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Le 8ème Rugiss' Hand
nantes
5 décembre 2012

Sondage: Selon vous, quel sera l'équipe qui soulèvera la Coupe de La ligue 2012 ?

sondage



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12 novembre 2012

Les réactions suite au tirage du prochain final four de la coupe de la ligue:

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Respectivement opposés à Chambéry et Nantes, les coachs de Dunkerque et Sélestat, Patrick Cazal et Jean-Luc Le Gall réagissent au tirage au sort du Final 4 de la Coupe de la Ligue 2012. Tout comme Rock Feliho, l'arrière gauche et défenseur de Nantes.

 Jean-Luc Le Gall (entraîneur de Sélestat, en photo)*:

Ce n’est pas un tirage facile, peut-être même le plus difficile pour nous car je pense que Nantes sera très dangereux. Thierry Anti, le coach adverse, est un spécialiste des Coupes qu’il a régulièrement gagné par le passé et son équipe a le profil pour s’imposer. Peut-être que Dunkerque aurait été mieux à jouer car nous avions une revanche à prendre suite à notre dernière courte défaite lors de la 6e journée (25-27, ndlr). De toutes façons, il faut faire avec. On ira à Toulouse avec ambition et l’envie de passer en finale. On n’a rien à perdre.

Réaction de l’arrière gauche nantais Rock Feliho* :

« En demi-finales, quel que soit l’adversaire, l’objectif c’est de tout faire pour aller en finale. Sélestat c’est une équipe très difficile à manier.  Sur un match de Coupe, tout peut se jouer. On sais ce que c’est que d’être dans le rôle de l’outsider, c’est ce qui nous a réussi à Paris.»

Gaël Pelletier, président du HBC Nantes**:

«Nous tombons contre l’équipe qui vient de faire match nul contre Montpellier en championnat. Sélestat, ce n’est pas une équipe à prendre à la légère. Ce sera un match difficile pour atteindre la finale face à une équipe qui monte en puissance.»

Patrick Cazal (entraîneur de Dunkerque)* :

Il n’y avait que des équipes de qualité dans ce dernier carré. Ce sera donc un match difficile à jouer car Chambéry n’est pas facile à battre et joue vraiment bien. Ce sera une demi-finale très indécise qui basculera sur des détails. Il faudra gagner à tout prix face à une formation que l’on s’attend généralement à affronter en finale. Le prochain match de championnat nous donnera peut-être quelques indications. Mais on sait qu’on peut gagner 2 matchs sur un tel week-end.

Source LNH* et Handnews**.

 

12 novembre 2012

Tirage au sort final four: Ce sera le HBC Nantes

 Le tirage au sort des finalités de la coupe de la Ligue a été effectué, il y a quelques minutes...

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      Nos violets auront comme adversaire l'équipe de Nantes.

Voici les affiches:
US Dunkerque - Chambéry SHB
HBC Nantes - Sélestat AHB
 
 
En route vers de nouveaux exploits
18 septembre 2012

Retour video sur le match Sélestat 24-29 HBC Nantes

17 septembre 2012

Après Nantes: Sélestat a payé son temps faible au prix fort !

 

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Le SAHB devra retenir la leçon infligée par les Nantais (24-29). Car les Sélestadiens savent que toute saute d’humeur, surtout face aux meilleures équipes de la LNH, risque de leur coûter très cher.

L’espace d’un quart d’heure, on s’était cru revenu un an en arrière. Quand, pour ses débuts sous le maillot du SAHB, Laszlo Fulop avait épaté un public sélestadien qui le découvrait. Ses 22 arrêts ont lancé ses nouveaux coéquipiers vers une première victoire contre Créteil qui allait en appeler plein d’autres.

Samedi soir, le gardien hongrois du SAHB a entamé la saison et le match d’ouverture contre Nantes de la même manière. En multipliant les prouesses devant sa cage au point de devenir pratiquement infranchissable, même face à des pointures comme les internationaux espagnols Entrerrios et Maqueda et le natif de Sélestat, Seufyann Sayad.

On venait de passer la 12 e minute et Sélestat avait le match en main (6-3) contre un adversaire qui s’est donné les moyens de faire encore mieux que sa quatrième place du dernier exercice. Laszlo Fulop culminait déjà à 7 arrêts, ce qui équivaut à un total de 35 sur la durée d’un match. Il dégageait une telle sérénité, une telle maîtrise dans la lecture des tirs adverses, qu’on pouvait croire que l’ancien de Saint-Cyr allait pouvoir être le catalyseur des ambitions sélestadiennes.

« J’ai aussi pensé à ce premier match de l’année dernière, confie l’intéressé. Je me suis dit que ça recommençait. C’est d’ailleurs dommage qu’on n’ait pas pu profiter davantage de ma bonne période. Car on aurait pu avoir deux ou trois buts d’avance à la mi-temps plutôt que d’être à égalité. » Il faut dire qu’en face, son confrère nantais n’avait pas davantage facilité la tâche des arrières alsaciens puisque Beauregard et Eymann, qui pointaient à 4 buts pour 11 tirs, n’ont pas été aussi précis que les ailiers (Freppel, Salami et Beauregard) qui, eux, ont mis dans le mille (5/5) sans tenir compte des penaltys. Et puis les interventions de Laszlo sont aussi devenues plus rares puisqu’il s’arrêtera à 8.

« On a laissé nos têtes aux vestiaires »

La parité à la pause (13-13) promettait néanmoins un joli suspense pour la suite de la soirée. « Malheureusement, on avait laissé nos têtes au vestiaire », regrette Fulop en fustigeant ces dix premières minutes après la reprise, fatales à son équipe. Durant ce laps de temps, son adversaire a pu tranquillement dérouler son jeu à coups de contre-attaques meurtrières et faire grimper le score à 14-22 à la 40 e minute, moment où Fulop a passé le témoin à Ivezic et a suivi le reste de la rencontre sur le banc.

Là, il a vu ses coéquipiers reprendre petit à petit des couleurs au point de réduire l’écart de huit à seulement trois buts (22-25) à quelques minutes de la fin. « On n’a pas craqué et c’est le point positif de cette première soirée. L’état d’esprit n’a pas changé dans nos rangs. On va se battre comme l’an dernier, même si je m’attends à un challenge beaucoup plus dur cette saison. Car la plupart des autres équipes se sont renforcées et que l’effet de surprise ne jouera plus cette fois-ci. Nos adversaires nous attendent et savent à quel point c’est difficile de venir gagner chez nous. Il n’y a qu’à voir la joie des Nantais au coup de sifflet final. On sentait qu’ils étaient contents de gagner ici. »

Sélestat a construit son super parcours de l’an dernier grâce à huit victoires à domicile. Et c’est cette capacité à se faire respecter chez eux que Laszlo et ses coéquipiers devront à nouveau actionner. « C’est notre force et il faudra continuer ainsi. »

D’autres rendez-vous sont à venir au CSI. Le prochain dans quinze jours (le 29 septembre à 19 h) contre ...

Lire la suite de l'article de L'Alsace...

Par Christian Weibel

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16 septembre 2012

Résultat Sélestat - Nantes : 24 - 29 Dix minutes en enfer !

 

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Les Sélestadiens se sont inclinés, hier face à Nantes (24-29), pour l’ouverture du championnat. Les Violets ne se sont jamais remis du 9-1 encaissé en début de seconde période. De quoi laisser quelques regrets…

Il n’y a rien d’infamant à s’incliner face à Nantes, poids lourd de LNH et 4 e du dernier championnat.

Il peut même en découler une certaine forme de logique, au regard des moyens financiers et des effectifs des deux clubs.

Mais les Sélestadiens ont montré la saison dernière qu’ils aimaient se jouer de la logique, le succès contre ces mêmes Nantais, le 28 avril au CSI (30-29), en étant l’un des nombreux exemples.

« Le moindre passage à vide se paie cash contre une équipe comme Nantes »

Les joueurs de Jean-Luc Le Gall n’ont pas su rééditer l’exploit, la faute, principalement, à un fatal trou d’air en début de seconde période. « On s’est effondrés… », soupire Arnaud Freppel. L’ailier droit violet sait bien que la moindre imprécision peut avoir de lourdes conséquences face à une formation de haut de tableau.

« Nantes est une équipe qui joue le Top 5, une équipe de haut niveau, ajoute Arnaud Freppel. On sait que l’on n’a pas le droit de connaître un passage à vide aussi important face à une formation de ce calibre. » C’est comme si la lumière s’était éteinte dans les rangs violets l’espace de dix minutes. De 13-13 à la pause, le score est passé en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire à 14-22 (40 e).

La première période avait pourtant fait naître les plus beaux espoirs. Les trois réalisations de Beauregard lançaient idéalement le Sélestat Alsace Handball (4-2, 8 e). Beretta y allait de son but sur l’aile gauche et les Violets séduisaient (6-3, 11 e). Nantes n’allait cependant jamais laisser les Alsaciens s’envoler. Entrerrios et Maqueda, les deux recrues espagnoles de l’intersaison, permettaient aux joueurs de Thierry Anti de rester au contact (8-8, 22 e).

Si les Nantais prenaient une longueur d’avance à plusieurs reprises, Jung égalisait à la sirène pour une parité à la pause somme toute méritée (13-13). Les coéquipiers de Yuriy Petrenko, en dépit de quelques balles perdues superflues, tenaient le choc. Et l’impression d’ensemble ne pouvait en aucun cas laisser présager de l’entame calamiteuse de la seconde période.

Friable défensivement, le SAHB encaissait un terrible 9-1 (trois buts pour Dole et Entrerrios), qui glaçait quelque peu l’ambiance jusque-là endiablée du CSI (14-22, 40 e). « Nous n’avons pas à rougir, estime Arnaud Freppel. Nous avons joué à un très bon niveau les trois quarts de la rencontre. Mais le moindre passage à vide se paie cash contre une équipe comme Nantes. »

La réaction alsacienne, certes réelle, n’ébranlait pas vraiment le récent 4 e du Trophée des Champions.

Si le SAHB revenait à trois longueurs (22-25, 52 e) grâce à un penalty de Salami, Sayad, le plus violet des Nantais, et Entrerrios, champion du monde en 2005, se chargeaient d’éteindre le début d’incendie (22-28, 54 e).

« Je ne sais pas si l’on aurait gagné ce match, mais on aurait pu jouer la gagne », souffle Jean-Luc Le Gall, l’entraîneur sélestadien, en faisant référence à cette entame de seconde période et aux errements défensifs de ses joueurs. « On doit se renforcer dans le secteur défensif pour essayer de se donner les moyens de remporter ce type de matches. »

Contrairement à la saison dernière ...

Suite de l'article des Dna

 

 

15 septembre 2012

1ère journée: Sélestat - Nantes:

 

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L’opération maintien commence dès ce soir pour Sélestat. Face à une équipe de Nantes taillée pour les sommets, les Violets veulent s’offrir leur première performance de la saison.

C’est déjà David contre Goliath, et on ne parle pas encore des futures confrontations face à Paris, Montpellier ou Chambéry.

Ce soir, c’est Nantes, son budget grand format (3,2 millions d’euros) et son recrutement clinquant (les internationaux espagnols Alberto Entrerrios et Maqueda ont ainsi rejoint le “H”), qui débarque en Alsace.

« Nos adversaires savent désormais que c’est dur de gagner chez nous »

De quoi nourrir un complexe d’infériorité dans les rangs violets ? Pas le moins du monde ! « C’est vrai que Nantes compte de très bons joueurs, mais ils ne me font pas plus peur que ça. Ils ont deux bras et deux jambes comme nous. Et nous sommes une équipe de mauvais perdants », sourit Frédéric Beauregard.

L’arrière gauche n’oublie pas que le Sélestat Alsace Handball avait fait chuter les Nantais la saison passée, le 28 avril au CSI (30-29). “Bobo” avait d’ailleurs pris toute sa part dans ce succès aussi prestigieux que précieux (5 buts).

À l’aube de cette nouvelle saison, le Sélestadien brûle surtout d’impatience « d’entrer dans le vif du sujet ». « La préparation, c’est bien, mais on attend tous ce premier match de championnat. On va pouvoir se situer. »

S’il n’oublie pas que Nantes regorge de talents – « Entrerrios, Sayad… » –, Frédéric Beauregard ne s’en formalise pas. « Lors de chaque match à domicile, on ne doit pas penser aux recrues ou au budget de l’adversaire. On doit entrer sur le terrain avec l’envie, car on doit prendre des points, dès maintenant. »

Dans cette LNH jamais aussi relevée que cette saison, les candidats au maintien ont vu leur marge de manœuvre se réduire. Les matches à domicile n’en deviennent que plus importants. « Parmi les sept équipes qui devraient se battre pour le maintien, celles qui réaliseront l’un ou l’autre exploit contre un club de haut de tableau et qui seront les plus régulières à la maison s’en sortiront. »

Le Martiniquais ne songe qu’à une chose : que l’histoire se répète. Le succès, la saison dernière face à Créteil en ouverture du championnat (26-24), avait placé les Violets sur les bons rails. « Psychologiquement, une victoire lors de la première journée a vraiment un impact sur le collectif. Tu es sûr de ce que tu vaux », souffle Frédéric Beauregard.

Ce soir, il s’agira également de se rapprocher du bon parcours de la saison passée au CSI (huit victoires et un nul).

« Envoyer un message fort aux autres équipes »

« L’an dernier, nous étions le Petit Poucet du championnat. Nos adversaires savent désormais que c’est dur de gagner chez nous. En cas de victoire face à Nantes, on enverrait un message fort aux autres équipes. »

Toujours présents lors des rendez-vous importants la saison dernière, les Violets doivent remettre le couvert. « Même s’il n’est plus question de cela quand on est sur le terrain, si l’on compare les équipes de Nantes et Sélestat sur le papier, bien sûr qu’une victoire serait un exploit », estime Frédéric Beauregard. L’histoire du club violet n’en manque pas...

Source Dna

25 août 2012

Volet 10/14 : Nantes

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 HBC Nantes

 

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Sa ville:     

    Nantes est une commune française de l'Ouest de la France, située au sud du massif armoricain, qui s'étend sur les rives de la Loire, à 50 kmde l'océan Atlantique. Chef-lieu du département de la Loire-Atlantique et préfecture de région des Pays de la Loire, elle est l'élément central de la communauté urbaine Nantes Métropole forte de près de 600 000 habitants.
   
Du point de vuehistorique, après avoir été un site portuaire important de l'Âge des métaux, Nantes devient la capitale de la cité gallo-romaine des Namnètes, le siège d’un évêché au Vesiècle, puis le chef-lieu d’un comté franc, illustré par la personnalité semi-légendaire de Roland. Point d’appui du royaume franc face à la poussée des Bretons, Nantes est conquise en 851 par Nominoé. S'ouvre alors l'histoire bretonne de la ville, dont subsiste le château, principale résidence ducale au XVesiècle, époque où Nantes est véritablement la capitale du duché de Bretagne et où commence la construction de sa cathédrale actuelle. Nantes perd sa prééminence en Bretagne au profit de Rennes avec l'intégration, au début du XVIesiècle, du duché dans le royaume de France. Les trois siècles suivants sont marqués par l'importance du rôle de Nantes dans le commerce international, c'est-à-dire, en grande partie, dans la traite négrière, qui connaît son apogée au XVIIIe siècle et permet un enrichissement considérable du paysage urbain monumental.

Pendant la Révolution, la défense de Nantes est un enjeu essentiel de la guerre de Vendée (siège de 1793). Après cette période difficile, la ville ne connaît pas de retour à la prospérité antérieure ; mais, au cours du XIXe et au début du XXesiècle, son développement industriel est remarquable dans la France de l'Ouest. Au XXesiècle, le paysage urbain est marqué par le comblement de nombreux cours d'eau qui divisaient la ville, puis par les bombardements lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1950-1960, la classe ouvrière nantaise joue un rôle notable dans le mouvement social français (1955, 1968). Depuis la fin du XXesiècle, la ville a subi la désindustrialisation, mais est devenue un pôle du secteur tertiaire. Elle est ville universitaire depuis 1962. Les infrastructures portuaires de Nantes sont toujours un élément important du port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, un des grands ports français.

Population à Nantes: 284 000 habitants.
             Aire urbaine : 800 000 habitants

Son club, son histoire:
        L'histoire du HBCN a traversé celle de Nantes. L'idée de monter un club est apparue en 1953, dans le célèbre café de "la régence", non loin de la place du commerce. Les matchs se déroulent alors au champ de mars, face au stade Marcel Saupin, lieu culte des grandes années du FC Nantes. Quelques années plus tard, le "H" s'installe dans le quartier populaire des Dervallières. Aujourd'hui, le club dispose d'un complexe sportif moderne et fonctionnel, où il a installé son siège social autour d'une salle modulable de 1500 à 2500 places assises.
       
Durant les saisons 1988-1989 et 1989-1990, le HBCN connaît deux années exceptionnelles où il flirte avec les sommets. Tout d'abord c'est la montée en N1B, l'ancienne D2, puis les barrages perdus pour la montée en N1A. Les années suivantes sont plus difficiles, durant lesquelles le club connaît plusieurs relégations.
       L'équipe dirigeante actuelle a mis en place une stratégie marquée par la volonté affirmée de rester dans l'élite. Un effectif stabilisé depuis plusieurs saisons, et un recrutement de qualité comptant des jeunes comme M. Sincère (ex Montpellier) et A. Lambert (ex Chambéry) en 2006, et des joueurs plus expérimentés que sont D.Drobnjakovic et F.Dole en 2007, a contribué à réaliser une saison 2007-2008 exemplaire, qui se solde par une montée en Division 1 et un titre de champion de France de Division 2.
      Le HBCN fait définitivement partie des grands clubs de l'ouest de la France, et attire un public toujours plus nombreux, avec une moyenne pour la saison 2007-2008 de 1300 spectateurs; et une pointe à 2500 le 30 avril 2008 pour la soirée historique de montée en D1.
      Avec une effectif stable et un recrutement intelligent basé sur l'expérience et le talent, le HBCN visait le maintien pour la saison 2008-2009. Ce fut chose faite. Le 23 mai 2009 le HBCN valide une deuxième saison en Ligue Nationale de Handball, et obtient le titre symbolique de meilleur public de France, battant par 3 fois le record de spectateurs pour un match de LNH en remplissant les 5000 places du Palais des Sports de Nantes.
      La saison 2009-2010 a été une année de confirmation, avec un budget en augmentation, une volonté de monter encore dans la hiérarchie nationale, et un effectif toujours stable encadré par un entraineur reconnu, Thierry Anti. Après une première partie de saison digne d'un club prétendant à l'Europe, l'équipe a réalisé une phase retour de championnat plus poussive, le HBCN termine a une très bonne 8ème place.
     Pour 2010-2011, le groupe arrive à la fin d'un cycle, avec beaucoup de joueurs en fin de contrat et non renouvelés. Le recrutement est basé sur l'apport de joueurs jeunes de haut niveau, encadrés par des cadres de l'équipe. Le club stabilise ses structures avec un budget constant et un centre de formation qui continue à sortir des talents. Le résultat est là, les violets Nantais reussissent leur meilleure saison et terminent à une belle quatrième place!

nantes_sayad_1_prSon palmarès:

Champion de France :
Champion : -
Meilleur place : 4ème en 2012 (Lnh) 
Champion de France D2: 2008
Coupe de France
Vainqueur : -
Meilleur résultat: Huitièmes de finale en 2010/2011
Coupe de la Ligue
Vainqueur : -
Meilleur résultat : Quart de finale 2010

Sa saison dernière:
4e place au classement, 31 points
12 victoires, 7 nuls, 7 défaites
Buts marqués : 729 (4e)
Buts encaissés : 717 (6e)

Ses transferts:
Les départs: K. Ekdahl du Rietz (Mannheim) R. Feliho (Toulouse) N. Pribak (Vardar Skopje) Y. Polydore (Cesson) B. Pagès (Bordeaux) L. Roche (Bordeaux)

Les arrivées : G. Jonsson (Drott Halmstad), J. Maqueda (Saragosse), A. Entrerrios (Madrid)

Joueurs clefs: A.Tuzolana (Ailier gauche), S. Sayad (Demi centre), M. Maggaiez (Gardien), A. Entrerrios (Arrière gauche),  J. Maqueda (Arr droit), ...

Anciens violets jouant à Nantes: S. Sayad (Formé à Sélestat, jouera avec la 1 de 1997 jusqu'en 2002),

Meilleur Eval de la saison passée:
Valero Rivera Folch
(Eval 13.8, 2ème meilleur joueur LNH)

Meilleur buteur de la saison passée:
Valero Rivera Folch (158 buts, 2ème meilleur buteur LNH)

Ses ambitions:    
    Le ''H'' n'en fini pas de grandir. Pour preuve, cette magnifique quatrième place après seulement trois ans en LNH. Fort d'un projet bien construit, Nantes a le soutien de toute une région tant au niveau supporters que partenaires, ce qui lui permet de recruter trois grosses pointures de niveau internationales de quoi voir l'avenir sous les meilleurs auspices...

Classement estimé: Entre la 3ème et 5ème place

 

Seufyann Sayad face à Sélestat

Site du club: http://www.hbcn44.com/

Ses supporters : /

Sa Mascotte : Non connu

Sa salle:
Complexe sportif Mangin Beaulieu
(2 900 places)
Palais des sports de Beaulieu
(5 000 places)

Distance de Sélestat: 913 km ( 8h20 de trajet)

Rencontres:
Match aller:     1ère journée  15/09/12 Sélestat / Nantes
Match retour: 23ème journée 11/05/13  Nantes / Sélestat

Dernier rencontre: 29/04/2012 22ème journée champ. LNH: Sélestat 30-29 Nantes

29 avril 2012

Sélestat 30- 29 Nantes: Un pas de plus vers le maintien !

a-l-image-d-un-djordje-pesic-particulierement-efficace-les-selestadiens-ont-fait-feu-de-tout-bois-hEn remportant son premier match de la saison face à une équipe du top 5, Sélestat a signé une grosse performance contre Nantes (30-29)   et se rapproche de plus en plus du maintien.

Le SAHB n’a donc pas raté sa dernière occasion de s’offrir une équipe classée dans les cinq premières de la Ligue. Après neuf échecs face aux gros bras, Sélestat est allé au combat pour s’offrir le scalp de Nantais qui n’avaient pourtant aucune envie de céder des points en Alsace. La lutte a donc été rude, acharnée, indécise et impitoyable pour finalement tourner en faveur de l’équipe qui en voulait peut-être un tout petit peu plus. Ce neuvième succès a été amplement mérité puisque cherché avec les tripes et, aussi, avec la manière.

Grâce à un magnifique collectif et une volonté farouche. Grâce à quelques individualités qui ont émergé du groupe tel Djordje Pesic dont seul le dixième tir a été contré après que ses neuf autres tentatives ont terminé au fond. Tel Jordan François-Marie aussi percutant que d’habitude mais particulièrement efficace avec ses sept buts en huit occasions. Tel Frédéric Beauregard qui, sur sa lancée de Montpellier, a sonné la charge au cours d’une deuxième mi-temps où il a autant semé (5 sur 8) que récolté de baffes en tout genre. Tel Arnaud Freppel dont l’interception en milieu de seconde période a donné pour la première fois quatre longueurs d’avance aux siens. Tel, enfin, Lazlo Fulop qui est resté dans sa cage pendant toute une heure à s’amuser à détourner une vingtaine de tirs nantais.

Sixièmes à trois points du premier relégable

Cette débauche d’énergie offre ce matin la sixième place à Sélestat mais paradoxalement seulement trois points d’avance sur le premier non relégable. Car ça bagarre dur en fin de classement. À l’image de Nîmes qui a battu Montpellier, Istres en a fait de même avec Saint-Raphaël alors qu’Ivry a certainement condamné Paris. C’est dire si cette victoire était quasiment capitale.

Pour un but, elle a donc tourné en faveur des hommes de Jean-Luc Le Gall. Des locaux qui ont une nouvelle fois mal débuté la partie. À croire qu’ils aiment les courses d’obstacles, que jouer à se faire peur leur procure l’adrénaline nécessaire pour être encore plus forts. La semaine dernière, les Sélestadiens ont attendu une vingtaine de minutes et un débours de onze buts pour véritablement entrer dans le match à Montpellier. Huit jours plus tard, pour la première de leurs deux réceptions consécutives, Olivier Jung et ses copains ont aussi été à côté de leur sujet durant les dix premières minutes avant de se mettre à enjamber les haies qui s’étaient dressées sur leur parcours. C’est avec cinq buts de retard (1-6, 10 e) qu’ils ont enfin commencé à jouer. Pour finalement rentrer aux vestiaires avec… un but d’avance (13-12).

Il leur faut apparemment plus pour baisser les bras. Mais là, ce sont des ailes qui leur ont poussé. Par l’entremise des joueurs cités plus haut, le SAHB a fondu sur son lièvre à la 29 e minute (12-12) après être revenu à deux longueurs (5-7) dès la 14 e. Le coup de sifflet de la mi-temps a presque coupé leur élan. D’autant que quatre buts en quatre minutes replaçaient les Nantais en tête (14-16, 34 e). Mais Sélestat retrouvait rapidement ses esprits, son jeu et sa défense pour se détacher grâce à un 6-1 (21-18, 41 e). À cinq minutes de la fin, le compte était toujours bon (27-23). Et malgré le retour des visiteurs dans les deux dernières minutes, la victoire était sélestadienne.

Source journal L'Alsace
par Christian Weibel
26 avril 2012

Le « H », poil à gratter

avec-131-buts-l-ailier-gauche-espagnol-valero-rivera-est-le-deuxieme-meilleur-buteur-de-d1-photoÀ défaut de trouver un tombeur de Montpellier cette saison, on portera un regard admiratif sur Nantes qui, il y a un mois, a arraché un point à l’indétrônable champion de France.

La belle équip epro du HBC Nantes, le « H » pour les intimes, qui avait tâté de l’Europe la saison précédente, n’a été classée dans la deuxième moitié du tableau qu’une seule fois.

C’était après la 9 e journée et une défaite à domicile contre Toulouse.

Les résultats positifs l’emportaient ensuite (14 victoires à ce jour), avec une remontée à la 5 e place, la même qu’en fin d’exercice précédent. Nantes l’occupe depuis la fin du cycle aller.

L’Europe se rétrécit

« Mais seules les quatre premières places seront encore européennes la saison prochaine, et Dunkerque, qui est devant nous (avec 4 points de plus) me semble plus fort. Ça va être difficile d’aller le chercher », estime Thierry Anti, l’entraîneur de ces autres Violets, adversaires de Sélestat samedi soir.

Les Nantais ont vu leur rendement évoluer en dents de scie au fil des défections pour cause de blessures d’éléments majeurs. Dont celle, à un muscle de la cuisse, de Seufyann Sayad, le demi-centre né et formé à Sélestat. Il est écarté des terrains depuis sa campagne à la CAN avec l’équipe du Maroc en janvier.

« La poisse ! C’était l’un de nos meilleurs joueurs », se désole Rock Feliho, qui a lui aussi fréquenté le centre de formation et la réserve de Sélestat avant de faire carrière chez les pros. Après Villefranche et l’Allemagne, le bientôt trentenaire a posé ses valises à Nantes, avec sa femme originaire de Schirmeck, avant de prendre la route pour Toulouse à la prochaine rentrée.

« Ça s’est bien passé à Nantes, avec une qualification en Coupe d’Europe, et on s’établit dans le Top 5 pour la seconde année consécutive. À l’aller, on avait bien galéré contre Sélestat, qui nous a menés la vie dure (30-28). C’est un de nos problèmes récurrents : quand on doit tuer le match, on n’y arrive pas ! Contre Istres (27-26 le week-end dernier), c’était le même type de match. »

Double découverte du CSI

Comme l’arrière gauche, et surtout défenseur, Rock Feliho – qui se réjouit de retrouver les anciens complices Freppel et Christian Omeyer –, Thierry Anti découvrira la belle salle du CSI. « J’ai hâte de la voir, il paraît que c’est un très bel outil. » Tout en connaissant la ferveur du public qui le fréquente, il a surtout envie de l’ajouter à la liste des territoires conquis…

S’il a confiance dans le potentiel de son équipe, la méfiance reste de rigueur avant chaque rencontre. « Nous sommes capables de jouer très bien, et parfois moins bien. Nantes n’a pas tant de marge de sécurité que ça, et il n’y a pas énormément d’écart entre le 5 e et le 14 e du championnat. Sélestat a une belle équipe, qui joue bien et qui a fait des “perfs”. »

Thierry Anti ne doute pas un instant que le SAHB va rester en D1. De là à lui garantir un nouveau bail dès samedi soir, on ne va pas rêver. « Nous voulons confirmer ce que nous avons fait jusque-là, surtout que notre club est monté vite dans la hiérarchie. » Il n’est effectivement en D1 que depuis trois saisons.

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