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Le 8ème Rugiss' Hand
selestathand
4 septembre 2015

Liste Alphabetique des joueurs Violets

Saison 2015/16

L'EQUIPE I  

BEAUREGARD Frédéric (Drapeau : France Fra)

EUDARIC Yoann (Drapeau : France Fra)

FLEURIVAL Thierry (Drapeau : France Fra)

GAUDIN Thomas (Drapeau : France Fra) 

JOLI Florent (Drapeau : France Fra)

JUNG Olivier (Drapeau : France Fra)

LENNE Yanis (Drapeau : France Fra) 

MARTIN Gregory (Drapeau : France Fra)

MEYER Julien (Drapeau : France Fra)

NYEMBO Gaby (Drapeau : France Fra) (Equipe réverve)

SARGENTON Jeremy (Drapeau : France Fra)  

SAVIC Kosta (Drapeau : Bosnie-Herzégovine Bos) 

SERI Rudy (Drapeau : France Fra)

VALENTIN Thomas (Drapeau : France Fra) (Equipe réverve)

VUJIC igor (Drapeau de la Croatie Cro)

Entraîneur:

GAUDIN Christian (Drapeau : France Fra) 

Arrivées :
Thomas Gaudin (ailier gauche, Saint-Raphaël, N1/D1),
Yoann Eudaric (pivot, ESSAHB, D2),
Kosta Savic (arrière droit, KS Azoty Pulawy, D1 polonaise),
Grégory Martin (arrière gauche, Mulhouse HSA, D2),
Jérémie Sargenton (gardien, Pontault-Combault, D2),

Premiers contrats professionnels:
 Julien Meyer (gardien)
Yanis Lenne (ailier/arrière droit)
 Rudy Seri (demi-centre/arrière gauche).

L'EQUIPE II

A venir

 

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4 septembre 2015

MEYER Julien

Violet depuis la saison 2013/2014
2ème année en violet
 

 

22i_meyer

Nationalité:

20px-Flag_of_France_svg

France

Né le: 04 décembre 1996
A: ? ()

Surnom: ?

Taille: 1.95 m
Poids: 87 kg (2014)

Poste: Gardien
Numéro: 1

;

;

Palmarès
2014 : Champion d'Europe -18ans avec l'équipe de France

Joue actuellement : Drapeau de la France Sélestat (N1 + LNH)

Saison 2013/2014 : Drapeau : France Sélestat (5ème N1 + LNH)
Saison 2012/2013 : Drapeau de la France Sélestat II (6ème N1)
Saison 2011/2012 : Drapeau de la France Sélestat II (1er N2)
Formé au club

Nbre de matchs joué en violet*: 03 matchs**
Nbres de buts marqués: 0
Nbres d'arrêts: 1
Moyennes d'arrêts par matchs: 0.33
* hors matchs coupe de france et de la Ligue
** Stats arrêtées à sept 2014

Ses saisons en Violet:

Saison 2013/2014 :  Drapeau de la France Sélestat (LNH)
Nombre de rencontres: 3
Arrêts sur tir : 1/3 
Arrêts sur penalty: 0/2
Total arrêts: 1/3
2 minutes:
0

Son premier match en LNH: 21/02/2014, Journée 196, Aix 28-28 Sélestat

3 septembre 2015

Présentation de la 1° Journée de Pro D2: Toujours plus forte ?

Quatorze au départ, un seul à l’arrivée, quatre billets pour les play-offs, deux condamnations à l’exil en nationale 1, la donne est claire à l’orée de cette saison 2015-2016.

beauregard_melody

      D’autant plus claire que pour une fois depuis bien longtemps, l’été n’aura pas été meurtrier pour les participants au championnat le plus fou du monde. Pas de relégation administrative, pas d’empêchement de monter, aucune sanction financière, tout juste quelques limites de masse salariale imposées par la CNCG, l’avant saison s’est écoulée sans heurts pour les 14 protagonistes. Quatorze, les dix rescapés de la dernière saison, les deux relégués de LNH et les deux promus de nationale 1. Du beau monde en vérité pour un championnat qui s’annonce passionnant et disputé. Comme d’hab’…

   Et si l’été n’a pas eu à souffrir de tempêtes ou de coups de chaleur, c’est sans doute grâce aux clubs. La D2 est de plus en plus Pro et de structuration en développement, la raison et la rigueur prennent le pas sur l’amateurisme qui prévalait il y a peu. Pour preuve, les transferts. Soixante seize départs, cinquante neuf arrivées, les clubs ont fait dans le dégraissage du mammouth, une masse salariale toujours plus importante dans des budgets qui peinent à se développer. Exit expérience et (quelques) gros salaires, place aux jeunes et aux bonnes affaires. Jeunesse avec une cohorte de « 92 », comme Antoine Gutfreund (23 ans) qui arrive à Dijon avec 67 matches au compteur avec Montpellier, Antoine Conta, de Créteil à Massy, Adrien Ballet, un autre cristolien venant s’aguerrir à Nancy, ou le néo valentinois Alexis Bon, formé à Chambéry puis à Istres ou encore l’istréen Kevin Mesnard (un 93), strasbourgeois issu de la filière montpelliéraine. Côté bonnes affaires, les clubs se sont tournés vers l’étranger. Notamment vers l’inépuisable filon de l’ex-Yougoslavie et de ses voisins des Balkans : Puljic (Croatie) à Angers, Kuduz (Croatie) à Dijon, Markovic (Serbie) à Mulhouse,...

...  tout ça devrait déboucher sur du beau jeu et une compétition encore plus disputée.

    Des favoris ? Forcément.
     La D2 s’est assagi au fil du temps et si sur un malentendu, tout le monde peut encore battre tout le monde, la lutte pour le Top 5 devrait se circonscrire aux poids lourds de la division. A commencer par les deux exclus de LNH, le Sélestat de Christian (et Thomas !) Gaudin et Istres, l’autre club provençal qui a recruté malin pour retrouver la première division aussi sec. Derrière ces deux là, Dijon et sa recrue emblématique du handball tricolore, Jackson Richardson, Mulhouse l’éternel prétendant à la montée, Massy et sa stabilité, l’ambitieux Nancy et… quelques autres ne devraient concourir que pour les play-offs. Côté maintien, la bagarre sera rude elle aussi. Entre manque d’expérience et hausse du niveau de jeu, les promus (Saran et Limoges) font forcément partie des plus exposés. Pontault-Combault, Angers, Besançon, Valence auront à cœur de mieux faire, et ça ne sera pas difficile… Privé de play-offs, Billère a envie de revanche. Quant à Cherbourg, il s’agira de confirmer, ou plutôt de s’affirmer comme un futur grand du handball hexagonal.

En guise d’entrée en matière, dans le vif du sujet, la première journée s’annonce déjà musclée, incertaine et révélatrice des forces en présence et des ambitions de chacun. Et il y en aura pour tous les goûts ! Un duel des extrêmes entre Istres (ex LNH) et Saran (ex nationale 1), un choc de prétendants, un Sélestat-Massy destiné à donner le ton à la saison et le la à son vainqueur, avec Pontault-Nancy, Besançon-Valence et Mulhouse-Angers des derbies estampillés D2, un gros match pour Limoges en déplacement à Dijon et une belle opposition de probables futures meilleures défenses, un Billère-Cherbourg au doux parfum d’une Pro D2 qu’on aime, une D2 aux suaves relents de sueur, aux doux bruits des bourre-pifs que tous se distribuent généreusement et amoureusement, au son de cette petite balle pégueuse qui n’en finit pas de nous rendre fou… Allez, c’est parti !

Les matchs:
ISTRES - SARAN Pronostic : Istres

SELESTAT - MASSY  Pronostic : Sélestat

 PONTAULT COMBAULT - NANCY Pronostic : nul

MULHOUSE  - ANGERS Pronostic : Mulhouse

DIJON  - LIMOGES Pronostic : Dijon

BESANCON  - VALENCE Pronostic : Valence

BILLERE  - CHERBOURG Pronostic : Billère

Source Hadzone © Philippe Dairou
3 septembre 2015

Avant match: Sélest - Massy ; Le chant du retour

gregory-martin-est-de-retour-a-selestat-pour-aider-son-club-formateur-a-retrouver-la-d1-photo-dna-franck-delhommeSix ans après son départ, Grégory Martin est de retour à Sélestat. L’arrière gauche entend ramener son club formateur là où il l’avait quitté : en D1.

Même si beaucoup de choses ont changé depuis son départ – la salle, l’équipe dirigeante, le staff technique –, en 2009, il n’est pas pour autant dépaysé. « J’arrive dans une nouvelle équipe, mais quand même pas dans un nouveau club », sourit Greg Martin, formé et lancé dans le monde pro à Sélestat.

« Je ne reviens pas en terrain conquis »

L’arrière gauche (30 ans) est de retour dans la maison violette. Et cela ressemble à une évidence. L’opportunité de revenir dans son club formateur avait déjà existé par le passé, elle s’est concrétisée cet été.

« J’avais encore une année de contrat avec Mulhouse et au départ, j’étais parti pour l’honorer », précise le Martiniquais. Mais les contacts avec Sélestat et la sensation d’avoir peut-être fait le tour de la question après cinq saisons dans le Haut-Rhin l’ont amené à reconsidérer sa position.

Libéré de sa dernière année de contrat par Mulhouse, Grégory Martin s’est « très rapidement mis d’accord » avec Sélestat, où il s’est engagé deux ans.

Avec le MHSA, Greg Martin a toujours joué les premiers rôles en D2, mais a buté trois fois lors des quatre dernières saisons en finale des play-offs, au pied de la LNH. « C’est sûr que quand on n’y arrive pas, on se pose des questions. Mais ce ne sont pas ces échecs qui ont dicté mon choix de partir. »

Son retour à Sélestat, c’est surtout « le choix du cœur », un choix « familial » également. « Cela me permet de me rapprocher de mon fils, qui habite à Strasbourg. Et aussi de retrouver des amis comme Frédéric (Beauregard) , Yoann (Eudaric) ou Olivier (Jung). »

Et il y a bien sûr l’ambition de retrouver la D1, qu’il a connue de 2003 à 2009 lors de son premier passage à Sélestat. Il n’y est pas parvenu avec Mulhouse, il espère réussir enfin, en Violet cette fois. « Mon premier objectif, c’est de prendre le maximum de plaisir avec mes coéquipiers, de me sentir bien, que l’équipe tourne bien, que l’on forme un vrai groupe, surtout dans les moments difficiles. Mais j’espère qu’ils seront rares (sourire). »

Greg Martin sait pertinemment les attentes autour de Sélestat. Mais il a désormais assez d’expérience pour les gérer, parfois même les tempérer. « L’effectif a été chamboulé. Nous visons d’abord les play-offs. Mais si on peut monter directement en terminant premier, on ne se privera pas. »

Parce que revenir dans un club où l’on a déjà évolué est un pari à double tranchant, le Martiniquais n’a pas forcément choisi la facilité. Mais il aborde ce challenge avec sérénité. « Je suis très heureux d’être là, mais je ne reviens pas en terrain conquis, même si j’ai aujourd’hui un autre statut, celui d’un joueur expérimenté en D2. En tout cas, je suis là pour apporter à l’équipe. »

Une expérience de la D2 précieuse

Christian Gaudin, l’entraîneur, compte sans doute sur lui pour densifier la défense, pour faire parler sa puissance en attaque, mais aussi pour encadrer la jeune troupe sélestadienne.

Car la D2, Greg Martin en connaît tous les pièges. « Ce que je sais, c’est qu’il n’y a pas de favori. J’ai pu en faire l’expérience ! Ce n’est pas le championnat le plus facile… »

Hier, lors de la présentation des nouveaux maillots au public sélestadien (près de 150 supporters étaient là), l’arrière gauche a pu s’apercevoir que l’engouement autour des Violets n’avait pas changé. « Je suis content de retrouver ce côté convivial. À 48 heures du premier match (contre Massy) , ces moments avec les supporters permettent d’apaiser l’excitation. On nous attend et il faudra être performant d’entrée. »

Comme beaucoup, Greg Martin n’imagine pas son retour autrement que victorieux.

Source Dna

30 août 2015

ITW: Jeremy Sargenton ... Sélestat grand favori ?

Relégué en Pro D2 en compagnie d'Istres à l'issu du championnat 2014-2015, cette année, les violets de Christian Gaudin feront sans aucun doute, partie  des favoris de ce championnat.

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Après une saison 'compliquée ' Sélestat se verrait bien suivre le même parcours qu'Ivry la saison dernière, accédant à la LNH un an seulement après l'avoir quittée.

L'équipe qui a connu beaucoup de mouvements durant l'intersaison avec pas moins de neuf départs notamment sur le poste de gardien (Kappelin et Fulop) souhaite repartir de l'avant.

Arrivé durant le mois de Juillet en provenance de Pontault-Combaut, Jeremie Sargenton nous livre ses premiers sentiments concernant son arrivée dans le club Alsacien.

Jeremie, comment es-tu entré en contact avec Sélestat, avais-tu d'autres propositions durant l'intersaison?

J'ai d'abord eu un premier contact avec Christian pour éclaircir ma situation, ensuite j'ai eu pas mal de contacts au niveau inférieur avec de vrais projets humains et sportifs mais quand Christian m'a rappelé pour me dire qu'il souhaitait que je fasse partie du projet je n'ai pas hésité une seconde pour lui donner mon accord.

Entre le projet du club et le fait de retrouver mon "formateur" il n'a pas été compliqué de trouver un accord avec le club.

Tu as rejoint Sélestat  qui ne cache pas ses ambitions de retrouver la LNH au plus vite, comment appréhendes-tu cette saison sous tes nouvelles couleurs?

Pour être honnête je me vois presque 10 ans en arrière avec Saint Raphaël,  dans un club avec de vraies infrastructures, un vrai projet et énormément de gens qui font vivre le club.

En plus, comme je l'ai dit je retrouve Christian donc je suis aussi en terrain connu.

Il y a une dizaine d'année nous sommes montés et mes performances étaient tout à fait honorables, je ne vois pas pourquoi avec les mêmes ingrédients on n'y arriverait pas, je suis donc confiant même si je sais qu'il va falloir énormément travailler pour y arriver.

Ce championnat est très compliqué à aborder avec des pièges tous les week-ends et je pense que nous seront attendus de pied ferme.

Julien Meyer qui est devenu champion du monde U21 cet été est promis à un avenir prometteur, comment vois-tu la relation entre vous dans les buts ?

En effet Julien est très prometteur mais il ne faut pas oublier qu'il n'a que 18 ans.

C'est un garçon très intelligent qui a la tête sur les épaules mais il a encore à apprendre et je pense que Christian m'a fait confiance aussi car il sait que je peu lui inculquer de bonnes valeurs que lui même m'a inculquées.

Je pense qu'on sera complice et que la concurrence sera saine entre nous et de toute façon le meilleur jouera et tirera l'autre vers le haut.

En tout cas je lui souhaite une très belle carrière à commencer par une belle saison, cela nous rendra de grands services et si je peux y participer en le guidant ou en lui bottant les fesses je le ferais sans hésiter.

Sargenton

A quelques jours de la reprise du championnat et la réception de Massy, penses-tu que le groupe est prêt ?

Le terrain donnera sa vérité.

Prêts ou pas prêts nous serons chez nous et si nous voulons être à la hauteur des objectifs du club il nous faudra gagner ce match et Massy à domicile est le test parfait pour savoir si on est prêts ou pas.

C'est une très belle équipe habituée aux joutes de la Pro d2.

Lors de la 7eme journée vous vous déplacez à Pontault, un sentiment particulier pour toi de retourner en Seine et Marne pour y affronter ton ancienne équipe?

Cette date est cochée depuis bien longtemps sur le frigo je l'avoue.

C'est la première fois que je vais rencontrer une équipe dans laquelle j'ai joué et j'ai des amis sur place entre Valentin (ndlr: Aman), Vince (ndlr: Vincent Moreno), Billy (ndlr: Alexis Jallamion) et les autres.

Mais encore une fois, une seule chose comptera c'est la victoire de l'équipe pour le reste on verra.

Un mot pour les supporters de Sélestat et les lecteurs d'Hand-Planet ?

Je souhaite à tous encore plus de handball et de bons articles à se mettre sous la dent et j'attends avec impatience le premier match au CSI Sélestat, où il y a une ambiance bien particulière et j'ai hâte de voir cela!!!

Damien Mabille, Hand-Planet

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29 août 2015

Match de prépa: Sélestat 31-22 ESSAHB, Sélestat sans frayeur

Les Strasbourgeois n’ont pu donner le change que le temps du premier quart d’heure avant de laisser le champ libre à un SAHB toujours en rodage (31-22).

 

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Dans une semaine, ça ne comptera plus pour du beurre, comme hier soir face à l’entente de l’ESSAHB. Il faudra être prêt au moment des trois coups du championnat. Le SAHB l’est-il ? La question reste posée d’autant qu’on ne peut pas tirer trop de conclusions d’un match où l’opposition n’a pas été du même niveau que lors des deux précédentes confrontations contre Dunkerque et Winterthur.

L’ESSAHB qui a débuté sa préparation plus tard que les Sélestadiens a fait figure de sparring partner pour une bonne séance de travail. Mais son niveau n’étant pas celle d’une cylindrée de Pro D2 - que l’équipe strasbourgeoise a quitté pour la N1 -, il ne faut se fier ni au résultat, ni au score. Les Sélestadiens auraient pu s’imposer sur une plus grande marge sans quelques déchets qui montrent que l’équipe manque encore de repères et de liant.

Il faudra notamment du temps à Igor Vujic pour devenir le patron de l’équipe dont on lui a confié les clés. Le Croate est encore loin du compte, dans la gestion du ballon comme dans sa réussite (1/8). Le passage au poste de demi-centre du jeune Thibaud Valentin a été bien plus productif, surtout en première période. C’est d’ailleurs lui qui impulsait un 9-1, entre la 14e et la 25e minute, qui valait à son équipe de se dégager de l’étreinte adverse (14-6). S’il rentrait aux vestiaires sur un excellent 3/3, ses percussions étaient vouées à l’échec (0/5) par la suite.

Sélestat a profité de ce dernier match de préparation pour travailler avec une équipe toujours privée de ses pivots Eudaric et Fleurival et sans Thomas Gaudin. Mais elle a profité du retour de Lenne, qui s’est fait mis en valeur au même titre que les deux autres champions du monde, Julien Meyer (15 arrêts) et Rudy Seri (6 buts). « On voulait se rassurer avant le début du championnat en faisant un match sérieux. On a encore quelques erreurs à gommer et des balles qu’on doit éviter de perdre , souligne Olivier Jung. Il nous reste encore une semaine pour progresser et bien faire les choses. »

CSI de Sélestat.
Mi-temps : 15-9. 300 spectateurs environ.
Arbitres : MM. Gangloff et Gutbub.

Sélestat : 31 buts sur 54 tirs dont 2/2 pen. 10 balles perdues.
Deux minutes : Nyembo (43e , 58e ).
Gardiens : Meyer (44 minutes de la 1re à la 44e , 15 arrêts) et Sargenton (16 minutes de la 44e à la 60e , 5 arrêts dont 0/3 pen.).
Les buts : Martin 5/7, Seri 6/11, Nyembo 3/3, Jung 4/4, Valentin 3/8, Beauregard 2/4, Vujic 1/8, Joli 3/4, Lenne 4/5 dont 2/2 pen., Savic, Wagentrutz. Entraîneur : Gaudin.

Strasbourg-Schiltigheim : 22 buts sur 55 tirs dont 3/4 pen. 7 balles perdues.
Deux minutes : Geffrard 21e ), Ludwig (38e ).
Gardiens : Duchêne (33 minutes de la 27e à la 60e , 8 arrêts dont 0/1 pen. et Nkounga (27 minutes de la 1re à la 27e , 6 arrêts dont 0/1 pen.).
Les buts : Fessler 0/2, Durand 3/14 dont 0/1 pen., Bonnenberger 4/9, Geffrard 4/7, Julvecourt 1/5, Freppel 5/7 dont 3/3 pen., Richert 3/6, Matzinger, Ludwig 2/3, Abbey 0/2. Entraîneur : Boesch.

Source L'alsace

25 août 2015

Prépa: Semaine à domicile ...

Le SAHB multiplie les matches de préparation en vue de la reprise en Pro D2 du 4 septembre. Cette semaine, ce sont les Suisses de Winterthour et les Strasbourgeois de l’ESSAHB qui sont ses sparring-partners.

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Les derniers enseignements sur l’état de forme des Violets ont été livrés dimanche, à l’occasion de la confrontation avec l’US Dunkerque dans le cadre du tournoi de Bogny-sur-Meuse.

Le club de l’élite s’est imposé 28-20 face à une formation partiellement amputée d’éléments clés. Elle est toujours privée de Kosta Savic, blessé à l’épaule à Bâle le week-end précédent – « Je veux ménager mon seul gaucher arrière droit, précise l’entraîneur Gaudin. J’espère qu’il sera opérationnel pour le premier match de championnat » – mais aussi son fils Thomas, souffrant également de l’épaule, de Thierry Fleurival, et, depuis l’entraînement de samedi, de Yoan Eudaric (petite lésion à l’ischio-jambier ?).

Finition à soigner

« Face à un des fleurons du handball français, j’ai pu voir des choses intéressantes et d’autres un peu moins dimanche. Sur le plan offensif, on commence à afficher la volonté de mettre l’équipe en place, mais on n’est pas encore suffisamment exigeants dans la finition. C’est dans les duels avec le gardien qu’il faut progresser. »

Hausser le niveau de jeu et l’efficacité, c’est l’obsession de Gaudin au cours de ces semaines consacrées aux répétitions.

La défense du SAHB manque aussi d’agressivité, et les possibilités de montées de balle s’en trouvent réduites.

« Il faut vraiment qu’on se rapproche de la compétition pour voir où on en est, mais la grosse problématique est que l’équipe n’est jamais au complet. C’est un exercice particulier de ne pas pouvoir développer un projet de jeu. »

Si Julien Meyer et Rudy Seri, les deux champions du monde juniors, occupaient leurs nouvelles places de titulaires chez les pros, leur aîné Yanis Lenne, titré également dernièrement, est encore laissé au repos en ce début de semaine.

La carte jeune

Lors de ce déplacement dans les Ardennes, plusieurs autres jeunes appelés à évoluer en réserve ou chez les moins de 18 sont apparus dans les rotations, cependant limitées sur la base arrière, effectuées contre Dunkerque : Édouard Kempf, Thibaud Valentin, Virgile Wagentrutz et Gaby Nyembo. « Ils profitent de la situation pour emmagasiner de l’expérience. »

Et pallier aux défaillances physiques, inévitables au cours de ce cycle où la montée en puissance met les équipes sur le fil du rasoir.

Contre une équipe de D1 suisse aguerrie, Sélestat s’efforcera d’apporter de nouvelles corrections dans la trajectoire menant sur la ligne de départ.

Sélestat – Winterthour à 19 h, au CSI

Source Dna

20 juin 2015

Vincent Momper : « Ma saison la plus difficile »

La relégation, le changement d’entraîneur, l’avenir… A l’issue d’une saison plus que compliquée, Vincent Momper, le président du Sélestat Alsace Handball, a accepté de dresser un large éventail de l’actualité du club.DNA : Une saison difficile vient de s’achever au SAHB. Comment l’avez-vous vécue en tant que président ?

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F.E Une saison difficile vient de s’achever au SAHB. Comment l’avez-vous vécue en tant que président ?

Vincent Momper : C’est assurément la plus difficile depuis que je suis président. La fin de saison dernière avait déjà été compliquée, nous avions eu du mal à nous maintenir. Cette saison, au vu du recrutement, on avait une des meilleures équipes jamais vues à Sélestat. On pensait passer une année tranquille et regarder davantage vers le haut que vers le bas… On ne s’attendait tellement pas à vivre une telle saison que c’est deux fois plus difficile. C’est aussi ce qui fait la beauté du sport : il n’y a jamais de certitudes. Malheureusement, c’est une mauvaise surprise pour nous et personnellement, une année vraiment noire car j’ai dû être opéré en raison d’une hernie discale.

« Je suis persuadé qu’en changeant d’entraîneur plus tôt, on aurait pu espérer mieux »

Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ?

VM:  La mayonnaise n’a jamais pris, mais on est tous responsables, moi le premier. Je ne me défausse pas, j’assume l’échec. On a aussi dû faire face à de nombreuses blessures, touchant des joueurs cadres.

La décision de se séparer de Jean-Luc Le Gall à la reprise de la trêve hivernale a surpris. Avec du recul, pensez-vous qu’il y a eu une erreur de timing ?

VM: On s’est peut-être trop longtemps accroché à Jean-Luc… On espérait vraiment s’en sortir avec lui, surtout après les sept belles années qu’on avait passées ensemble. Ces émotions créent des liens et il est difficile de faire abstraction du côté affectif. Mais ça fait partie de la vie d’un club sportif qui, aujourd’hui, se gère comme une entreprise. Il faut parfois faire des choix. Les joueurs ressentaient aussi de la lassitude d’avoir eu aussi longtemps le même entraîneur, ce qui est humain.

Le bilan de Christian Gaudin (2 victoires en 14 rencontres) est pourtant pire que celui de Jean-Luc Le Gall (4 victoires en 15 rencontres)…

VM: Je suis persuadé qu’en changeant d’entraîneur plus tôt, on aurait pu espérer mieux. Christian est arrivé tard, au moment où plusieurs joueurs cadres se sont blessés. C’était presque mission impossible. J’y ai pourtant cru jusqu’au bout même si je savais qu’il serait difficile d’enrayer la spirale négative.

« Dire qu’on veut remonter, c’est crédible »

A l’arrivée, le SAHB finit 13e sur 14, très loin du 12e. Sélestat a-t-il le niveau pour évoluer durablement en LNH ?

VM: J’ai toujours dit que le SAHB en D1, c’était un petit miracle. On a vu cette saison qu’il y avait une part de vérité même si en 25 ans, Sélestat a connu plus de hauts que de bas. Il faut qu’on arrive à conserver l’esprit familial qui nous caractérise en rajoutant une dose de professionnalisme. L’équilibre est difficile à trouver mais pas impossible. A une autre échelle, Kiel (Allemagne) a su le faire. Christian Gaudin a justement cette culture, qu’il peut imprégner au club. Nous avons un genou à terre, mais il va falloir rebondir.

Le SAHB aura-t-il les moyens de remonter en LNH la saison prochaine ?

VM: Le recrutement n’est pas terminé* mais on affiche clairement l’ambition de retrouver la D1 l’an prochain, au plus tard dans deux ans. Nous n’aurions pas pu, pour des raisons financières, conserver les joueurs qui sont partis. Nous allons nous appuyer sur des joueurs cadres comme Jung, Beauregard, Fleurival, Joli et Vujic et promouvoir les jeunes que sont Yanis Lenne, Rudy Seri, Julien Meyer ou Thomas Gaudin. Nous allons compléter l’effectif avec des joueurs aguerris, même si on sait qu’il est plus difficile de recruter pour la D2 que pour la D1. Mais les joueurs savent que Sélestat a la culture de la D1. C’est un argument, tout comme la présence de Christian Gaudin en est un. C’est pourquoi dire qu’on veut remonter, c’est crédible.

Le budget est-il déjà bouclé pour la saison prochaine ?

VM: Il devrait passer de 2 000 000 € à 1 500 000 €. Même si notre masse salariale devrait baisser de 20 à 30 %, nous devons faire face, outre la baisse des droits télés, à une forte baisse des subventions publiques (seule la Ville de Sélestat s’est engagée à maintenir sa subvention actuelle pendant encore un an), liées non seulement à notre régression sportive, mais aussi à l’état des finances publiques.

« Le Département baisse sa subvention de 160 000 € à 12 000 € »

VM: Le Conseil départemental vient de nous annoncer que la subvention passerait de 160 000 € à 12 000 € la saison prochaine. On savait que ça allait diminuer, mais pas dans ces proportions. Quant à la Région, nous attendons les chiffres mais sa subvention devrait passer de 400 000 € à 250 000 €, sachant qu’une partie est dévolue à notre centre de formation.

Cela signifie-t-il que l’avenir du centre de formation est menacé ?

VM: Non, la formation est essentielle pour nous, il ne faudrait pas qu’elle disparaisse. Le centre de formation a un coût, mais on trouvera toujours des solutions pour qu’il tourne, quitte à impacter le budget de l’équipe pro.

Vos principaux partenaires restent-ils fidèles malgré la descente ?

VM: Chaque année, il y a un renouvellement parmi les 150 partenaires privés que nous comptons et qui, pour moi, sont aussi importants les uns que les autres, au-delà de l’aide qu’ils peuvent apporter. Mais, pour répondre à votre question, personne ne quitte le navire. Nos partenaires sont aussi et surtout des supporters, qui sont là dans les bons moments comme dans les moments difficiles.

Le label LNH (DNA du 3 mai) montre que le SAHB est structuré, mais fragile. « Les perspectives pour faire mieux passent par une augmentation de la surface financière », conclut le rapport du label. Comment faire ?

VM: On est fragile, oui, et l’annonce du Conseil départemental nous fragilise encore un peu plus. Alors on travaille beaucoup et il faudra travailler encore plus. On sème, on sème, et parfois, on récolte. Pour trouver un partenaire, il faut plusieurs facteurs : être au bon endroit, au bon moment. Pour certains, ça n’est pas le moment aujourd’hui mais ça le sera peut-être demain… Certains ont mis dix ans avant de s’engager.

« La visibilité n’est qu’une partie de ce qui peut intéresser une entreprise »

Le SAHB aura plus de mal à trouver des partenaires en évoluant en D2...

VM: La visibilité, ça n’est qu’une partie de ce qui peut intéresser une entreprise. À côté, il y a aussi l’hospitalité. Quand une entreprise nous envoie un de ses clients, elle sait qu’il passera un bon moment car les prestations qu’on propose les satisfont. Aujourd’hui dans le sport professionnel, c’est plus qu’un match qu’on regarde, c’est une soirée qu’on passe. L’objectif, c’est que quelque soit le résultat, on passe une bonne soirée. Et ce n’est pas parce que nous sommes en ProD2 que les prestations seront de moins bonne qualité.

Certaines “soirées” auront-elles lieu au Rhenus la saison prochaine ?

VM: Probablement pas : remplir le Rhenus en ProD2, ça me paraît compliqué. La seule affiche qui pourrait nous le permettre, c’est face à Mulhouse. Mais est-ce que jouer un derby Sélestat-Mulhouse à Strasbourg aurait un sens ? Je ne suis pas sûr…

Mulhouse, justement, rate la dernière marche de la D1 depuis quelques années. Le SAHB, lui, y joue régulièrement le maintien. Pour s’installer durablement en D1, l’avenir ne doit-il pas s’écrire à deux ?

VM: L’Est de la France mérite une équipe en D1 ; or, je constate que l’an prochain, il faudra faire 400 km pour voir de la D1. Un projet de rapprochement avec Strasbourg a échoué il y a trois ans, mais il va falloir sérieusement creuser cette piste, surtout quand on voit qu’Ivry et Chartres, promus en D1 la saison prochaine, présenteront des budgets de 2,8 et 3 millions d’euros. Remonter en D1 avec un budget de 2M € d’euros, comme cette année, ne serait plus suffisant.

« Un rapprochement ? Je pense que ça devient tout doucement urgent »

Avec Strasbourg plutôt que Mulhouse alors ?

VM: Ce serait plus plausible même si je ne suis fermé à rien. En tout cas, il ne faudrait pas une fusion des clubs, mais un rapprochement des équipes professionnelles. Ça nous permettrait aussi de fédérer plus facilement les entreprises. Peut-être que la prochaine fois sera la bonne…

On a l’impression d’entendre ce discours chaque année ou presque…

VM: Je pense que ça devient tout doucement urgent. Il va de toute façon falloir trouver des solutions si on veut pérenniser le club en D1, sachant que pour Sélestat seul, ce sera très compliqué voire impossible, même si impossible n’est pas alsacien.

* Quatre recrues ont été enregistrées depuis l’entretien.

Source Dna

4 juin 2015

J26: Pour du beurre mais pour l'honneur aussi...

    Nous y sommes, dernière journée de D1 ce jeudi avec pas moins de 7 rencontres au programme à partir de 20h45. Si certains vont tenter de terminer l’exercice sur une bonne note, d’autres vont jouer leur saison sur cet ultime défi, à l’image de Paris qui est à 60’ du titre, chassé par Montpellier, ou bien encore de Saint-Raphaël et Dunkerque qui s’affrontent pour la 3e place.

selestat creteil

 

       Pour son dernier match en D1 avant de retrouver l’antichambre de l’élite la saison prochaine en Pro D2, Sélestat va tenter d’offrir une dernière victoire à son fidèle public face à Créteil. Sevrés de succès depuis le 1er avril, les hommes de Christian Gaudin restent sur une triste série de six défaites, la dernière en date à Istres (33-27). Dans l’optique de préparer l’avenir, Frédéric Beauregard (104 buts) et ses coéquipiers auront à cœur de livrer une belle copie face aux Val-de-Marnais. Des Cristoliens qui ont renoué avec le succès lors de la J25, dans le cadre du derby contre Tremblay (25-23), et qui voudront enchainer à l’extérieur. Défaits à deux reprises cette saison par Hugo Descat (131 buts, 6e buteur de D1) et consorts, le SAHB va essayer de mettre un terme à cette série dans son antre. Un succès très attendu du côté des Alsaciens, malgré l’absence d’enjeu dans cette rencontre.

Source Lnh

Tous les matchs:
Equipe Receveuse Equipe Visiteuse      
Chambéry Toulouse      
Aix en Provence Nantes      
Cesson Nîmes      
Montpellier Istres      
St Raphael Dunkerque      
Sélestat Créteil      
Tremblay Paris      
1 juin 2015

Prologation : Frederic Beauregard, alias Bobo prolonge jusqu'en 2018

                    

Fred Beauregard

      Fréderic Beauregard, alias Bobo vient de prolonger son contrat jusqu'en 2018.

      L'arrière gauche de 31 ans, violet depuis six saisons a prolongé son contrat de trois années supplémentaires. Le capitaine sélestadien sera l'une des valeurs sûres de la nouvelle équipe qui se profile pour la prochaine saison.

Tous les supporters sont heureux de te savoir encore parmis nous.

 

 

 

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