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Le 8ème Rugiss' Hand
anciens violets
8 mars 2012

Des nouvelles de : “Mika” rêve d’arrêts !

Huit mois après une grave blessure aux ischio-jambiers, Mickaël Robin a retrouvé la compétition avec Montpellier. La fin d’un long tunnel pour le gardien alsacien.

Après huit mois d’absence, Mickaël Robin a repris sa place dans le but de Montpellier.  Photo maxppp 

Son ascension s’était jusque-là déroulée sans heurts. Lancé en D1 à 17 ans avec Sélestat, Mickaël Robin a vite montré qu’il avait l’étoffe d’un grand. Son talent l’avait ainsi conduit à Chambéry (en 2008), pour connaître les sommets de la D1 et s’enivrer du doux parfum de la Ligue des champions.

« Je m’accroche au fait qu’il reste deux mois et demi de compétition »

Puis ce fut Montpellier (en 2010) et une première saison réussie, couronnée par ses deux premiers titres (champion de France et vainqueur de la Coupe de la Ligue). Une trajectoire parfaite jusqu’à ce maudit 24 mai 2011 et cet accident de scooter.

Touché aux ischio-jambiers, le Strasbourgeois a dû se résoudre à l’opération et une longue indisponibilité. Une souffrance pour un joueur jamais blessé ou presque auparavant. « On se pose forcément des questions : “Si je n’arrive pas à revenir, qu’est-ce que je vais faire de ma vie ?” Mais cela m’a seulement traversé l’esprit, pas plus », assure Mickaël Robin.

Le bon déroulement de sa convalescence l’a rapidement rassuré sur sa capacité à redevenir le joueur qu’il était. « Un mois après mon opération, je pouvais faire du vélo, deux mois après je reprenais la course. »

Le plus dur à vivre aura finalement été l’éloignement contraint et forcé de ses coéquipiers. « J’étais un peu en marge du groupe. C’est normal, j’avais mes propres programmes d’entraînement et de rééducation. » Ou de devoir suivre les matches depuis les tribunes. « C’est insupportable ! Même si tu veux toujours soutenir tes copains, je n’avais parfois pas envie d’y aller… »

La délivrance s’est esquissée en décembre, quand “Mika” a retouché ses premiers ballons. Elle est devenue réalité en janvier, quand il a pu reprendre l’entraînement normalement.

« Cela a été un soulagement, souffle l’ancien Sélestadien, car mon corps m’a rassuré. Le poste de gardien demande de la souplesse et de l’explosivité, et je me demandais au début si mon ischio allait tenir. Aujourd’hui, je n’ai plus aucune douleur, plus aucune appréhension. »

Trois gardiens pour deux places

Un soulagement donc, mais aussi et surtout « un commencement ». Le Slovaque Richard Stochl et le Slovène Primoz Prost, recruté cet été pour pallier son indisponibilité, brillent dans le but héraultais et il ne sera pas facile pour lui de les en déloger.

Depuis son retour à la compétition le 5 février, Mickaël Robin n’a pas beaucoup été sollicité par l’entraîneur héraultais Patrice Canayer (deux entrées en jeu en Ligue des champions contre Copenhague et Belgrade, 19 arrêts contre Belfort en 8 es de finale de la Coupe de France, mais aucun match en LNH).

« C’est difficile de revenir dans une équipe constituée et au moment où la saison se joue (*). Le choix de Patrice de ne pas forcément me faire jouer peut se comprendre. »

“Mika” s’attendait cependant à mieux. S’il a regoûté à la Ligue des champions, le Montpelliérain espérait retrouver le but héraultais à temps plein. « Cela n’a pas été le cas. À tort ou à raison, j’y croyais. » D’autant qu’il assure avoir retrouvé son niveau. « Les sensations sont bonnes, je suis à l’aise sur le terrain. Je n’ai pas progressé puisque j’ai été arrêté, mais je n’ai rien perdu. Je suis le même qu’avant ma blessure. »

S’il savait que sa saison 2011-2012 serait obligatoirement tronquée, Mickaël Robin n’a pas envie qu’elle soit « blanche ». « Nous sommes déjà en mars. Je ne sais pas s’il sera possible de bouleverser la hiérarchie. Je m’accroche au fait qu’il reste deux mois et demi de compétition. Chaque début de semaine, je travaille pour faire partie des deux gardiens le week-end. J’espère qu’il y aura des opportunités, notamment contre Sélestat (le 21 avril) ! »

À bientôt 27 ans, Mickaël Robin regarde de nouveau vers l’avenir. « Je suis conscient de faire partie des plans du club car j’ai encore deux ans de contrat (il formera un duo 100% alsacien puisque Thierry Omeyer sera de retour à Montpellier en 2013). J’ai envie de tout casser la saison prochaine. »

(*) Quasiment assuré d’être champion de France, Montpellier est encore engagé en Ligue des champions et en Coupe de France.

Source Dna

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1 mars 2012

Avant Istres – Sélestat: Boultif S'est libéré...

       Sassi Boultif et Istres ont retrouvé le sourire à la faveur d’un exploit à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27). L’ancien Sélestadien compte extraire définitivement son club de la zone rouge.

Sassi Boultif (ici en défense face au Sélestadien Frédéric Beauregard lors du match aller)  et Istres sont sortis de la zone rouge.  Photo archives DNA – Franck Delhomme
 
Comment oublier ? Sassi Boultif a conservé précieusement tous « les bons souvenirs » de ses années sélestadiennes (2000-2003). « C’est le club qui m’a lancé en D1. J’y ai côtoyé de grands joueurs », sourit l’arrière gauche istréen.

Certes, l’effectif violet a beaucoup changé depuis son départ – « il ne reste plus qu’Arnaud Freppel » –, mais le Ludovicien jette un regard attendri sur ses jeunes années. « La première fois que j’ai été appelé en équipe première, c’était pour un match de Coupe d’Alsace contre l’ASCA Wittelsheim. J’étais tout jeune et je donnais le ballon à Marc Wiltberger, qui jouait en équipe de France ! »

« On manquait de solidarité, il y avait des tensions… »

Avec Villefranche ou Istres, Sassi Boultif a souvent recroisé son ancien club. Ce sera encore le cas demain et ces retrouvailles ne seront pas sans enjeu pour l’Istréen. Avec un seul petit point d’avance sur le premier relégable (Paris), les Provençaux sont loin d’avoir assuré leur maintien en D1.

« On a raté notre début de saison », n’hésite pas à dire Sassi Boultif. Le départ de Robert Lis, qui a laissé « un gros vide en défense », quelques blessures et les défaites se sont enchaînées du côté d’Istres. Surtout, ce groupe, vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2009, sixième du championnat la saison dernière, n’avait pas retrouvé son alchimie.

« On était très loin de notre niveau, explique celui qui effectue sa quatrième saison dans les Bouches-du-Rhône. On manquait de solidarité, il y avait des tensions… » La trêve de janvier est tombée à point nommé pour permettre aux Istréens de se ressourcer et de se dire leurs quatre vérités.

Les défaites contre Tremblay (31-28) et Montpellier (31-40) ont ainsi amorcé le renouveau istréen. « L’ambiance a changé. On a montré un autre visage, un autre état d’esprit. Et on s’est dit qu’en continuant comme cela, ça paierait tôt ou tard. Aujourd’hui, on prend à nouveau du plaisir », souffle Sassi Boultif.

20 buts en trois matches

La victoire à Dunkerque lors de la dernière journée (26-27) a permis aux Provençaux de sortir de la zone rouge en LNH. « Un bel exploit » confirmé le week-end dernier avec un succès face à Tremblay (33-29) en huitièmes de finale de la Coupe de France.

L’arrière gauche de 29 ans n’est pas étranger à cette embellie. Pas vraiment à son aise durant la première partie de championnat, Sassi Boultif a profité de la Coupe d’Afrique des Nations en janvier pour retrouver de la confiance. Finaliste avec l’Algérie, élu meilleur arrière de la compétition, l’ancien Sélestadien flambe depuis son retour dans l’Hexagone (20 buts en trois matches).

« La CAN m’a vraiment libéré. Je suis bien dans ma tête, je me régale sur le terrain. Je fais de bons matches, c’est bien pour moi et pour l’équipe », confie le Ludovicien.

Istres aura bien besoin d’un Sassi Boultif performant pour gérer au mieux un mois de mars décisif. « On n’a pas le droit de lâcher des points à domicile si l’on veut se sauver. En cas de victoire contre Sélestat, on revient à trois points, ce n’est pas grand-chose », lance-t-il plein d’espoir.

Lire plus : une confiance retrouvé...

Source Dna

30 novembre 2011

Itw Seufyann Sayad : la tarte flambée au saumon, un vrai regal !

IMG_87512           Seufyann Sayad, l’homme en forme du HBC Nantes, et ses influences multi-culturelles se confie au micro de Hand Neuws.
 
- En quoi Internet te sert au quotidien ? 
   A faire des trucs assez basiques en fait : à regarder mes mails, rechercher des informations, etc…
- Ta page d’accueil ? Ton fond d’écran ?
   
La page d’accueil Google. Par contre mon fond, d’écran c’est une belle photo de mon fils…
- Ton top 3 des sites que tu visites ?
   Cela depend des périodes : yahoo, quelques sites immobiliers et… les pages jaunes (rires)!
- Tu es né à Sélestat de parents marocains et joues à Nantes : alors plutôt choucroute, couscous ou crêpes ?
  
Pas trop choucroute car je n’aime pas le chou et je ne mange pas de porc (par contre la tarte flambée au saumon à la place des lardons, un vrai regal!).Le couscous oui j’adore… mais surtout celui de ma maman! Et les crêpes en dessert c’est pas mal du tout! Bref j’ai la chance d’être ouvert et d’avoir découvert differents  goûts.
- Ton frère est prof de hip-hop. Prêt à nous faire une démo à la mi-temps ;) ?
  
Pourquoi pas, mais ca ne sera pas à la mi-temps!
Handnews t’offre de regrouper autour d’une table le temps d’un dîner 5 célébrités (du sport, des arts, etc…) : lesquelles  ? 
  Mohamed Ali, Martin Luther King,  Bob Marley, Dieudonné et Bernard Werber, un écrivain avec lequel j’ai vraiment bien accroché. Et puis il y en a plein d autres car ils sont ou étaient  des artistes engages jusqu au plus profond de leur âme.
- Ta playlist d’avant match pour te sentir bien ?
  
Soulja boy, Nessbeal. Plutôt du rap en fait.
- Le joueur qui t’a fait ou te fait vraiment rêver?
  
 Ils étaient deux : Jack et Talent Dujshebaev.
Si tu avais un super pouvoir, ce serait lequel?
  
De pouvoir voler.
- As-tu une manie, une mauvaise habitude dont tu ne peux te défaire?
  
Le rangement, c’est vraiment pas mon truc…
- Où te vois-tu dans 15 ans ?
  
Sur une plage paradisiaque!!!
- Qu’est ce qui manque sur le web, niveau handball ? 
  
Des portraits perso de joueurs… comme vous faites!
- Dernière question : Ton 7 majeur de potes ?
   Ailier droitArnaud Freppel, Rabah Soudani
   Arrière droit : Frederic Louis, Michel Volker, Flo Corbin 
   Demi-centre : Christophe Kabenguele
   Arrière gauche : Audrey Tuzolana, Jeremy Vergely
   Ailier gauche : Valero Riveira, Marko Curuvija, Erwann Labarre
   Pivot : Steeve Florella, Fernando Eijo, Borja Fernandez
   Gardien : Yohan Ploquin, Gregory Baumert, Bruno Pagès
La famille est grande,  j ai dû en oublier!

Source Handnews
11 octobre 2011

ITW Bastien Arnaud: A Sélestat, le public est toujours aussi chaud

       Marjorie a rencontré Bastien lors du dernier match à domicile du SAHB.
       L'occasion pour elle de demander à cet ancien Violet de ses nouvelles. 
       Depuis Bastien s'est blessé et a été opéré des croisés... (genoux)
      

        Absent pour plusieurs mois, nous lui souhaitons une bonne guérison!

 

6 septembre 2011

OSTARCEVIC Vladimir

Violet: Pendant deux saisons de 2010 à 2012

Ostarcevic VladimirNationalité

20px-Flag_of_Croatia_svg

Croatie
Né le: 22/04/1982
A: Karlovac

Taille: 185 cm
Poids: 93kg (2012)

Poste: Demi centre
Numéro: 27

Sélections : 24 sélections en équipe A de Croatie, 
                  Une cinquantaine chez les juniors.

Palmarès : deuxième aux Jeux Méditerranéens en 2005.

Joue actuellementDrapeau : France Martigues (N1)  

Saison 2014/2015 : Drapeau : France Essahb Strasbourg (13ème Pro D2) Relegué
Saison 2013/2014 : Drapeau : France Tremblay en France (LNH)
Saison 2012/2013 : Drapeau : France Tremblay en France (LNH)
Saison 2011/2012 : Drapeau : France Sélestat (LNH)
Saison 2010/2011 : Drapeau : France Sélestat (Pro D2)
Saison 2009/2010 : Ribnica Riko,
Saisons ultérieur Antequera, Medvescak Zagreb, RK Zamet, Metkovic, Karlovac

Ses saisons en Violet:

Saison 2011/2012 : Sélestat (LNH)

Nombre de rencontres: 17
Absent 9 rencontres pour blessure
Buts sur tir: 34/82
Buts sur penalty: 7/10
Total buts: 41/92 (105ème)
2 minutes: 6
Sa saison: Saison entrecoupé par une blessure aux adducteurs qui l'aura éloigné du terrain plus de 4mois. Vlado n'a pas pu donner la pleine mesure de ses moyens cette saison.

Saison 2010/2011 : Sélestat (Pro D2)

Ostarcevic Vladimir 2Nombre de rencontres: 26
Buts sur tir: 95/176
Buts sur penalty: 32/38
Total buts: 127
2 minutes: 12
Elu second meilleur demi centre  de la saison
Sa saison: Pour sa 1ère année en France, « Vlado » a parfaitement rempli son rôle : celui de ramener Sélestat au sommet. Mission accomplie pour le métronome bas-rhinois qui a guidé son équipe dans sa quête de D1. Bon passeur (5ème de la saison), adroit devant les buts, Ostarcevic a trouvé sa place.

Totaux sur son passage au SAHB:
Nombre de rencontres: 43
Buts sur tir: 129
Buts sur penalty: 39
Total buts: 168
2 minutes: 18

Le violet il a fierement porté, violet il restera !

Merci Vlado

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14 décembre 2010

« Et il nous restera quoi après notre carrière ? Les potes »

    Derby

   

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..   J-4
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.Mul_1
 

     Ils ont débuté leur carrière professionnelle à Sélestat, ils se retrouvent aujourd’hui sous le maillot du Mulhouse Handball Sud Alsace. À cinq jours du grand derby de la Pro D2 (samedi 20 h à Sélestat) entre le leader et le 3 e, Victor Boillaud, Mehdi Ighirri et Sébastien Gallotte ont accepté d’évoquer avec franchise, mais aussi avec une bonne dose d’humour, ces retrouvailles au goût forcément particulier.

Marc Calogero pour L'Alsace: Pour commencer, dites-nous brièvement ce qui vous a poussés un jour à quitter Sélestat ?
Sébastien Gallotte : Ce n’est pas que je n’ai pas eu le choix, mais en gros ils m’ont fait comprendre qu’il fallait que je parte. C’est comme ça, c’est la vie de professionnel. C’est un mal pour un bien et je n’en veux à personne. Et ensuite Mulhouse m’a contacté. Je suis simplement content d’être là aujourd’hui et de jouer avec mes potes.
Mehdi Ighirri : Perso, il me restait un an de contrat mais Sélestat avait recruté un nouveau demi-centre (Baran) et j’avais l’occasion de partir soit à Mulhouse soit à Pontault. Finalement c’était Pontault… puis Mulhouse !
Victor Boillaud : Ben moi, j’ai connu la descente avec Sélestat et je pouvais continuer l’aventure en D1 avec Créteil et tenter de franchir un cap. Bilan : j’ai terminé avec une deuxième descente de suite.

MC: Que représente Sélestat à vos yeux ?
Seb G : C’est le club de nos débuts en D1, il nous a lancés dans le grand bain on va dire.
Mehdi I : Quand je suis arrivé de Rixheim, j’étais prévu pour la N2. Au bout de huit mois, on m’a fait goûter à la D1. J’y ai découvert des potes qui sont devenus des amis proches. Et je les retrouve maintenant à Mulhouse.
Victor B : C’est le club qui nous a donné notre chance alors qu’on était jeunes et qui nous a offert notre premier contrat pro. Et on est très reconnaissant sur ce point là.
Mehdi (il coupe) : Après, pour des raisons financières et autres, Sélestat n’a jamais été un grand club de D1 même si on a fait 6 es deux fois… (coupé).
Victor : Attends, c’était quand même une place importante du handball. Et on a toujours été bien traités.

MC : Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à Sélestat ?

Les trois en chœur : Les potes !
Seb : Niveau handball, c’est la découverte de la D1. On était jeunes et on a joué Montpellier, on n’avait même pas 20 piges.
Mehdi : On a vécu une aventure humaine extraordinaire. On était sept de Strasbourg, on prenait le minibus pour aller à Sélestat. Le soir, on rentrait et on se retrouvait chez moi, chez Seb ou chez Victor et on mangeait tous ensemble. C’est ça qui avait déjà fait la force de Sélestat à l’époque…
Seb :(il coupe) : Et c’est ça qui fait la force de Mulhouse aujourd’hui.
Mehdi : moi j’en garde aussi le souvenir de mon premier match en D1. Je l’ai bien réussi, je fais 6/10 contre Ivry à 18 ans je ne pouvais pas espérer mieux.
Victor : Moi, mon premier match c’était à Créteil en plus (la tête dans les mains, les deux autres rigolent) .
Seb : Le hand ca va durer jusqu’à 30-35 ans. Et il restera quoi après notre carrière ? Ben les potes on les gardera pour la vie.
Victor : On s’était déjà tous retrouvé ici il y a trois ans en demi-finale de Coupe de France…
Seb : (il coupe) : Et on savait déjà qu’on allait tous se retrouver ici (rires).

Justement, comment vous êtes-vous tous retrouvés ici au MHSA et comment vous y sentez-vous ?
Seb : On s’est tous suivi en fait.
Mehdi : J’avais envie de rentrer à Mulhouse et me rapprocher de la famille. Mon père a eu l’idée de contacter des joueurs qui ont déjà joué ensemble…
Seb :(il coupe) : Victor et moi, on n’a pas de famille, on n’a pas de copine d’ici, on n’a rien nous !
Mehdi : C’est toujours un plaisir de rejouer avec ses potes.
Seb : A Mulhouse, il n’y a pas de « T’es jeune, tu te tais ». Ici tout le monde parle avec tout le monde, Il n’y a pas de clan. De David Schneider à Florent Piningre, tout le monde peut parler.
Victor : On a commencé jeunes à Sélestat, on avait tout à prouver. On nous a promis monts et merveilles. Maintenant, on a plus de recul par rapport au handball. On joue vraiment pour se faire plaisir. On a aussi pris du recul par rapport à tout ça… On a vieilli.

Quelles sont les différences entre les deux clubs ?
Seb : À Sélestat c’est très pro, à 100 %. Ils ont connu la D1, ils ont les structures.
Victor : Mais ne dis pas ça ! Sinon on va croire que, nous, on n’est pas des pros. Ils ont des ambitions affichées, des moyens, mais on est aussi très professionnels à Mulhouse.
Seb : Bien sûr. Mais entre nous, on ne ressent pas cette ambiance professionnelle, on est une bande de potes qui joue ensemble dans une structure pro. C’est une nuance importante. On n’a pas l’impression d’aller au boulot, on se retrouve entre amis quoi. Et c’est ça notre force.
Mehdi : À Pontault, ça m’est déjà arrivé de me dire : « J’ai pas envie d’y aller ». Ici non, jamais.
Seb :On se fait plaisir ensemble. Alors qu’ailleurs, c’était plus du pro-pro.
Victor : Ce que j’ai retrouvé à Mulhouse, c’est que j’attends le match toute la semaine. À Créteil, ça ne me convenait pas. C’était mon boulot, point.

Parlez-nous de ce match.
(Ils soufflent tous les trois)
Seb : On est vraiment obligés ? (rires)
Victor : Moi, je l’attends vraiment ce match de Sélestat et je vais me faire plaisir, sans aucune pression.
Seb : Quelle pression on a ? On ne joue pas la montée, nous.
Mehdi : Si on peut gagner là-bas, t’inquiètes pas on gagnera. On sait que ça va être blindé de monde, qu’il n’y aura pratiquement que des supporters de Sélestat. Eux, ils ont la montée comme objectif. Et si on gagne chez eux, ils seront mal car ils ne seront pas dans les deux premiers à la mi-saison. Nous, au pire, on reste 3 e.
Seb : Et même si on perd, et alors ? On n’aura pas loupé notre saison, loin de là. On est largement dans nos objectifs. Les gens seront peut-être déçus par rapport à cette « rivalité » Haut-Rhin — Bas-Rhin mais, sportivement, on sera dans les clous.
Victor : Ce sera une belle soirée pour le hand alsacien. Nous, on va faire quoi ? Jouer devant du monde, des gens qu’on a connus ou qu’on ne connaît pas et on va voir qui c’est le meilleur.

Sentez-vous une rivalité entre les deux clubs ?
Victor : Je ne sais pas si c’est comme à l’époque où il pouvait y avoir des rivalités malsaines, des bagarres. Mais l’enjeu est là, c’est évident.
Seb : Ça sera tendu c’est clair. Et bien sûr qu’on veut gagner et être bons.
Mehdi : Avec Pontault, c’était mon petit derby. Je voulais gagner. Et forcément, on va y penser. C’est notre ancien club, donc on aura quand même un peu de pression. On a envie de faire bonne impression. Les deux équipes sont en pleine confiance, mais ça va se jouer au handball.
Seb : Nous, on a plus à gagner qu’à perdre. Eux, l’inverse.
Mehdi : On aura plus de pression lors du cycle retour que sur ce match-là.
Victor : On veut surtout prendre du plaisir. Un match comme ça, dans cette situation-là, on va peut être en faire un seul dans notre carrière. Si on perd, ça ne va pas bouleverser notre vie.

Une victoire aurait-elle plus de saveur qu’une autre ?
Seb : Non, ça a plus de saveur pour les gens autour. Bien sûr qu’il y aurait un petit plus, mais ça reste 3 points.
Mehdi : Le seul objectif qu’on s’était fixé était de ne rien perdre à domicile. Bon, on a perdu contre Créteil, mais depuis on n’a plus rien perdu…
Victor : ( il coupe) : Ouais, mais il y avait de bons joueurs à Créteil (il éclate de rire).
Seb : (il coupe) : C’est vrai, il y avait Boillaud… Suite à ce match, le MHSA l’a recruté. Avant, on n’en voulait pas (rires).
Victor :Mais moi, je n’ai jamais perdu au Palais des sports au moins…
Seb : Et Mehdi n’a jamais perdu à Sélestat. Bon moi, j’ai déjà perdu à Sélestat… Souvent même, hein Victor ? On est carrément tombés en D2 il y a deux ans.

Quel serait le scénario idéal samedi soir ?
Mehdi : Match nul 26-26 avec une égalisation en fin de match de Seb, soit en contre-attaque soit sur penalty. Rien d’autre.
Seb : Moi je dis passe décisive de Mehdi et je jette la balle à Victor en kung-fu et il marque…
Victor (il coupe) :… de la tête, non de l’épaule.
Seb : On s’en fout du scénario, tant qu’on gagne !

Une victoire à Sélestat changerait-elle vos objectifs ?
Mehdi : Non. Mais il faut savoir qu’en général, quand tu as trois défaites à la mi-saison, tu as beaucoup de chances de monter. Là, on est encore trois à se tenir en un point mais il y a bien une équipe qui va lâcher.
Seb : Il ne faut pas que ce soit nous…
Mehdi : Si c’est nous, ça veut dire qu’on sera des charlots.
Seb : La D2 c'est compliqué, il faut tenir le plus longtemps possible.

Cela risque de beaucoup chambrer cette semaine.
Mehdi : Moi je vais brancher Freppel, je l’aime bien, il vient de Mulhouse.
Seb : C’est pour rigoler, ce n’est pas méchant.
Mehdi : On a vécu de belles années avec beaucoup de joueurs, on se connaît presque tous alors, forcément, on va un peu s’allumer.
Seb : Ça sera des trucs de potes, pour rigoler : « Attention à tes jambes, je vais te défoncer ». Mais ça sera dans l’esprit.
Mehdi : Jusqu’au match, parce que pendant 60 minutes, il n’y aura pas d’amis.

Que redoutez-vous le plus dans ce derby ?
Mehdi : Nous ! On n’a pas peur de Sélestat. Notre ennemi, c’est nous. Si on perd, c’est nous.
Seb : On est capables de prendre 10 buts comme de leur en mettre 10.

Ce genre de match convient le plus à qui ?
Seb : On s’en fout, le plus important, c’est l’équipe !
Mehdi : Ici, on n’a pas de star…
Seb : (il coupe) :… Si, Boillaud ! C’est la star des meufs (il éclate de rire).
Mehdi : Peu importe qui fait un bon match, le plus important c’est de se faire plaisir. Et si on peut gagner, on le fera. J’ai envie de dire que tout le monde va briller.
Seb : Si tu regardes tous nos matches, tu as toujours 3-4 joueurs bien et un qui explose. Et c’est à chaque fois un autre. Sauf Mehdi : t’as brillé quand toi déjà ?

Propos recueillis par Marc Calogero

Source L'Alsace

14 décembre 2010

ITW, boillaud, igghiry galotte

     Ils ont débuté leur carrière professionnelle à Sélestat, ils se retrouvent aujourd’hui sous le maillot du Mulhouse Handball Sud Alsace. À cinq jours du grand derby de la Pro D2 (samedi 20 h à Sélestat) entre le leader et le 3 e, Victor Boillaud, Mehdi Ighirri et Sébastien Gallotte ont accepté d’évoquer avec franchise, mais aussi avec une bonne dose d’humour, ces retrouvailles au goût forcément particulier.

 

Marc Calogero pour L'Alsace: Pour commencer, dites-nous brièvement ce qui vous a poussés un jour à quitter Sélestat ?
Sébastien Gallotte
: Ce n’est pas que je n’ai pas eu le choix, mais en gros ils m’ont fait comprendre qu’il fallait que je parte. C’est comme ça, c’est la vie de professionnel. C’est un mal pour un bien et je n’en veux à personne. Et ensuite Mulhouse m’a contacté. Je suis simplement content d’être là aujourd’hui et de jouer avec mes potes.
Mehdi Ighirri : Perso, il me restait un an de contrat mais Sélestat avait recruté un nouveau demi-centre (Baran) et j’avais l’occasion de partir soit à Mulhouse soit à Pontault. Finalement c’était Pontault… puis Mulhouse !
Victor Boillaud : Ben moi, j’ai connu la descente avec Sélestat et je pouvais continuer l’aventure en D1 avec Créteil et tenter de franchir un cap. Bilan : j’ai terminé avec une deuxième descente de suite.

MC: Que représente Sélestat à vos yeux ?
Seb G
: C’est le club de nos débuts en D1, il nous a lancés dans le grand bain on va dire.
Mehdi I : Quand je suis arrivé de Rixheim, j’étais prévu pour la N2. Au bout de huit mois, on m’a fait goûter à la D1. J’y ai découvert des potes qui sont devenus des amis proches. Et je les retrouve maintenant à Mulhouse.
Victor B : C’est le club qui nous a donné notre chance alors qu’on était jeunes et qui nous a offert notre premier contrat pro. Et on est très reconnaissant sur ce point là.
Mehdi (il coupe) : Après, pour des raisons financières et autres, Sélestat n’a jamais été un grand club de D1 même si on a fait 6 es deux fois… (coupé).
Victor : Attends, c’était quand même une place importante du handball. Et on a toujours été bien traités.

 

MC : Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à Sélestat ?

Les trois en chœur : Les potes !
Seb : Niveau handball, c’est la découverte de la D1. On était jeunes et on a joué Montpellier, on n’avait même pas 20 piges.
Mehdi : On a vécu une aventure humaine extraordinaire. On était sept de Strasbourg, on prenait le minibus pour aller à Sélestat. Le soir, on rentrait et on se retrouvait chez moi, chez Seb ou chez Victor et on mangeait tous ensemble. C’est ça qui avait déjà fait la force de Sélestat à l’époque…
Seb :(il coupe) : Et c’est ça qui fait la force de Mulhouse aujourd’hui.
Mehdi : moi j’en garde aussi le souvenir de mon premier match en D1. Je l’ai bien réussi, je fais 6/10 contre Ivry à 18 ans je ne pouvais pas espérer mieux.
Victor : Moi, mon premier match c’était à Créteil en plus (la tête dans les mains, les deux autres rigolent) .
Seb : Le hand ca va durer jusqu’à 30-35 ans. Et il restera quoi après notre carrière ? Ben les potes on les gardera pour la vie.
Victor : On s’était déjà tous retrouvé ici il y a trois ans en demi-finale de Coupe de France…
Seb : (il coupe) : Et on savait déjà qu’on allait tous se retrouver ici (rires).

Justement, comment vous êtes-vous tous retrouvés ici au MHSA et comment vous y sentez-vous ?

Seb : On s’est tous suivi en fait.

MI : J’avais envie de rentrer à Mulhouse et me rapprocher de la famille. Mon père a eu l’idée de contacter des joueurs qui ont déjà joué ensemble…

Seb :(il coupe) : Victor et moi, on n’a pas de famille, on n’a pas de copine d’ici, on n’a rien nous !

MI : C’est toujours un plaisir de rejouer avec ses potes.

Seb : A Mulhouse, il n’y a pas de « T’es jeune, tu te tais ». Ici tout le monde parle avec tout le monde, Il n’y a pas de clan. De David Schneider à Florent Piningre, tout le monde peut parler.

VB : On a commencé jeunes à Sélestat, on avait tout à prouver. On nous a promis monts et merveilles. Maintenant, on a plus de recul par rapport au handball. On joue vraiment pour se faire plaisir. On a aussi pris du recul par rapport à tout ça… On a vieilli.

Quelles sont les différences entre les deux clubs ?

Seb : À Sélestat c’est très pro, à 100 %. Ils ont connu la D1, ils ont les structures.

VB : Mais ne dis pas ça ! Sinon on va croire que, nous, on n’est pas des pros. Ils ont des ambitions affichées, des moyens, mais on est aussi très professionnels à Mulhouse.

Seb : Bien sûr. Mais entre nous, on ne ressent pas cette ambiance professionnelle, on est une bande de potes qui joue ensemble dans une structure pro. C’est une nuance importante. On n’a pas l’impression d’aller au boulot, on se retrouve entre amis quoi. Et c’est ça notre force.

MI : À Pontault, ça m’est déjà arrivé de me dire : « J’ai pas envie d’y aller ». Ici non, jamais.

Seb :On se fait plaisir ensemble. Alors qu’ailleurs, c’était plus du pro-pro.

VB : Ce que j’ai retrouvé à Mulhouse, c’est que j’attends le match toute la semaine. À Créteil, ça ne me convenait pas. C’était mon boulot, point.

 

Parlez-nous de ce match.

(Ils soufflent tous les trois)

Seb : On est vraiment obligés ? (rires)

VB : Moi, je l’attends vraiment ce match de Sélestat et je vais me faire plaisir, sans aucune pression.

Seb : Quelle pression on a ? On ne joue pas la montée, nous.

MI : Si on peut gagner là-bas, t’inquiètes pas on gagnera. On sait que ça va être blindé de monde, qu’il n’y aura pratiquement que des supporters de Sélestat. Eux, ils ont la montée comme objectif. Et si on gagne chez eux, ils seront mal car ils ne seront pas dans les deux premiers à la mi-saison. Nous, au pire, on reste 3 e.

Seb : Et même si on perd, et alors ? On n’aura pas loupé notre saison, loin de là. On est largement dans nos objectifs. Les gens seront peut-être déçus par rapport à cette « rivalité » Haut-Rhin — Bas-Rhin mais, sportivement, on sera dans les clous.

VB : Ce sera une belle soirée pour le hand alsacien. Nous, on va faire quoi ? Jouer devant du monde, des gens qu’on a connus ou qu’on ne connaît pas et on va voir qui c’est le meilleur.

Sentez-vous une rivalité entre les deux clubs ?

VB : Je ne sais pas si c’est comme à l’époque où il pouvait y avoir des rivalités malsaines, des bagarres. Mais l’enjeu est là, c’est évident.

Seb : Ça sera tendu c’est clair. Et bien sûr qu’on veut gagner et être bons.

MI : Avec Pontault, c’était mon petit derby. Je voulais gagner. Et forcément, on va y penser. C’est notre ancien club, donc on aura quand même un peu de pression. On a envie de faire bonne impression. Les deux équipes sont en pleine confiance, mais ça va se jouer au handball.

Seb : Nous, on a plus à gagner qu’à perdre. Eux, l’inverse.

MI : On aura plus de pression lors du cycle retour que sur ce match-là.

VB : On veut surtout prendre du plaisir. Un match comme ça, dans cette situation-là, on va peut être en faire un seul dans notre carrière. Si on perd, ça ne va pas bouleverser notre vie.

Une victoire aurait-elle plus de saveur qu’une autre ?

Seb : Non, ça a plus de saveur pour les gens autour. Bien sûr qu’il y aurait un petit plus, mais ça reste 3 points.

MI : Le seul objectif qu’on s’était fixé était de ne rien perdre à domicile. Bon, on a perdu contre Créteil, mais depuis on n’a plus rien perdu…

VB ( il coupe) : Ouais, mais il y avait de bons joueurs à Créteil (il éclate de rire).

Seb : (il coupe) : C’est vrai, il y avait Boillaud… Suite à ce match, le MHSA l’a recruté. Avant, on n’en voulait pas (rires).

VB : Mais moi, je n’ai jamais perdu au Palais des sports au moins…

Seb : Et Mehdi n’a jamais perdu à Sélestat. Bon moi, j’ai déjà perdu à Sélestat… Souvent même, hein Victor ? On est carrément tombés en D2 il y a deux ans.

Quel serait le scénario idéal samedi soir ?

MI : Match nul 26-26 avec une égalisation en fin de match de Seb, soit en contre-attaque soit sur penalty. Rien d’autre.

Seb : Moi je dis passe décisive de Mehdi et je jette la balle à Victor en kung-fu et il marque…

VB (il coupe) :… de la tête, non de l’épaule.

Seb : On s’en fout du scénario, tant qu’on gagne !

Une victoire à Sélestat changerait-elle vos objectifs ?

MI : Non. Mais il faut savoir qu’en général, quand tu as trois défaites à la mi-saison, tu as beaucoup de chances de monter. Là, on est encore trois à se tenir en un point mais il y a bien une équipe qui va lâcher.

Seb : Il ne faut pas que ce soit nous…

MI : Si c’est nous, ça veut dire qu’on sera des charlots.

Seb : La D2 c'est compliqué, il faut tenir le plus longtemps possible.

Cela risque de beaucoup chambrer cette semaine.

MI : Moi je vais brancher Freppel, je l’aime bien, il vient de Mulhouse.

Seb : C’est pour rigoler, ce n’est pas méchant.

MI : On a vécu de belles années avec beaucoup de joueurs, on se connaît presque tous alors, forcément, on va un peu s’allumer.

Seb : Ça sera des trucs de potes, pour rigoler : « Attention à tes jambes, je vais te défoncer ». Mais ça sera dans l’esprit.

MI : Jusqu’au match, parce que pendant 60 minutes, il n’y aura pas d’amis.

 

Que redoutez-vous le plus dans ce derby ?

MI : Nous ! On n’a pas peur de Sélestat. Notre ennemi, c’est nous. Si on perd, c’est nous.

Seb : On est capables de prendre 10 buts comme de leur en mettre 10.

Ce genre de match convient le plus à qui ?
Seb : On s’en fout, le plus important, c’est l’équipe !

MI : Ici, on n’a pas de star…

Seb : (il coupe) :… Si, Boillaud ! C’est la star des meufs (il éclate de rire).

MI : Peu importe qui fait un bon match, le plus important c’est de se faire plaisir. Et si on peut gagner, on le fera. J’ai envie de dire que tout le monde va briller.

Seb : Si tu regardes tous nos matches, tu as toujours 3-4 joueurs bien et un qui explose. Et c’est à chaque fois un autre. Sauf Mehdi : t’as brillé quand toi déjà ?

Propos recueillis par Marc Calogero

4 septembre 2010

GIRARDIN Nicolas

Violet pendant 6 saisons de 2005 à 2011

nico

 

Nationalité:

20px-Flag_of_France_svg

France

Né le: 17/04/1986
A: Kreuzwald (57)

Taille: 197 cm
Poids: 94kg

Poste: Gardien
Numéro: 33

Sélections : /
Palmarès :
Saison 2012/2013 : Vice champion de France N1 (Bordeaux)
Saison 2010/2011 : Vice champion de France D2 (Sélestat)

Joue actuellement:  Drapeau : France Floirac Cenon (N2)

Saison 2014/2015 : Drapeau : France Floirac Bordeaux (N2) 
Fin de carrière professionnelle

Saison 2013/2014 : Drapeau : France Bordeaux (3ème Pro D2)
   

Saison 2012/2013 : Drapeau : France Bordeaux (1er N1 Poule1) 
Saison 2011/2012 : Drapeau : France Bordeaux (2ème N1 Poule1)
Saison 2010/2011 : Drapeau : France Sélestat (2ème Pro D2) 
Saison 2009/2010 : Drapeau : France Sélestat (5ème Pro D2)
Saison 2008/2009 : Drapeau : France Sélestat (14ème Lnh)
Saison 2007/2008 : Drapeau : France Sélestat (N2)
Saison 2006/2007 : Drapeau : France Sélestat (12ème Lnh + N2)
Saison 2005/2006 : Drapeau : FranceSélestat (12ème Lnh + N2)   
                             Drapeau : France SMEC Metz
                             Drapeau : France As Porcelette                         

Nbre de matchs joué en violet:  75 matchs*
Nbres d'arrêts: 224*
*Hors matchs de coupe.

Nico et ObradSes saisons en Violet:

Saison 2010/2011 : Sélestat (Pro D2)
Nombre de rencontres: 26
Arrêts sur tir: 103 (44.4% d'arrêts)
Arrêts sur penalty: 6 (22.2% d'arrêts) 
Total arrêts
:
109 (14ème)
2 minutes: 0

A lire le micro Violet: Nico, Mon grand Ami !
      Obrad et Nico ou quand l’amitié dépasse les frontières du sport. Ils auraient pu ne jamais se croiser. L’un est né à ...

Saison 2009/2010 : Sélestat (D2)
Nombre de rencontres: 26
Arrêts sur tir: 59 (33.0% d'arrêts)
Arrêts sur penalty: 4 (16.0% d'arrêts)
Total arrêts
:
 63
2 minutes: 0

Saison 2008/2009 : Sélestat (LNH)
Nombre de rencontres: 19
Arrêts sur tir: 45 (36.0% d'arrêts) 
Arrêts sur penalty: 2 (9.5% d'arrêts)
Total arrêts
:
47
2 minutes: 0

A lire: 16 mars 2009, des lauriets pour Nico
               Auteur d’une prestation remarquée pour ses véritables débuts en D1 face à Montpellier, le jeune gardien de but, Nicolas Girardin, a été la grande ...

Saison 2007/2008 : Sélestat (N2)

Saison 2006/2007 : Sélestat (LNH)
Nombre de rencontres: 3
Arrêts sur tir: 3 (21.0% d'arrêts) 
Arrêts sur penalty: 1 (50.0% d'arrêts) 
Total arrêts
:
4
2 minutes: 0

Saison 2005/2006 : Sélestat (LNH)
Nombre de rencontres: 1
Arrêts sur tir: 0/2
Arrêts sur penalty: 0
Total arrêts
:
0
2 minutes: 0
1er match avec la 1: Journée 23, 22/04/2006, Sélestat 28-35 Ivry

Les deux gardiens de Sélestat, Obrad Ivezic et Nicolas Girardin, fonctionnent véritablement bras dessus, bras dessous. Photo Denis Werwer

 

Le violet il a fierement porté, violet il restera !

Merci Nico

4 septembre 2010

FRANCK Francis

Violet pendant 6 saisons:
  de 2009/2011
  de 2004/2007

Franck Francis

 Nationalité:

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France

Né le: 17/03/1970
A: St Avold

Taille: 193 cm
Poids: 86kg

Poste: Gardien
Numéro: 1

Sélections en équipe de France : 56  
Palmarès :
Médaillé de bronze au championnat du monde 1997 au Japon
Au 01/01/2013: Est classé 29ème meilleur gardien depuis la création de la LNH 452 arrêts (32%)
Saison 2008/2009: Elu meilleur gardien de D2 avec Mulhouse

Fin de carrière pro à 41ans 
Saison 2010/2011 : Sélestat (Pro D2) 
Saison 2009/2010 : Sélestat  (D2)
Saison 2008/2009 : Mulhouse (D2)
Saison 2007/2008 : Mulhouse (D2)
Saison 2006/2007 : Sélestat (Lnh)
Saison 2005/2006 : Sélestat (Lnh) 
Saison 2004/2005 : Sélestat (Lnh)
Saison 2003/2004 : Sélestat (Lnh)
                           Friesenheim (D1 All)
Saison 1999/2000: PSG Asnière (D1)
Saison 1998/1999: PSG Asnière (D1)
Saison 1997/1998: PSG Asnière (D1)
Saison 1996/1997: US Créteil (D1)
                             Pontault Combault
                             USM Gagny
                             St Brice
                             Metz                             
                       

Le violet il a fierement porté, violet il restera !

Merci Francis

            

4 septembre 2010

FOUBERT Robin

Violet pendant deux saisons de 2009 à 2011

Foubert Robin

 Nationalité:

20px-Flag_of_France_svg

France

Né le: 14/09/1986
A:
Taille: 188 cm
Poids: 93kg (2010)

Poste: Arrière gauche
Numéro: 14

Sélections :
Palmarès : /

Joue actuellement: HB3M Mougin (N2)

Saison 2013/2014 : Drapeau : France HB3M Mougin (8ème N2)  
Arrêt de sa carrière professionnelle
Saison 2012/2013 : Drapeau : France Saintes (2ème N1)
Saison 2011/2012 : Drapeau : France Saintes  (Pro D2)
Saison 2010/2011 : Drapeau : France Sélestat (Pro D2)  
Saison 2009/2010 : Drapeau : France Sélestat  (D2)
Saison 2008/2009 : Drapeau : France St Raphael (Lnh)
Saison 2007/2008 : Drapeau : France St Raphael (Lnh)
Saison 2006/2007 : Drapeau : France St Raphael (D2)
Saison 2005/2006 : Drapeau : France St Raphael (D2)
                             Drapeau : France Mandelieu 
                             Drapeau : France Mouans-Sartoux 

Nbre de matchs joué en violet:  51 matchs*
Nbres de buts marqués: 110*
*Hors matchs de coupe.

Ses saisons en Violet:

Saison 2010/2011 : Sélestat (Pro D2)
Nombre de rencontres: 25
Buts sur tir: 39/71 (54.9%)
Buts sur penalty: 0
Total buts: 39
2 minutes: 4

Saison 2009/2010 : Sélestat (D2)
Nombre de rencontres: 26
Buts sur tir: 71/131 (54.2%) 
Buts sur penalty: /
Total buts: 71
2 minutes: 12

A voir: Robin nous dit au revoir

Le violet il a fierement porté, violet il restera !

Merci Robin

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