis le début de l’année en raison des longs déplacements, mais ça n’explique pas cette large défaite. On n’a peut-être pas joué avec suffisamment d’intensité, on a peut-être manqué de solidarité, je ne sais pas… Ce que je sais, c’est que ça fait mal. »

La dynamique n’était déjà pas vraiment positive avant ce déplacement à Istres, les Violets restant sur trois défaites consécutives (dont une à Saintes en Coupe de France). Mais les Sélestadiens avaient à cœur, à en croire le Martiniquais, de faire un pas important vers le maintien.

« On a réalisé une très bonne semaine d’entraînement. Tout le monde était confiant, tout le monde voulait faire un gros match. Je ne pouvais imaginer que l’on joue comme cela… », souffle “Bobo”, avouant « un sentiment d’impuissance ».

Largués à la pause (18-9), les Sélestadiens n’ont jamais été en mesure d’espérer s’imposer face à Istres. Le 5-1 encaissé au retour des vestiaires a très vite annihilé leurs maigres espoirs de revenir au score.

« Deux victoires d’avance, ce n’est rien du tout »

« Les Istréens ont fait leur match. Ils ont été très bons et très agressifs sur le plan défensif. » Tout le contraire de Violets étonnamment “passifs” défensivement. « On les regardait tirer à neuf mètres », lâche, dépité, Frédéric Beauregard.

En cas de victoire, le Sélestat Alsace Handball pouvait « prendre le large au classement ». Le scénario s’est finalement révélé totalement contraire en raison des victoires de Paris et de Nîmes. À première vue, la situation des Violets au classement pourrait ne pas paraître alarmante, avec quatre points d’avance sur les Parisiens, premiers relégables.

« On n’a plus que deux victoires d’avance, ce n’est rien du tout », souligne l’arrière gauche. Alors qu’il ne reste plus que neuf journées et au moins deux victoires à décrocher pour assurer le maintien, la fenêtre de tir s’est quelque peu refermée. Et qu’en sera-t-il dans quinze jours après les rencontres face à Dunkerque (4 e) et Saint-Raphaël (3 e) ?

« Si on joue comme on l’a fait à Istres, on ne perdra pas de onze buts, mais on va battre le record de la LNH, ironise-t-il. Ces deux matches seront compliqués. Le mot d’ordre sera de se rassurer, de retrouver l’équipe de la première partie de saison. Sinon, on ne pourra rien obtenir. »

L’état d’urgence n’est pas encore décrété sur le plan comptable. Il doit l’être en revanche sur le plan du jeu. Car ce Sélestat-là, s’il continue de déjouer ainsi, se dirige sans aucun doute vers des jours sombres. « Les gens se posent des questions. C’est normal par rapport à l’image que l’on montre depuis plusieurs matches. On doute un peu, c’est certain, mais on ne doit pas s’apitoyer sur notre sort. On doit passer outre. J’ai confiance dans ce groupe », assure Frédéric Beauregard.

La belle unité affichée lors de la phase aller doit permettre aux joueurs de Jean-Luc Le Gall de tenir bon dans la tempête. « Est-ce que l’on va se relever ?, s’interroge le Sélestadien. Oui. Nous en sommes obligés. Il faut maintenant que tout le monde tienne le coup dans la difficulté. »

Frédéric Beauregard refuse en tout cas de céder à la fatalité. « Je ne pourrais pas comprendre que l’on s’écroule, surtout après notre belle première partie de championnat. On ne peut pas avoir perdu toutes nos qualités. On doit retrouver cette envie de jouer ensemble, se remettre vraiment en question pour repartir de l’avant. »

S’ils parviennent à convertir ces paroles en actes, les Sélestadiens se sortiront de cette mauvaise passe. Sinon…

Source Dna

Lire également l'article de L'Alsace : Une remise en question s’impose

3 mars 2012

Résultat Istres 34-23 SAHB: Balayés !!!

djordje-pesic-peut-lever-les-yeux-au-ciel-le-sahb-n-avance-plus-photo-archives-dna-franck-delhoLa défaite à Saintes n’était donc pas un accident. Les Sélestadiens ont lourdement chuté, hier à Istres (34-23).   Au-delà de la défaite, la quatrième consécutive, c’est la manière qui interpelle.

C’est comme si les Sélestadiens avaient perdu leur handball en l’espace de quatre semaines. Solides début février contre Toulouse pour la reprise du championnat (31-28), les coéquipiers d’Olivier Jung ont depuis cumulé quatre défaites, signant à chaque fois des prestations de plus en plus inquiétantes. Le revers à Saintes, la semaine dernière en Coupe de France, n’était pas un simple accident de parcours.

S’il avait encore six points d’avance sur la zone rouge avant cette 17 e journée, le Sélestat Alsace Handball a vu son pécule se réduire hier soir.

Ce dixième revers de la saison constitue une bien mauvaise affaire au classement, Nîmes et Paris s’étant imposés dans le même temps. Mais c’est surtout le doute et le manque de confiance qui habitent cette équipe qui semblent le plus problématique.

Cinq minutes. C’est le temps, très court, trop court, durant lequel les Sélestadiens auront rivalisé avec Istres. Après l’égalisation de Petrenko (1-1, 5 e’), Sélestat a plongé, multipliant les balles perdues (14 à la pause, 18 au final) et les échecs au tir. Les Istréens n’en demandaient pas temps pour s’envoler au score (9-2 à la 13 e’, 12-6 à la 20 e’).

La suite n’aura été qu’un long chemin de croix pour les joueurs de Jean-Luc Le Gall, dépassés par l’engagement provençal. Symbole des malheurs alsaciens, ce but de Derbier depuis son propre camp, qui lobait un Fulop avancé (18-9, 30 e’).

« C’est une défaite collective, que  l’on assume tous ensemble »

La révolte espérée en seconde période n’a pas eu lieu, Istres continuant de profiter des erreurs sélestadiennes (23-10 à la 35 e’, 30-17 à la 52 e’). « Il n’y a pas grand-chose à dire sur ce match, soupire Valentin Aman. Nous n’avons pas été bons. »

Le pivot violet assure que son équipe n’a pas manqué d’envie. « On l’avait, assure-t-il. Mais on n’a pas réussi à trouver de solutions, on a eu des échecs au tir et ensuite, c’est la spirale négative… »

Les Sélestadiens parviendront-ils à se relever rapidement de ce revers, le plus lourd de la saison ? « C’est une défaite collective, que l’on assume tous ensemble. Et on va s’en sortir tous ensemble. On doit retrouver la solidarité que l’on affichait durant la première partie du championnat », lance Valentin Aman.

Sélestat n’a bien évidemment pas compromis ses chances de maintien hier. Mais c’est aujourd’hui une équipe en plein doute. Un doute symbolisé par un jeu offensif en panne totale d’efficacité. Les Violets vont devoir très vite retrouver de la confiance pour inverser la tendance, sous peine de s’acheminer vers une fin de saison stressante.

Source Dna

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2 mars 2012

Ce soir: Istres - SAHB: Sélestat doit se remettre sur le bon chemin ce soir à Istres

        Pour ne pas se mettre dans le rouge après deux défaites de suite en championnat, Sélestat espère mettre un terme à cette mauvaise série ce soir (20 h) sur les bords de la Grande Bleue.

Si au match aller, Frédéric Beauregard et les Sélestadiens avaient facilement dominé les Istréens Boultif et Fleurival, le match retour en Provence s’annonce plus délicat ce soir.Photo d’a rchives Denis Werwer

   Même si Sélestat possède toujours six points d’avance sur les deux équipes relégables de la LNH, une réaction s’impose pour ne pas que la situation se complique. Mais aussi pour mettre un terme à une série de trois défaites (deux en championnat et une autre en Coupe de France) qui commence à faire tâche. S’imposer en déplacement n’est pas la chose la plus aisée à ce niveau, mais il faudra se faire violence et passer outre.

Conscient qu’une réaction s’impose, Frédéric Beauregard avoue que lui et ses coéquipiers visent les deux points à Istres. « Ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour affronter Istres qui est dans une phase dynamique après son succès à Dunkerque et sa victoire en coupe sur Tremblay, estime l’arrière du SAHB. On est conscient que ce sera très, très dur d’affronter une équipe dont le moral a dû remonter en flèche. Mais on a envie de faire un bon match pour essayer d’assurer le maintien le plus vite possible et effacer notre boulette de Saintes. Il faudra, d’entrée de jeu, leur mettre une grosse pression défensive pour faire douter leurs attaquants et nous permettre de retrouver notre confiance aux shoots. »

Le secteur défensif a d’ailleurs honorablement tenu le coup lors des deux dernières défaites : 10 buts encaissés en seconde période à Créteil et 24 à Saintes. C’est surtout dans l’efficacité que les Bas-Rhinois ont pêché. D’où l’effort effectué pour dynamiser ce secteur. « On a beaucoup travaillé dans ce domaine, principalement sans ballon, souligne le coach Jean-Luc Le Gall. Mais ce n’est pas parce que nous connaissons un coup de moins bien que notre jeu s’est soudainement envolé. Il y a une dimension psychologique dans tout ça car nous perdons aussi davantage de ballons que d’habitude. À Istres, il faudra être en tenue de combat. Être efficace au-delà du beau jeu. Et se méfier d’un adversaire dont les derniers résultats montrent qu’il s’annonce particulièrement difficile. Par rapport au match aller, sa ligne arrière a changé aux deux tiers. »

La passe de trois ?

Les arrivées à l’intersaison du Tchèque Martin Hrstka et du Grec Spyridon Balomenos ont fait glisser le Ludovicien Sassi Boultif à droite où il reste sur 16 buts lors des deux derniers matches de championnat. « Il faudra être particulièrement attentif à leur base arrière mais aussi à leurs ailiers qui excellent en contres. Ils visent la passe de trois et nous, on ne voudrait pas perdre une troisième fois. Alors pour qui la passe de trois ? Ça ferait un bon titre pour l’article ! » Frédéric Beauregard a le sens de la formule. Il faut souhaiter que lui et son équipe, qui enregistre le retour de Pesic, la trouveront aussi sur le terrain ce soir à partir de 20 h.

Lire plus ici:

Source L'Alsace par Christian Weibel
2 mars 2012

Vu du coté d'Istres : Et maintenant, SELESTAT

selestatVoilà le championnat de D1 qui poursuit à la Halle Po' d'Istres.

       Avec, en matière d'invité, l'équipe de Sélestat, un groupe alsacien actuel 7ème du championnat... après avoir battu Créteil, Ivry, Toulouse (2 fois), Nîmes, Paris et ... Istres.

       Des clients, donc, avec un groupe de qualité : des joueurs expérimentés comme Freppel et Petrenko, des puncheurs comme Beauregard et Podsiadlo, des rusés comme leur pivot Pesic.

Pour les istréens, pas de questions à se poser : les points ce soir-là seront cruciaux ; pour poursuivre sa vie en D1, il faudra à notre équipe défendre chèrement la peau du club provençal! Et à la Halle en premier lieu, sur leur parquet, avant d'aller chercher d'autres points à l'extérieur.

Alors, un seul mot d'ordre pour les 60 minutes de ce vendredi 2 mars : combattre, ne rien lâcher, s'arracher sur le moindre ballon ; ce sera le passage obligé pour pouvoir engranger les points ... et, dans tous les cas, ne rien regretter.

Tous à la Halle ce vendredi, venez crier haut et fort, venez supporter les provençaux dans leur salle, il faut la VICTOIRE !

Source Istres Handball

1 mars 2012

Présentation de la 17ème journée: La réalité du championnat...

 
Istresvs130_selestat
 
         
    derbier_carl
         Dans la série « victoire qui vaut cher », l’opposition entre Istres et Sélestat est à prendre très au sérieux. Les Provençaux en panne de victoires depuis huit rencontres, viennent d’aligner deux beaux succès. Le dernier en éliminant Tremblay de la Coupe de France et surtout il y a une petite quinzaine, en allant s’imposer à Dunkerque. Ces deux performances coïncident notamment avec l’entrée en jeu du grec Spyridon Balomenos. Solide défenseur, ce globe trotteur du handball européen a notamment démontré qu’il savait se montrer très utile en attaque. Avant de se déplacer à Chambéry, les partenaires de Raphaël Tourraton (notre photo - 9 buts en coupe, la semaine dernière) ont inscrit les Alsaciens à leur tableau de chasse. Le parcours de Sélestat est en dents de scie. Il y a bien-sûr l’élimination de la Coupe par Saintes, l’actuel 8ème de la Pro D2 mais aussi les deux revers consécutifs en championnat, à Chambéry et à Créteil. Trois matches et trois défaites… à l’extérieur. En coupe, samedi, les Sélestadiens ont pris leur match à l’envers perdant pas moins de 18 ballons. Avec le retour dans l’effectif de l’ancien istréen Jordan François-Marie, cinq mois après son dernier match officiel en championnat (il a été opéré entre temps du poignet), Sélestat qui conserve six longueurs sur Paris, le 1er relégable compte sur ce déplacement pour marquer ses deux premiers points de l’année. 
 
 
Source Handzone
1 mars 2012

Avant Istres – Sélestat: Boultif S'est libéré...

       Sassi Boultif et Istres ont retrouvé le sourire à la faveur d’un exploit à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27). L’ancien Sélestadien compte extraire définitivement son club de la zone rouge.

Sassi Boultif (ici en défense face au Sélestadien Frédéric Beauregard lors du match aller)  et Istres sont sortis de la zone rouge.  Photo archives DNA – Franck Delhomme
 
Comment oublier ? Sassi Boultif a conservé précieusement tous « les bons souvenirs » de ses années sélestadiennes (2000-2003). « C’est le club qui m’a lancé en D1. J’y ai côtoyé de grands joueurs », sourit l’arrière gauche istréen.

Certes, l’effectif violet a beaucoup changé depuis son départ – « il ne reste plus qu’Arnaud Freppel » –, mais le Ludovicien jette un regard attendri sur ses jeunes années. « La première fois que j’ai été appelé en équipe première, c’était pour un match de Coupe d’Alsace contre l’ASCA Wittelsheim. J’étais tout jeune et je donnais le ballon à Marc Wiltberger, qui jouait en équipe de France ! »

« On manquait de solidarité, il y avait des tensions… »

Avec Villefranche ou Istres, Sassi Boultif a souvent recroisé son ancien club. Ce sera encore le cas demain et ces retrouvailles ne seront pas sans enjeu pour l’Istréen. Avec un seul petit point d’avance sur le premier relégable (Paris), les Provençaux sont loin d’avoir assuré leur maintien en D1.

« On a raté notre début de saison », n’hésite pas à dire Sassi Boultif. Le départ de Robert Lis, qui a laissé « un gros vide en défense », quelques blessures et les défaites se sont enchaînées du côté d’Istres. Surtout, ce groupe, vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2009, sixième du championnat la saison dernière, n’avait pas retrouvé son alchimie.

« On était très loin de notre niveau, explique celui qui effectue sa quatrième saison dans les Bouches-du-Rhône. On manquait de solidarité, il y avait des tensions… » La trêve de janvier est tombée à point nommé pour permettre aux Istréens de se ressourcer et de se dire leurs quatre vérités.

Les défaites contre Tremblay (31-28) et Montpellier (31-40) ont ainsi amorcé le renouveau istréen. « L’ambiance a changé. On a montré un autre visage, un autre état d’esprit. Et on s’est dit qu’en continuant comme cela, ça paierait tôt ou tard. Aujourd’hui, on prend à nouveau du plaisir », souffle Sassi Boultif.

20 buts en trois matches

La victoire à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27) a permis aux Provençaux de sortir de la zone rouge en LNH. « Un bel exploit » confirmé le week-end dernier avec un succès face à Tremblay (33-29) en huitièmes de finale de la Coupe de France.

L’arrière gauche de 29 ans n’est pas étranger à cette embellie. Pas vraiment à son aise durant la première partie de championnat, Sassi Boultif a profité de la Coupe d’Afrique des Nations en janvier pour retrouver de la confiance. Finaliste avec l’Algérie, élu meilleur arrière de la compétition, l’ancien Sélestadien flambe depuis son retour dans l’Hexagone (20 buts en trois matches).

« La CAN m’a vraiment libéré. Je suis bien dans ma tête, je me régale sur le terrain. Je fais de bons matches, c’est bien pour moi et pour l’équipe », confie le Ludovicien.

Istres aura bien besoin d’un Sassi Boultif performant pour gérer au mieux un mois de mars décisif. « On n’a pas le droit de lâcher des points à domicile si l’on veut se sauver. En cas de victoire contre Sélestat, on revient à trois points, ce n’est pas grand-chose », lance-t-il plein d’espoir.

Lire plus : une confiance retrouvé...

Source Dna

28 février 2012

Les cages resteront bien gardées

Obrad & Laszlo seront Sélestadiens en 2012-2013

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        Obrad IVEZIC le gardien Serbe du SAHB recruté en 2010 vient de prolonger pour 2 saisons supplémentaires avec le Sélestat Alsace Handball.

 

 

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               Laszlo FULOP arrivé à l'inter saison a pour sa part prolongé d'une année supplémentaire au sein de la maison violette.

 

Le SAHB poursuit son objectif de s'inscrire dans la durée avec une équipe stable.

Les prolongations de ses 2 gardiens est résolument une garantie d'equilibre au sein de cette équipe qui apprend à grandir ensemble au coeur de la Ligue Nationale de Handball.

Communiqué du SAHB

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